ernestito
effectivement zek, et c'est la ou on pourra parler d'investissement de l'armée, pour l'instant ce n'est pas du tout le cas.
la DCIM (Direction centrale de l’industrie militaire) emploie aujourd’hui plus de 14.000 personnes !!!
Les USA eux mêmes importent des armes !!!
Les canons des chars Abrams sont Allemands , canon Rheinmetall .
Des mitrailleuses lourdes Belges............................................ .......................
zek
Un pourcentage des achats d'armes doivent être réaliser et monté en Algérie pour réduire le chômage comme pour les tram d’Alstom.
Un pourcentage des achats d'armes doivent être réaliser et monté en Algérie pour réduire le chômage comme pour les tram d’Alstom.
Toutefois, le partenaire traditionnel, la Russie, a réussi à capter la part du lion des dépenses militaires. En 2007, la DCIM (Direction centrale de l’industrie militaire) dirige déjà plusieurs grandes entreprises de production. Enumérons quelques-unes : l’ECMK (Entreprise de construction mécanique de Khenchela), l’ERIS (Entreprise des réalisations industrielles de Seriana) et l’EHC (Etablissement d’habillement et couchage), et l’Etablissement de développement de l’industrie de véhicule (EDIV/Tiaret). L’ECMK a débuté la fabrication des armes légères, comme la kalachnikov, en réalité en 1990.
A partir de 2002, elle fabrique d’autres armes, comme le fusil à pompe. Quant à l’ERIS, sa vocation principale est la fabrication de munitions, des grenades et des mines antichars. On fabrique également des outillages et les instruments de mesure, des appareillages pour les hôpitaux et des appareils paramédicaux. La Société commune algérienne de fabrication de systèmes électroniques (SCAFSE) avec les sociétés Aabar (Emirates arabes unis), Ferrostal et Rheinmetall fabrique aujourd’hui du matériel électronique (appareils de communication, radars…).
Cette entreprise est basée sur le site de l’ENIE de Sidi Bel Abbès. Un des accords avec ce consortium porte sur la modernisation et l’extension de la plate-forme de production de véhicules industriels de la SNVI, à Rouiba. Le premier camion made in Algeria, de marque Mercedes-Benz, est sorti de ce site en avril 2014. La capacité de production de cette usine est estimée à 2000 camions industriels.
Le Groupement de la promotion de l’industrie mécanique (GPIM) situé à Constantine, quant à lui, fabrique le véhicule blindé léger. Le groupe allemand Rheinmetall, en partenariat avec Ferrostal, ont signé en août 2014 avec l’Algérie un autre contrat pour la construction d’une usine clef en main pour la production de 980 blindés Fuchs à Aïn Smara, à l’est du pays. Le MDN a aussi récupéré le projet Fatia qui devait aboutir à l’origine à la construction de voitures de marque italienne.
Plusieurs gouvernements avaient annoncé dans le passé la sortie imminente de la «première voiture algérienne». Mais en vain. Il fut récupéré par l’ANP au même titre que d’autres usines. A la veille du 60e anniversaire du déclenchement de la lutte armée, cette usine située dans la wilaya de Tiaret fut inaugurée par le chef d’état-major de l’ANP. La production annuelle de cette usine est estimée à 6000 véhicules de type «Mercedes Spinter» destinés à tous les usages, et 2000 véhicules 4x4 à des usages militaires et paramilitaires.
La désindustrialisation des années 1980 et 1990 a conduit à la fermeture de nombreuses entités de production et de commercialisation, notamment les unités de textile, de cuir et de chaussures, pour être privatisées. Très discrètement, l’ANP les a rouverts après assainissement et mise à niveau. L’ANP, après avoir relancé l’usine de chaussures de Bou Saâda, a également repris les complexes textiles de Batna, Béjaïa, Draâ Ben Khedda (Tizi Ouzou), Tlemcen (Sebdou), Souk Ahras et de M’sila. L’ANP répond aujourd’hui à tous ses besoins en matière d’habillement et autres.
L’Algérie va dominer toutes les phases qui caractérisent l’industrie textile, à savoir la filature, le finissage et la confection. La culture du coton est prévue dans cette perspective. La production de la fibre synthétique n’est pas absente de cette stratégie. Bref, le soldat algérien est aujourd’hui «habillé de la tête aux pieds avec des effets made in Algeria». L’ANP compte même exporter la surproduction. En revanche, le citoyen lambda s’habille en «made in China !»
A partir de 2002, elle fabrique d’autres armes, comme le fusil à pompe. Quant à l’ERIS, sa vocation principale est la fabrication de munitions, des grenades et des mines antichars. On fabrique également des outillages et les instruments de mesure, des appareillages pour les hôpitaux et des appareils paramédicaux. La Société commune algérienne de fabrication de systèmes électroniques (SCAFSE) avec les sociétés Aabar (Emirates arabes unis), Ferrostal et Rheinmetall fabrique aujourd’hui du matériel électronique (appareils de communication, radars…).
Cette entreprise est basée sur le site de l’ENIE de Sidi Bel Abbès. Un des accords avec ce consortium porte sur la modernisation et l’extension de la plate-forme de production de véhicules industriels de la SNVI, à Rouiba. Le premier camion made in Algeria, de marque Mercedes-Benz, est sorti de ce site en avril 2014. La capacité de production de cette usine est estimée à 2000 camions industriels.
Le Groupement de la promotion de l’industrie mécanique (GPIM) situé à Constantine, quant à lui, fabrique le véhicule blindé léger. Le groupe allemand Rheinmetall, en partenariat avec Ferrostal, ont signé en août 2014 avec l’Algérie un autre contrat pour la construction d’une usine clef en main pour la production de 980 blindés Fuchs à Aïn Smara, à l’est du pays. Le MDN a aussi récupéré le projet Fatia qui devait aboutir à l’origine à la construction de voitures de marque italienne.
Plusieurs gouvernements avaient annoncé dans le passé la sortie imminente de la «première voiture algérienne». Mais en vain. Il fut récupéré par l’ANP au même titre que d’autres usines. A la veille du 60e anniversaire du déclenchement de la lutte armée, cette usine située dans la wilaya de Tiaret fut inaugurée par le chef d’état-major de l’ANP. La production annuelle de cette usine est estimée à 6000 véhicules de type «Mercedes Spinter» destinés à tous les usages, et 2000 véhicules 4x4 à des usages militaires et paramilitaires.
La désindustrialisation des années 1980 et 1990 a conduit à la fermeture de nombreuses entités de production et de commercialisation, notamment les unités de textile, de cuir et de chaussures, pour être privatisées. Très discrètement, l’ANP les a rouverts après assainissement et mise à niveau. L’ANP, après avoir relancé l’usine de chaussures de Bou Saâda, a également repris les complexes textiles de Batna, Béjaïa, Draâ Ben Khedda (Tizi Ouzou), Tlemcen (Sebdou), Souk Ahras et de M’sila. L’ANP répond aujourd’hui à tous ses besoins en matière d’habillement et autres.
L’Algérie va dominer toutes les phases qui caractérisent l’industrie textile, à savoir la filature, le finissage et la confection. La culture du coton est prévue dans cette perspective. La production de la fibre synthétique n’est pas absente de cette stratégie. Bref, le soldat algérien est aujourd’hui «habillé de la tête aux pieds avec des effets made in Algeria». L’ANP compte même exporter la surproduction. En revanche, le citoyen lambda s’habille en «made in China !»
Un pays importateur d'armement ne sera jamais une puissance militaire,
Les canons des chars Abrams sont Allemands , canon Rheinmetall .
Des mitrailleuses lourdes Belges............................................ .......................
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