Informations interessantes fournies pas Amara Benyounes sur le commerce et la production d'alcool en Algerie
«Je ne suis ni mufti ni imam, mon seul souci était de faire respecter les lois de la République, mais pour ceux qui m’ont critiqué, il n’y a que l’intérêt personnel qui compte.» Et de souligner l’importance du marché de l’alcool en Algérie et le désordre qui y règne : «Le chiffre d’affaires du commerce et de l’industrie de l’alcool en Algérie est de 2 milliards de dollars.
Nous buvons 200 millions de litres annuellement, nous avons 65 usines, 1674 unités de production et 35 000 travailleurs dans ce domaine. En tant que ministre, j’ai voulu organiser ce marché qui est le plus important du Maghreb vu, et tout le monde le sait, tout ce qui se passe dans les bars clandestins. Il suffit de voir les rapports de la gendarmerie, c’est un marché que l’Etat doit organiser à tout prix.»
Affirmant qu’il avait travaillé conformément aux directives du président de la République, Benyounès, qui révèle que ses prédécesseurs avaient accordé plus de 1000 licences pour l’alcool, soutient qu’il a pris cette décision pour «protéger l’économie nationale».
El Watan du 10 octobre 2015
«Je ne suis ni mufti ni imam, mon seul souci était de faire respecter les lois de la République, mais pour ceux qui m’ont critiqué, il n’y a que l’intérêt personnel qui compte.» Et de souligner l’importance du marché de l’alcool en Algérie et le désordre qui y règne : «Le chiffre d’affaires du commerce et de l’industrie de l’alcool en Algérie est de 2 milliards de dollars.
Nous buvons 200 millions de litres annuellement, nous avons 65 usines, 1674 unités de production et 35 000 travailleurs dans ce domaine. En tant que ministre, j’ai voulu organiser ce marché qui est le plus important du Maghreb vu, et tout le monde le sait, tout ce qui se passe dans les bars clandestins. Il suffit de voir les rapports de la gendarmerie, c’est un marché que l’Etat doit organiser à tout prix.»
Affirmant qu’il avait travaillé conformément aux directives du président de la République, Benyounès, qui révèle que ses prédécesseurs avaient accordé plus de 1000 licences pour l’alcool, soutient qu’il a pris cette décision pour «protéger l’économie nationale».
El Watan du 10 octobre 2015
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