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Quand Bouchouareb accusait Rebrab de fraude fiscale

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  • #16
    *n y'a pas de meilleure Zaouia que "Sidi Panama"
    excellent .
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #17
      @khor

      Tout comme les services étrangers paient de nombreux forumeurs comme toi pour soutenir REBRAB et acolytes.
      paroles paroles paroles oeilfermé
      "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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      • #18
        Ils aiment leur equipe les supporters de la JSK.
        My will is strong,it's my won't that is weak.

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        • #19
          Si vous avez lu lesarticles que j'ai posté ici, vous avez du remarquer qu'un forumeur , me traitait de rabrabiste et lorsque Bouchouareb et son acolyte du FCE ont attaqué violemment Rebrab, ce forumeur a pris la défense du ministre, et maintenant il a tourné sa veste et dis que Bouchouareb était protégé par la DRS.

          Il ne digére toujours pas de sa mise à l'écart ( avec son mentor) par Boutef .
          Tout est bon pour lui pour raconter n'importe quoi .

          Manque de tranxéne ou autre endormissant .
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #20
            Dur, dur d’enquêter sur les affaires du magnat Isaad Rebrab en Algérie. Preuve en est, depuis mai 2014, l’enquête déclenchée par Cellule de Traitement du Renseignement Financier sur les transferts de dividendes du groupe CEVITAL n’a donné aucune suite. Pis encore, selon des source concordantes proches du CTRI, cette enquête a été tout simplement gelée suite à des pressions « exercées d’en haut ». Et pourtant, de nombreuses banques algériennes et étrangères établies en Algérie avait reçu depuis mai 2014 une correspondance du CTRI leur exigeant de lui transmettre toutes les informations concernant les opérations financières effectuées par le groupe CEVITAL. Le CTRI voulait enquêter à l’époque sur les dessous de l’acquisition de CEVITAL en avril 2014 de la marque française BRANDT. Les enquêteurs du CTRI soupçonnaient des transferts de dividende illicites. Des soupçons qu’ils ne pourront jamais vérifier puisque leur enquête a été bloquée « pour des considérations politiques ». Qui dit que Rebrab n’a pas de soutiens au sein du régime algérien ?
            Par La redaction de Mondafrique -
            19 août 2015
            Dernière modification par Sitchad, 06 avril 2016, 11h39.
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            • #21
              Quand Bouchouareb accusait Rebrab de fraude fiscale
              Cela ne veut par dire que Rebrab est une blanche colombe.

              Les voleurs se tirent bien dans les pattes au moment du partage du gâteau.


              Bouchouareb et Rebrab même combat.

              Dur, dur d’enquêter sur les affaires du magnat Isaad Rebrab en Algérie. Preuve en est, depuis mai 2014, l’enquête déclenchée par Cellule de Traitement du Renseignement Financier sur les transferts de dividendes du groupe CEVITAL n’a donné aucune suite. Pis encore, selon des source concordantes proches du CTRI, cette enquête a été tout simplement gelée suite à des pressions « exercées d’en haut ». Et pourtant, de nombreuses banques algériennes et étrangères établies en Algérie avait reçu depuis mai 2014 une correspondance du CTRI leur exigeant de lui transmettre toutes les informations concernant les opérations financières effectuées par le groupe CEVITAL. Le CTRI voulait enquêter à l’époque sur les dessous de l’acquisition de CEVITAL en avril 2014 de la marque française BRANDT. Les enquêteurs du CTRI soupçonnaient des transferts de dividende illicites. Des soupçons qu’ils ne pourront jamais vérifier puisque leur enquête a été bloquée « pour des considérations politiques ». Qui dit que Rebrab n’a pas de soutiens au sein du régime algérien ?
              Par La redaction de Mondafrique -
              19 août 2015

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              • #22
                Ton article du mondafrique est sorti quelques jours aprés les attaques virulentes de Bouchouareb contre Rabrab .

                Comme ils n'ont rien trouvé , ils ont bloqué l'enquête , ni plus ni moins .
                " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                • #23
                  Rebrab sauve des milliers d'emplois .



                  Rebrab, nouveau patron du groupe El Khabar
                  par R. N.


                  L'homme d'affaires, propriétaire du groupe Cevital et du journal Liberté, Issad Rebrab est désormais le nouveau patron du groupe El Khabar, apprend-on de sources concordantes. Sur les dix-huit actionnaires, 17 ont donné leur accord pour la cession de 94% du capital du groupe qui comprend le titre en arabe El Khabar, la chaîne de télévision KBC, ainsi que cinq imprimeries, dans lesquelles le journal El Watan est aussi actionnaire. L'acte de cession des 94% des parts du groupe a été signé lundi et le montant de la transaction se monte à quatre milliards de dinars. Confrontés à des difficultés financières, le groupe El Khabar avait décidé au mois de décembre dernier d'ouvrir son capital.
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #24
                    Dur, dur d’enquêter sur les affaires du magnat Isaad Rebrab en Algérie. Preuve en est, depuis mai 2014, l’enquête déclenchée par Cellule de Traitement du Renseignement Financier sur les transferts de dividendes du groupe CEVITAL n’a donné aucune suite. Pis encore, selon des source concordantes proches du CTRI, cette enquête a été tout simplement gelée suite à des pressions « exercées d’en haut ».
                    oui c'est ça l'enquête de la CTRI n'a aboutit à rien elle n'a nullement été gelée rien ne saurait gelée unetelle enquête , certains n'ont pas supporté que Rebrab ne leur mange pas dans la mainen allant pas supplier la banque d'algérie

                    jusqu’à preuve du contraire; (preuve ,j'en suis sure, que vous vous empresserez de nous apportez s'il en est une ) Rebrab est irréprochable et blanc comme neige comme une colombe ce qui est loin d'être le cas de votre Bouchouarb noir comme un corbeau désormais que vous avez défendu je me rappelle lorsqu'il a chargé rebrab, c'est dure pour certains mais c'est la réalité.
                    "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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                    • #25
                      Conclusion de simple d'esprit qui pense que les gens défendent le voleur de Bouchouareb, alors il vient à la rescousse son gourou.

                      Pense a lui envoyer ton CV, peut être qu’il pensera à toi pour remplir les bouteilles d'huiles à Bejaia.
                      Dernière modification par wouhou, 06 avril 2016, 13h09.

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                      • #26
                        « Commencer grand et aller trop vite », le dossier noir de Rebrab !
                        A l’occasion de la parution du livre « Issad Rebrab Voir petit, Commencer petit et Aller vite », je publie cette enquête sur le parcours du patron de Cevital parue dans Demain l’Algérie (juiilet 1999).
                        Un crime dans son sens large est un manquement très grave à la morale, à la loi et, lorsqu’on bafoue les lois de la République et qu’on lèse le citoyen quant à ses droits et ses intérêts en attentant à l’économie nationale, l’on se rend coupable des pires délits.
                        L’ »empire » Rebrab, dans son essor, n’aura lésiné ni sur les moyens ni sur les méthodes.
                        Le mode opératoire suit une rigoureuse logique dans cette soif d’argent et de pouvoir.
                        Au départ trois hommes : Rebrab, Chetih Messaoud et Yahia Nazef (alors directeur central de la métallurgie au ministère de l’Industrie) voulaient avoir la main- mise sur tous les produits ferreux.
                        S’entend par ferreux la ferraille destinée au recyclage et à la production du rond à béton et des profilés.
                        Le trio, par la suite, s’agrandira d’une quatrième personne qui n’était autre que le directeur commercial de la société ENICAB, laquelle agissait dans les non ferreux, les déchets de cuivre à l’exportation, l’achat de câbles à l’étranger ainsi que dans la production de câbles.
                        Les quatre hommes feront alors élaborer un arrêté interministériel, celui du 24 mars 1992, portant suspension de certaines marchandises à l’exportation, entre autres les ferreux et non ferreux. Toutefois, cet arrêté, en son article 3, stipulait qu’il pourrait être délivré à titre exceptionnel des autorisations d’exportation. L’arrêté n’aurait, en fait, pour but que de contrer les autres opérateurs économiques afin que ceux-ci n’agissent plus sur le marché national. Les « 3 + 1″ pouvaient alors maintenir leur monopole sur les produits ferreux et non ferreux.
                        Les ministres du Commerce et de l’Industrie informés
                        Un opérateur pourtant ne cessait à l’époque de harceler les ministres du Commerce et de l’Industrie, menaçant même de médiatiser l’affaire dans le cas où l’arrêté n’était pas annulé, car basé sur des données erronées. Il parviendra quand même à le faire annuler suite aux entretiens qu’il aurait eus avec M. Belgacem Belarbi, ministre de l’Industrie, et M. Mostefa Makraoui le ministre du Commerce.
                        Il lui sera alors délivré une dérogation interministérielle, lui permettant l’exportation de ces produits, et ce, dans l’attente de l’examen de son dossier allant dans le sens de l’annulation de l’arrêté qui ne servait en fait que les intérêts des « 3 + 1″ et ceux des sociétés étrangères.
                        L’opérateur, entre-temps, réussira à faire annuler l’arrêté et provoquera en date du 14. 04.1993 une réunion interministérielle, présidée par Yahia Nazef, au siège du ministère du Commerce. Il faut noter qu’à cette réunion étaient présents la société ENICAB, représentée par M. Belkhodja, Sider El Hadjar, les unités de récupération Est, Ouest et Centre, un représentant de Métal Sider, la société METANOF, la direction générale des douanes…
                        Lors de cette réunion, l’opérateur avait insisté sur l’annulation pure et simple de l’arrêté en exhibant des rapports signés par Nazef et destinés au ministre du Commerce pour le maintien de l’arrêté.
                        Or, ces rapports étaient erronés et scandaleux, car Nazef, en fait, induisait en erreur trois ministres (Industrie, Commerce et Budget).
                        Deux des ministres furent pourtant convaincus par l’opérateur qui demandait l’annulation des dispositions de l’arrêté.
                        Malheureusement, le changement de chef de gouvernement opéré à l’époque gèlera les décisions.
                        L’arrêté sera abrogé au début de l’année 1994 et sera suivi par une circulaire de la Banque d’Algérie, celle du 12 avril 1994. Celle-ci rappelait d’une part aux opérateurs économiques d’être en adéquation avec les prix pratiqués à l’étranger, et donc en référence à la Bourse et, d’autre part, insistait sur le rapatriement des valeurs exportées. En fait, tout se jouait sur la création de patrimoine à l’étranger, grâce à ces exportations.
                        Instauration d’un monopole de fait
                        Les dispositions de l’arrêté seront donc abrogées et tous les produits devinrent libres à l’exportation ,à l’exception des plants de palmier, et des objets d’art.
                        Les questions que l’on se pose à ce niveau-là déjà sont : les exportations de Rebrab avant et après 1994 ont-elles été des exportations qui appelaient au rapatriement des fonds ou ont-elles au contraire été des exportations liées à l’importation ? Les prix pratiqués par Rebrab sur la ferraille étaient-ils en conformité avec la Bourse et le LME (London Metal Exchange) ?
                        L’information vérifiée prouve bien, quant à elle, qu’il a acheté de la ferraille auprès des unités de récupération d’Alger ERWA (Entreprise de récupération de la wilaya d’Alger, domiciliée à Côte rouge à Hussein Dey).
                        Rebrab justifiera l’achat de cette ferraille par le fait de la transformer en rond à béton, or, elle sera exportée. Il arguera alors de cette transaction en prétextant que son usine aurait été saccagée par des soi- disant terroristes.
                        Une autre information fera, quant à elle, état que même le matériel importé par Rebrab d’Italie dans le cadre de son projet de production de rond à béton était du matériel rénové. Alors que le matériel rénové était, selon les lois en vigueur, (voir le dossier de la Chambre de commerce de l’époque) interdit d’importation. Pour référence également, il y a lieu de voir les publicités de l’époque insérées dans Algérie Actualité et dans d’autres journaux entre 1989 et 1991 et dans lesquelles Metal Sider annonçait la production de rond à béton avec comme perspectives une production de 400 000 t/an. Or, ce matériel et les laminoirs importés ne pourraient atteindre cette quantité.
                        Tous les marchés de Rebrab étaient, en fait, liés à l’importation des produits destinés à la revente en l’état (voire cornière, fer-plat…), et ce, jusqu’à l’heure actuelle.
                        En s’agrandissant, l’empire Rebrab engloutira les monopoles du sucre, du lait, CMV (complexe vitaminique) les farines, aliments de bétail…
                        La mafia du patrimoine à l’étranger
                        Après 1994, les exportations hors hydrocarbures, après avoir pollué l’environnement économique (tous produits confondus à l’exportation), ont permis l’émergence d’une « mafia » spécialisée dans la création de patrimoines à l’étranger au détriment de l’économie nationale.
                        Les exemples foisonnent et nous pouvons d’ores et déjà donner quelques récentes exportations frauduleuses qui ont eu pour théâtre le port d’Alger.
                        Entre le 28 et le 30 juillet 1998, l’exportateur Issiyakhem Mehdi exportra 80 tonnes de cuivre à 1,50 FF le kilogramme et vient d’en exporter encore 112 tonnes. Le produit en question, cuivre sudronic était entreposé dans les parcs de l’EMB (entreprise publique d’emballage de Gué de Constantine)

                        SUITE SE TROUVE SUR "El watan" DU 22 01 2012 et sur FA_DZ du même jour
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                        • #27
                          quand on commence par un mensonge....
                          l'arrete dont l'article met en avant pour commencer sa demonstration est venu suite a la collision entre les ferrailleurs et les bandes qui ecumes le pays pour demonter les lignes electriques et tout reseau fillaire afin d'alimenter ces vautours

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