Le président du FCE, Ali Haddad, dans son allocution à l’occasion de l’installation du représentant du FCE, Abdelmalek Sahraoui (P-DG de Promoinvest) dans la Wilaya de Mascara, ce samedi 3 octobre, a dit que l’organisation patronale se tient à l’écart de la politique. Il a voulu rendre hommage à Abdelaziz Bouteflika : c’est le Président qui « est aux commandes », selon Haddad. Il attribue au Président de la République le retour sur « le chemin de la paix et de la prospérité », le remercie pour ses actions et assure de son respect pour « ce grand homme ».
Il a également répondu aux critiques de Louisa Hanoune, sans la nommer, en disant que « ceux qui veulent parler peuvent continuer à parler ». Pour sa part, Ali Haddad qui affirme que le FCE n’est pas un parti, se veut le représentant du « parti du travail », dans une allusion à peine voilée au Parti des travailleurs (PT) que dirige Hanoune.
Devant des patrons et des journalistes, Ali Haddad a demandé aux politiques de prendre exemple sur le FCE et de laisser « la place aux jeunes » « On a créé JIL FCE pour montrer l’exemple et laisser la place aux jeunes générations », a-t-il dit, en appelant les politiques « à faire de même».
Ali Haddad a dit aussi qu’il était à l’écoute des chefs d’entreprise. « On est à votre écoute, on n’est pas parfait. Quand on fait des erreurs, on est prêts à les corriger ».
« Les pouvoirs publics sont avec nous »
En indiquant le wali de Mascara, assis à sa droite, Ali Haddad a affirmé que les pouvoirs publics sont avec le FCE, en facilitant la tâche des investisseurs. Cependant, il a rappelé les difficultés bureaucratiques, de l’accès aux financements et aux services publics que connaissent les chefs d’entreprise.
L’industriel doit se concentrer sur son entreprise, plutôt que devoir gérer le quotidien des coupures d’électricité et autres services. Il encourage les pouvoirs publics à remédier à ces problèmes qui sont « une perte de temps ».
Le FCE veut investir et gérer les parcs industriels
Haddad a fait la part belle au foncier industriel. Il insiste sur l’importance de cet aspect dans l’encouragement de l’investissement, tout en reconnaissant que l’Algérie est « sur la bonne voie pour régler ce problème ». Par ailleurs, il annonce la création d’un projet pilote de parc industriel réalisé et géré par des acteurs privés. Il appelle les pouvoir publics à autoriser le secteur privé à investir dans ce créneau.
De plus, le FCE souhaite également la création de zones franches pour encourager certains secteurs d’activité stratégiques, comme les TIC ou l’agro-industrie.
Encourager le partenariat algéro-algérien
Enfin, il estime qu’il est nécessaire de privilégier le partenariat entre entreprises algériennes. En référence à ce qu’il appelle le « patriotisme économique », il appelle à la préférence nationale dans le choix des partenaires.Haddad rend hommage à Bouteflika, demande aux politiques de laisser la place aux jeunes.
TSA
Il a également répondu aux critiques de Louisa Hanoune, sans la nommer, en disant que « ceux qui veulent parler peuvent continuer à parler ». Pour sa part, Ali Haddad qui affirme que le FCE n’est pas un parti, se veut le représentant du « parti du travail », dans une allusion à peine voilée au Parti des travailleurs (PT) que dirige Hanoune.
Devant des patrons et des journalistes, Ali Haddad a demandé aux politiques de prendre exemple sur le FCE et de laisser « la place aux jeunes » « On a créé JIL FCE pour montrer l’exemple et laisser la place aux jeunes générations », a-t-il dit, en appelant les politiques « à faire de même».
Ali Haddad a dit aussi qu’il était à l’écoute des chefs d’entreprise. « On est à votre écoute, on n’est pas parfait. Quand on fait des erreurs, on est prêts à les corriger ».
« Les pouvoirs publics sont avec nous »
En indiquant le wali de Mascara, assis à sa droite, Ali Haddad a affirmé que les pouvoirs publics sont avec le FCE, en facilitant la tâche des investisseurs. Cependant, il a rappelé les difficultés bureaucratiques, de l’accès aux financements et aux services publics que connaissent les chefs d’entreprise.
L’industriel doit se concentrer sur son entreprise, plutôt que devoir gérer le quotidien des coupures d’électricité et autres services. Il encourage les pouvoirs publics à remédier à ces problèmes qui sont « une perte de temps ».
Le FCE veut investir et gérer les parcs industriels
Haddad a fait la part belle au foncier industriel. Il insiste sur l’importance de cet aspect dans l’encouragement de l’investissement, tout en reconnaissant que l’Algérie est « sur la bonne voie pour régler ce problème ». Par ailleurs, il annonce la création d’un projet pilote de parc industriel réalisé et géré par des acteurs privés. Il appelle les pouvoir publics à autoriser le secteur privé à investir dans ce créneau.
De plus, le FCE souhaite également la création de zones franches pour encourager certains secteurs d’activité stratégiques, comme les TIC ou l’agro-industrie.
Encourager le partenariat algéro-algérien
Enfin, il estime qu’il est nécessaire de privilégier le partenariat entre entreprises algériennes. En référence à ce qu’il appelle le « patriotisme économique », il appelle à la préférence nationale dans le choix des partenaires.Haddad rend hommage à Bouteflika, demande aux politiques de laisser la place aux jeunes.
TSA
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