Louisa Hanoune, qui animait samedi une conférence de presse n’a pas manqué d’évoquer le procès du général Hassan, condamné jeudi, à huis clos à cinq ans de prison.
La première dame du PT a fait à ce propos une révélation importante qui en dit long sur les arrières pensées politiques qui ont présidé à la tenue de ce procès.
« En 2014, j’ai rencontré le président Bouteflika, j’ai parlé avec lui de cette affaire » et la réponse du président selon madame Hanoune: « Oui, je connais bien le dossier, c’est un officier compétent et honnête, il n’a commis aucune faute, le dossier est classé ».
Comment se fait-il donc que cet officier soit arrêté puis jugé alors que le président l’avait absous selon Louisa Hanoune ? Pour elle, pas l’ombre d’un doute « c’est le pouvoir parallèle qui est derrière ce procès ».
Pour la patronne du Parti des Travailleurs, ce procès « est la preuve que des personnes non habilitées constitutionnellement décident à la place du président Bouteflika ». Ce qui, de son point de vue, conforte bien les inquiétudes exprimées par « le groupe des 19-4 » dans leur lettre.
Louisa Hanoune évoque aussi les conséquences de la condamnation du général Hassan, la considérant comme « une insulte à l’arme algérienne qui a mené le combat contre le terrorisme et un encouragement à Daech ».
algerie1
La première dame du PT a fait à ce propos une révélation importante qui en dit long sur les arrières pensées politiques qui ont présidé à la tenue de ce procès.
« En 2014, j’ai rencontré le président Bouteflika, j’ai parlé avec lui de cette affaire » et la réponse du président selon madame Hanoune: « Oui, je connais bien le dossier, c’est un officier compétent et honnête, il n’a commis aucune faute, le dossier est classé ».
Comment se fait-il donc que cet officier soit arrêté puis jugé alors que le président l’avait absous selon Louisa Hanoune ? Pour elle, pas l’ombre d’un doute « c’est le pouvoir parallèle qui est derrière ce procès ».
Pour la patronne du Parti des Travailleurs, ce procès « est la preuve que des personnes non habilitées constitutionnellement décident à la place du président Bouteflika ». Ce qui, de son point de vue, conforte bien les inquiétudes exprimées par « le groupe des 19-4 » dans leur lettre.
Louisa Hanoune évoque aussi les conséquences de la condamnation du général Hassan, la considérant comme « une insulte à l’arme algérienne qui a mené le combat contre le terrorisme et un encouragement à Daech ».
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