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Urgent : la police encercle le nouveau siège d’El Watan

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  • #46
    Serpico

    Et puis n'est ce pas disproportionné de mobiliser toute une armada pour un certificat de conformité ?

    Comme avec la triche au bac , on utilise un marteau-piqueur pour casser un caillou..


    J'en connais qui aimeraient être encerclés par une armada de 10.000 policiers,que subir les caprices d'une berhoucha en manque .

    Le bâtiment qui abrite les bureaux de la Compagnie générale immobilière (CGI) à la Marina de Casablanca a été détruit. Jugé « disgracieux », cette démolition serait due à une colère royale.

    D’après le journal l’Economiste, confirmée par le site TelQuel, le roi Mohammed VI aurait ordonné la destruction des bureaux de la société et aucun motif n’a été fourni à la CGI. « Aucun motif ne nous a été communiqué officiellement pour le moment », explique une source au sein de la CDG à TelQuel.
    MADOUMTA FIL LMAGHREB FALA TASTAGHREB

    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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    • #47
      Ils construisent un étage de plus.

      Ils empiettent sur le domaine public.

      Ils bafouent les lois mais ceux sont toujours les premiers à donner des leçons aux autres.
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #48
        Bledard

        Ils se sont en plus alliés avec des enfants d'harkis qui me haïssent donc je ne leur ferai aucun cadeau. La fille du FLN les emmerdent royalement tous autant qu'ils et elles sont.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #49
          Le règne de la médiocrité, un journal aussi "prestigieux" qui se comporte comme un vulgaire "beggar" s’appropriant les biens publiques et construisant en toute illégalité. Et on trouve des gens qui essayent de justifier cette médiocrité.

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          • #50
            @elbierois: sérieusement khou


            sur les milliers de retraits de permis, combien sont rendus dans la semaine?
            sur les milliers de commerçants, combien déclarent honnêtement leurs impots?
            sur les milliers d'héctars de terrain que tahkout occupe, combien lui reviennent de droit?
            sur les millions d'algériens qui vivent dans des taudis, des bidonville, qui squattent, combien vivent dans la légalité?
            sur les milliers de parkingueurs, combien travaillent honnêtement?
            sur les milliers de boucheries, combien sont contrôlée REELLEMENT par les services d'hygiène?
            sur les milliers de fonctionnaires, combien travaillent réellement huit heures par jour?
            sur les milliers de bénéficiaires de logement sociaux, combien ont légitimement eu ce privilège?
            sur les milliers de bénéficiaires des crédits ANSEJ, combien ont réellement crée une petite entreprise? combien vont rembourser leur crédit?
            la plus part, font partie de plusieurs catégories en même temps...

            nzid?

            maintenant, prend un seul algérien de ceux que j'ai cité, et applique sur lui la loi, sur le papier, c'est tout à fait légitime de le faire, il vit dans l'illégalité et la loi est la loi.

            mais il y a une différence évidente, entre faire appliquer la loi, et être juste et équitable. la loi vaut pour tous, et tout le temps, es-tu sûr que EN nahar soit en règle vis à vis de la réglementation de l'audio visuel? es-tu sûr que les fils des généraux, des politiciens vivent en conformité avec la loi?

            vous êtes tellement facile à manipuler, wellah ghir si quelqu'un se penchait sur le cas de toutes ces chaines numériques, de tout ces quotidiens à la solde du pouvoir, il trouverait des scandales de la même nature que ceux qui éclaboussent saadani, khelil et leur semblables

            être du côté de la loi, ne signifie pas être du coté de la justice, et dans ce cas précis, et moi même, je n'ai jamais été tendre avec EL WATAN, je ne peux me résoudre à applaudir la mise en pièces, en miettes du dernier contre avis, contre sens, du dernier AUTRE son de cloche, seuls El watan et El Khabar sortaient du lot et maintenant, l'un comme l'autre sont mis au placard "légalement" et on est sensé, avec les gens d'El Biar applaudir l'application de la loi?

            Inni sa'iim
            La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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            • #51
              SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES (SNJ) Communiqué

              Nos confrères du quotidien El Watan devaient inaugurer, ce week-end, leur nouveau siège national, un joyau architectural sis au quartier du Ruisseau, à Alger, et bâti au prix d’un effort financier sur fonds propres. Cette bâtisse, dont les travaux de réalisation ont été entamés il y a quinze ans, fait, incontestablement, la fierté de toute la presse nationale en ce qu’elle symbolise comme accomplissement, le long processus de l’autonomie totale d’un des tout premiers titres de la presse indépendante, née en Algérie il y a de cela vingt-six ans.
              Nos confrères ont été, toutefois, surpris, en pleine nuit de jeudi à vendredi, alors qu’ils procédaient au déménagement nécessaire pour aménager les nouveaux locaux, par un invité-surprise : un dispositif policier déployé alentour du nouveau siège pour interrompre toute l’opération.
              Officiellement, aucune explication n’a été fournie à nos confrères, si ce n’est de peu convaincantes raisons avancées par un élu local de l’APC de Kouba et du wali délégué. A l’évidence, la décision d’empêcher la rédaction d’El Watan de s’installer dans ses nouveaux locaux se situe largement au-dessus de ce niveau des responsabilités.
              Elle est à chercher à des niveaux supérieurs de la hiérarchie étatique, comme en témoigne le déploiement rapide et toujours en vigueur du reste, du dispositif policier obligeant, in fine, nos confères à revenir dans les anciens locaux d’El Watan, à la Maison de la presse Tahar Djaout, à Alger, avec tout ce que cela induit comme désagréments. Désagréments, mais aussi inquiétudes légitimes quant aux suites que le pouvoir réservera à cette affaire qui ne fait certainement que commencer.
              Le Syndicat national des journalistes, qui exprime, naturellement, toute sa solidarité à ses confrères d’El Watan, s’interroge sur les desseins réels de cette décision, assurément prise en haut lieu, et consistant à «invalider» le droit de jouissance d’un bien propre à un quotidien, il est vrai connu pour s’être toujours distingué par une ligne éditoriale pas souvent conforme aux standards conçus par le pouvoir en guise de normes «déontologiques», voire même journalistiques.
              Comme dans l’affaire El Khabar, l’on a affaire, ici, à un autre cas type du traitement par le «deux poids, deux mesures» par un pouvoir qui déploie les gros moyens pour bloquer un ambitieux projet médiatique, par souci de protéger quelques misérables mètres carrés réclamés par une APC, et fermant complaisamment l’œil sur des centaines de cas de violations des lois régissant le secteur. Cela va de l’audiovisuel au code de l’information en passant par la législation du travail que certains médias, tous proches du pouvoir, par hasard, ne reconnaissent même pas, jetant, au passage, dans la précarité et l’incertitude des lendemains, des milliers de nos confrères.

              P/ le Syndicat national des journalistes, le Secrétaire général, Kamel Amarni
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #52
                dispositif policier obligeant, in fine, nos confères à revenir dans les anciens locaux d’El Watan, à la Maison de la presse Tahar Djaout, à Alger, avec tout ce que cela induit comme désagréments. Désagréments, mais aussi inquiétudes légitimes quant aux suites que le pouvoir réservera à cette affaire qui ne fait certainement que commencer.
                Désagrément d'être à la maison de la Presse Tahar Djaout alors qu'elle symbolise tous les journalistes qui ont oeuvré pour la liberté de la presse et la fin de la désinformation des algériens ? Si on me la donne je prends

                Concernant Kamel Amarni collègue de Malika Boussouf du Soir d'Algérie :

                Faites le comparatif de ces deux articles :

                Le 01 avril 2004 « Une halte “tiziouzienne” exigée uniquement par les besoins de la campagne électorale que Bouteflika voulait symbolique. Or, et comme il fallait bien s’y attendre, l’apparition de celui qui mettra la région à feu et à sang, trois années durant, a provoqué, hier mercredi, l’indignation et la colère de la population locale. De violentes émeutes ont ponctué cette “intrusion”. Ce, en dépit de l’impressionnant dispositif de sécurité ayant quadrillé la ville et d’un excès de zèle jamais égalé tant des services de sécurité qui ont isolé le chef-lieu du reste de la wilaya et de la clientèle opportuniste locale. » K. Amarni

                Le 6 avril 2009 « Une clôture qui se veut grandiose, avec un show identique à celui du 12 février dernier que Abdesslam Bouchouareb et Saïd Bouteflika ont préparé avec une extrême minutie à la Coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf, à Alger. Avec la capitale, Bouteflika aura fait campagne dans trente et une wilayas. Une campagne pour le moins inédite. A tout point de vue. Tant dans sa forme que dans son contenu (…) on peut considérer qu’il s’agit effectivement, là, d’une véritable révolution. En sera-t-il de même au-delà du 9 avril ? Toute la question est là… » K. Amarni

                L’arbitre du jeu
                Dernière modification par zwina, 25 juin 2016, 16h22.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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