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A qui revient le mérite si le pays prospère?

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  • #16
    Le mérite revient à :

    - L'armée de libération nationale, qui a permis que la république perdure.

    -A toutes les femmes qui ont été en première ligne de la société civile.

    - Aux enseignantes de Français qu'on a condamné à mort et qui, chaque jour que le bon dieu a fait, ont assuré leur job.

    - A tous les parents qui ont bravé "la mort" en envoyant leur progéniture à l'école

    - Aux services de sécurité qui ont traqué la bête immonde

    - Au Bon dieu, en irriguant notre sous-sol de richesses

    - A tous ceux qui ont cru et croient en une Algerie meilleure

    - A ceux qui ont refusé de faire comme ceux qui gaspillé la rente par le PAP (Plan anti-pénurie du temps de Chadli) et de les placer dans la machine économique.

    Cela en fait du monde. Le mérite revient finalement a presque tous les Algeriens.

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    • #17
      A qui revient le mérite si le pays prospère?

      A Dieu , tout simplement ! (Noubat )

      .................................................. .....

      Aide toi ,le ciel t'aidera .

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      • #18
        comme sapien je ne considére pas que l'Algérie prospère , je comprends pas si la question est d'ordre géneral ou si elle concerne nos pays respectifs

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        • #19
          Cependant, la marge de manoeuvre de Bouteflika envers les militaires est limitée. L'Algérie étant la copie conforme de la Turquie où aussi l'armée conserve un oeil ouvert sur les politiques.
          ___________________________________

          Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable. Mais il cherche aussi à s'emparer de tous les leviers du pouvoir. Il acquiert, en effet, assez vite la conviction que l'armée n'est peut-être pas aussi forte qu'il y paraît ou qu'elle se plaît à le faire croire. Il rencontre des généraux vulnérables et inquiets, qui craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Surtout, après que le général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense, eut été nuitamment «exfiltré» de France pour éviter d'être traduit en justice par la famille d'un jeune islamiste mort sous la torture... Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le nO 2 du régime... Autant de propos qui passent mal.

          http://www.lexpress.fr/info/monde/do...asp?ida=427152


          http://www.lexpress.fr/info/monde/do...ida=425761&p=1

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          • #20
            petrole ne connait pas la crise

            le merite vient au nucleaire iranien, la crise russo-ukrainnienne, la conso chinoise et us, conflit nigerien....par conséquent le prix du baril

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            • #21
              Pour voter j'ai cherché une case qui peut correspondre à mes options mais je n'ai rien trouvé.
              Et si je vous posais la question: A qui revient la réussite d'une entreprise?
              Perso je ne vois bcps de diffce entre une entreprise, une famille et un pays!

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              • #22
                LA FAMILLE (on commence par le début)

                - il y a la famille médiévale: le chef de famille et maître à bord, jusqu'à son décès. La relève ce sera le fils. (si je me trompte il faut me le dire)
                - Ensuite la famille du XIX siècle: le schéma ne changea que très peu. Les membres de la famille se libèrent un peu et certains s'exilent ou émigrent vers d'autres contrées.
                - Enfin, pour schématiser et faire vite, la famille moderne, celle du XXI siècle.
                Les enfants sont libres, choisisent leur compagne ou compagnon, parfois se marient seuls, sont libres économiquement et font évoluer la société.

                L'ENTREPRISE---- idem-

                LA NATION----- idem-

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                • #23
                  cf suivant
                  Dernière modification par éliamine, 20 décembre 2006, 14h06.

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                  • #24
                    cyberch

                    Cependant, la marge de manoeuvre de Bouteflika envers les militaires est limitée. L'Algérie étant la copie conforme de la Turquie où aussi l'armée conserve un oeil ouvert sur les politiques.Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable. Mais il cherche aussi à s'emparer de tous les leviers du pouvoir. Il acquiert, en effet, assez vite la conviction que l'armée n'est peut-être pas aussi forte qu'il y paraît ou qu'elle se plaît à le faire croire. Il rencontre des généraux vulnérables et inquiets, qui craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Surtout, après que le général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense, eut été nuitamment «exfiltré» de France pour éviter d'être traduit en justice par la famille d'un jeune islamiste mort sous la torture... Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le nO 2 du régime... Autant de propos qui passent mal.
                    Cette lecture politique de l'Algérie est dépassé, et de plus il faut précisé les choses, ce n'est pas l'armée qui a de l'influence politique aujourd'hui(un Gaïed Salah ne fait pas le poids face à Bouteflika, il est moins influent qu'un Belkhadem, Khelil, Temmar, Benachenhou, Belaïz, Bejaoui ,Medelci ou Sellal. ceci pour une raison très simple, n'était il pas le directeur de campagne de Boutef. De plus après sa réelection Boutef a réussit a mettre à la retraite le clan de Lamari, ce drnier n'a même pas eu son mot à dire dans le choix de son succéssésseur, et Boutef a nommé des fidèles à des postes stratégiques:Sanhadji, Zerhouni(cousin du ministre de l'intérieur), Zenakhri, Bendimered, Gaïed Salah. l'ANP ne joue plus aucun role politique indépendeament de la volonté de Boutef.
                    Dernière modification par éliamine, 16 août 2013, 23h28.

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                    • #25
                      Les enfants squattent les lieux; j'ai qques minutes.

                      L’ENTREPRISE.
                      Il y avait le père, devenu grand-père mais c’est tjs lui le patron. C’est la communauté familiale qui gère et qui prospère.
                      En ce XIX° siècle, les ouvriers faisaient les 7/7. Ils travaillaient tous les jours, du matin au soir sans que leurs conditions changent pour autant et, de père en fils: mineur son fils le sera et ainsi de suite.
                      Arrivent les révolutions, naissance du syndicalisme et prise de conscience du fait « exploitation », le socialisme, la lutte des classes …
                      Car, n’oublions pas l’esclavage, la colonisation, la déportation est l’œuvre du capitalisme.
                      De la violence naît la prise de conscience.
                      Il a fallut beaucoup de révoltes, de grèves pour améliorer le quotidien : naissance d’un prolétariat politisé et engagé. L’entreprise doit s’adapter et s’incliner devant certaines revendications salariales et sociales. Marx disait:
                      « Le déroulement de l’Histoire s’explique non par l’évolution de la pensée humaine, mais par celle des conditions de la vie matérielle… le droit, la morale, la religion, les arts ne sont que l’expression, la transposition idéale de la réalité économique »
                      Les grandes entreprises, fondées à l’origine par une personne (Ford, Renault…), deviennent des sociétés à capitaux avec associés et conseil d’administration. Ce qui veut dire,la décision est collégiale et non unipersonnelle.
                      Les entreprises de nos grands parents et même parents, c’est du passé et ceux qui restent disparaissent.
                      L’entreprise d’aujourd’hui est basée sur l’intelligence, sur la compétitivité, le travail en groupe, sur la professionnalisation et les qualités humaines d’adaptation et d’innovation.
                      Nous vivons l’ère de la nanotechnologie et de l’information instantanée.

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