Ce ne sont là que des pressions d'ordre politique : quand la France n'obtient pas ce qu'elle veut ou que ses intérêts sont contrariés, elle joue la carte de la pression médiatique. En plus de déconseiller à ses concitoyens de ne pas se rendre en Algérie pour des raisons de sécurité, ils instillent une campagne médiatique régulière dans les journaux hexagonaux (voir la multiplication des articles critiques consacrés à l'Algérie dans un journal comme le Monde).
Les Français savent que l'Algérie n'est pas un pays touristique et que la majorité des hexagonaux qui s'y rendent sont binationaux; de ce fait la manœuvre n'a pas pour but de compromettre la saison touristique (une telle recommandation pour le Maroc, la Tunisie ou l'Egypte aurait eu des répercussions sérieuses sur l'économie). Elle n'a pas non plus pour but de freiner les investissements des multinationales qui elles disposent de bilans fait par des cabinets spécialisés dans le risque mais de décourager les opérateurs algériens a investir dans leur pays, de favoriser les vélleités "d'exfiltration" de l'argent et de créer un climat anxiogène pour les citoyens prompt à créer des troubles.
Si demain, les Français obtiennent ce qu'il veulent, l'Algérie redeviendra un pays sûr selon le quai d'Orsay.
Les États étrangers n'ont que le pouvoir qu'on leur accorde sur nous. Si on arrête de se brancher sur leur flux médiatique qui nous présente les Palestiniens comme des terroristes, Daesh quand il agit en France comme étant une entreprise terroriste et Al Quaida quand elle agit en Irak et en Syrie comme étant fréquentable et faisant du bon boulot et les deux entreprises criminelles comme étant une rébellion islamiste quand elle massacre des Algériens, on fera déjà un grand pas.
Les Français savent que l'Algérie n'est pas un pays touristique et que la majorité des hexagonaux qui s'y rendent sont binationaux; de ce fait la manœuvre n'a pas pour but de compromettre la saison touristique (une telle recommandation pour le Maroc, la Tunisie ou l'Egypte aurait eu des répercussions sérieuses sur l'économie). Elle n'a pas non plus pour but de freiner les investissements des multinationales qui elles disposent de bilans fait par des cabinets spécialisés dans le risque mais de décourager les opérateurs algériens a investir dans leur pays, de favoriser les vélleités "d'exfiltration" de l'argent et de créer un climat anxiogène pour les citoyens prompt à créer des troubles.
Si demain, les Français obtiennent ce qu'il veulent, l'Algérie redeviendra un pays sûr selon le quai d'Orsay.
Les États étrangers n'ont que le pouvoir qu'on leur accorde sur nous. Si on arrête de se brancher sur leur flux médiatique qui nous présente les Palestiniens comme des terroristes, Daesh quand il agit en France comme étant une entreprise terroriste et Al Quaida quand elle agit en Irak et en Syrie comme étant fréquentable et faisant du bon boulot et les deux entreprises criminelles comme étant une rébellion islamiste quand elle massacre des Algériens, on fera déjà un grand pas.
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