À la faveur de la surabondance de la récolte, cette annéeLa production excédentaire de la pomme de terre dans le pays, cette année, s'est répercutée positivement sur les prix de ce légume de large consommation.
En effet, après avoir flirté avec des tarifs vertigineux par le passé et connu une certaine pénurie sur le marché national, la pomme de terre est devenue, ces derniers jours, l'un des légumes les plus disponibles sur les étals des primeurs. La surabondance de ce tubercule lui a valu la chute inespérée de ses prix, lesquels continuent d’ailleurs leur dégringolade effrénée. À Tazmlat, ville située à 85 kms au Sud-ouest de la wilaya de Béjaïa, la fameuse pomme de terre a connu une baisse inattendue de ses prix. Actuellement, elle est vendue à seulement 20 da/kg sur les accotements de la RN26 qui passe par cette commune située dans la vallée de la Soummam. D'innombrables étals des fruits et légumes sont installés, de part et d'autre de cet axe routier des plus névralgiques. Cela a bien évidemment fait le bonheur des automobilistes qui ne s'en privent pas pour en acheter de grandes quantités, pour -pourquoi pas- les stocker !"Sait-on jamais, avec les fluctuations et l'instabilité des prix, je préfère stocker un peu de pomme de terre pour être à l'abri pour quelques semaines au plus! Et puis, cela fait très longtemps que je n'ai pas acheté ce légume à 20 da/kg, autant en profiter alors", jubilait presque un père de famille rencontré devant un étal achalandé de pommes de terre! Dans la foulée, il n'est pas exclu que les prix de ce légume diminuent encore davantage, car sa surabondance sur le marché national et local est difficile à "absorber". Par ailleurs, ce ne sont pas uniquement les ménages qui ont trouvé leur compte dans cette baisse salutaire des tarifs du tubercule, les restaurateurs et autres propriétaires de fast-food en ont tiré, également, des profits inespérés. Cependant, en dépit de la diminution des prix de la pomme de terre, les tarifs de certains plats comme les frites, la purée et la pomme boulangère, entre autres, n'ont pas baissé chez les restaurateurs. Bien au contraire, ils sont, de ce fait, payés rubis sur ongle à 150 da l'assiette! La Dépêche de Kabylie
En effet, après avoir flirté avec des tarifs vertigineux par le passé et connu une certaine pénurie sur le marché national, la pomme de terre est devenue, ces derniers jours, l'un des légumes les plus disponibles sur les étals des primeurs. La surabondance de ce tubercule lui a valu la chute inespérée de ses prix, lesquels continuent d’ailleurs leur dégringolade effrénée. À Tazmlat, ville située à 85 kms au Sud-ouest de la wilaya de Béjaïa, la fameuse pomme de terre a connu une baisse inattendue de ses prix. Actuellement, elle est vendue à seulement 20 da/kg sur les accotements de la RN26 qui passe par cette commune située dans la vallée de la Soummam. D'innombrables étals des fruits et légumes sont installés, de part et d'autre de cet axe routier des plus névralgiques. Cela a bien évidemment fait le bonheur des automobilistes qui ne s'en privent pas pour en acheter de grandes quantités, pour -pourquoi pas- les stocker !"Sait-on jamais, avec les fluctuations et l'instabilité des prix, je préfère stocker un peu de pomme de terre pour être à l'abri pour quelques semaines au plus! Et puis, cela fait très longtemps que je n'ai pas acheté ce légume à 20 da/kg, autant en profiter alors", jubilait presque un père de famille rencontré devant un étal achalandé de pommes de terre! Dans la foulée, il n'est pas exclu que les prix de ce légume diminuent encore davantage, car sa surabondance sur le marché national et local est difficile à "absorber". Par ailleurs, ce ne sont pas uniquement les ménages qui ont trouvé leur compte dans cette baisse salutaire des tarifs du tubercule, les restaurateurs et autres propriétaires de fast-food en ont tiré, également, des profits inespérés. Cependant, en dépit de la diminution des prix de la pomme de terre, les tarifs de certains plats comme les frites, la purée et la pomme boulangère, entre autres, n'ont pas baissé chez les restaurateurs. Bien au contraire, ils sont, de ce fait, payés rubis sur ongle à 150 da l'assiette! La Dépêche de Kabylie
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