Bonjour, et avec les Quicks et les Mac Do, ça ne va pas s'arranger.
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« En Algérie on mange mal. » Ce titre, qui fait la Une d’un confrère, est puisé des résultats d’une enquête nationale sur la santé menée par l’Institut national de santé publique.
Ce n’est pas vraiment une surprise. Et pour cause, il n’est un secret pour personne que les Algériens, dans leur majorité, se nourrissent mal. Très mal même. Et les conséquences d’une telle situation sur la santé publique sont évidemment prévisibles.
Dès lors que l’on affirme que les Algériens sont hypertendus, qu’ils sont diabétiques, qu’ils devraient marcher plus et équilibrer leur alimentation est tout à l’honneur des enquêteurs, qui espèrent ainsi remédier à une situation qui sans cela, irait en empirant.
Sauf que pour ce faire, il faudrait donner les moyens aux gens en vue de s’épanouir, de pratiquer une activité physique ; il faudrait ouvrir des cantines au niveau des entreprises et des ministères afin que les personnels puissent manger correctement au lieu de s’empoisonner au quotidien avec les éternels sandwichs et pizzas. Or ces éléments-là ne sont évoqués dans aucune des enquêtes menées...
N. K.
30 décembre 2006. Les debats
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« En Algérie on mange mal. » Ce titre, qui fait la Une d’un confrère, est puisé des résultats d’une enquête nationale sur la santé menée par l’Institut national de santé publique.
Ce n’est pas vraiment une surprise. Et pour cause, il n’est un secret pour personne que les Algériens, dans leur majorité, se nourrissent mal. Très mal même. Et les conséquences d’une telle situation sur la santé publique sont évidemment prévisibles.
Dès lors que l’on affirme que les Algériens sont hypertendus, qu’ils sont diabétiques, qu’ils devraient marcher plus et équilibrer leur alimentation est tout à l’honneur des enquêteurs, qui espèrent ainsi remédier à une situation qui sans cela, irait en empirant.
Sauf que pour ce faire, il faudrait donner les moyens aux gens en vue de s’épanouir, de pratiquer une activité physique ; il faudrait ouvrir des cantines au niveau des entreprises et des ministères afin que les personnels puissent manger correctement au lieu de s’empoisonner au quotidien avec les éternels sandwichs et pizzas. Or ces éléments-là ne sont évoqués dans aucune des enquêtes menées...
N. K.
30 décembre 2006. Les debats
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