Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Abdelaziz Bouteflika : aux grands hommes, la nation est reconnaissante. Un parcours à faire connaître

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Sergio dixit" le plus grand mensonge de toute l'histoire ".

    Nullement. Sinon comment expliqueriez-vous que dès lors de son accession à la présidence sud-africaine, Nelson Mandela- illico- reconnaîtra la RASD?
    _________________

    Sens de la tactique

    S'il garde une aura, il la doit à ses coups d'éclat diplomatiques. En 1974, alors président de l'Assemblée générale des Nations unies, il accueille Yasser Arafat, dirigeant de l'OLP, avec les honneurs dus à un chef d'Etat. Mieux: il expulse les représentants de l'Afrique du Sud alors sous le régime de l'apartheid. Washington et ses alliés enragent.

    Source: L'Express.fr

    Commentaire


    • #17
      aux grands hommes, la nation est reconnaissante.
      N'y a t-il pas une autre formule , plutôt que de singer la France avec cette inscription sur le fronton du PANTHÉON à Paris ?
      Dernière modification par Arezkii, 01 septembre 2016, 21h00.

      Commentaire


      • #18
        Le fln va achter tous les livres pour qu'on dise c'est un best seller il a trouve le filon cet escroc

        Commentaire


        • #19
          Je suis triste pour le peuple algérien.

          Commentaire


          • #20
            Le psychothérapeute Abidat a du toucher aux psychotropes.

            Je suis triste pour le peuple algérien.
            El mesloukha tadhak 3la el madhbouha .
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

            Commentaire


            • #21
              Envoyé par Awtil
              Je suis triste pour le peuple algérien.
              Soit triste sur ton peuple marocains dévoré par la prostitution, mendicité, mercenaire chez les khalijite, immigration vers l'extérieur, cannabis, perte de dignité dans tous les sens...

              Commentaire


              • #22
                Aux antipodes des cabrioles de ce laudateur, H. Aboud interpelle sur l'absence de Boutef depuis un mois, son silence à l'égard de Taoufik Makhloufi (alors qu'il n'avait pas hésité à décorer Zidane de la plus haute distinction de l'Etat algérien !), et enfin il glisse un indice sur les derniers mouvements dans le haut commandement de l'armée, qui seraient, d'après lui, une préparation pour l'éviction du Gaïd...


                كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                Commentaire


                • #23
                  Ah oui, l'allusion à Gaïd Salah, c'est dans la version arabe (vers la fin de la vidéo)...

                  كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                  Commentaire


                  • #24
                    AMOKRRANE et OKBA
                    Vous ferez mieux de répondre à rago qui rajoute de la brillance après la chita de l'hagiographe. J'ai juste exprimé un sentiment.

                    Commentaire


                    • #25
                      Il y a une vidéo de Hicham Aboud qui date du 09/2014 ou il disait que le clan Boutef va éjecter le Général Toufik dans un an 09/2015 et qu'ils nommeront Tartag à sa place ce qui est arrivé. D'après lui Saïd en sortant d'un entretien avec Toufik qui a duré une nuit, il a compris que ce générale était aussi médiocre que les autres. Depuis le clan Boutef a pris confiance et commence a balayer tous ceux qui se mettaient à travers de leur chemin.
                      Dernière modification par Awtil, 02 septembre 2016, 15h45.

                      Commentaire


                      • #26
                        BHL a trouvé une blonde pour faire le "printemps" en Algérie
                        par Jacques-Marie Bourget

                        Riche médecin algérien, discrète vice-présidente de l'Institut Robert Schuman, Soumeya Abdelatif travaille, dans l'ombre, aux côtés de Bernard Henri Levy et de ses alliés politiques qui rêvent désormais d'un "printemps algérien". Cette "Mata Hari" des temps modernes cultive de précieuses relations avec les autorités qataris et Saïd Bouteflika, le frère du président algérien.

                        La Tunisie s’est remise sur pied par la vertu d’un peuple qui a su se montrer exemplaire, la Libye reste brisée et en état de chaos, l’Égypte est à nouveau sous les verrous d’une dictature militaire. Pourtant, les néoconservateurs -américains et européens- eux qui ont installé sur ces terres arabes les tréteaux de la tragédie, ne sont pas encore à bout de souffle. Ils n’ont pas renoncé et en veulent encore plus. Avec pour fanal Bernard-Henri Lévy, le ludion qui leur sert de tête de gondole, le syndicat des « néocons » n’observe pas de relâche, et prépare ses nouvelles guerres.

                        "Printemps algérien"

                        Avec de l’argent qui vient du Qatar, et les idées de Washington -validées à Tel Aviv- ouvrir un nouveau chantier de « révolution » est possible. Les deux prochains objectifs ? Provoquer un « printemps algérien ». Et que cette besogne ne vienne pas freiner un autre atelier en cours, recoller une Libye en morceaux et confier le pouvoir à des islamistes « acceptables ». C’est-à-dire des djihadistes discrets aux barbes biens taillées. Au lecteur sceptique je recommande la lecture des souvenirs d’Hillary Clinton « Hard Choices », les programmes, ceux qui ont raté et ceux à venir sont imprimés à l’intérieur.

                        Comme un chien pour trouver la truffe, il suffit de suivre BHL pour savoir où les choses doivent se passer. Bêtement, en novembre dernier, il s’est fait coincer en Tunisie. Par des citoyens qui ne veulent plus entendre parler de lui alors qu’il festoyait avec Wahid Burshan, un américano-libyen, un pion de la CIA programmé pour contrôler le futur pouvoir sur le trône de Kadhafi. Chassé et devenu plus discret, le philosophe en creux à alors fréquenté les acteurs réunis à Genève pour une fantasmatique « réconciliation nationale » en Libye. La démocratie n’a pas de prix et les bonnes affaires, celles de demain, pas davantage. Le bonus d’être riche -comme notre ami BHL qui porte si bien le plus beau décolleté de Paris- c’est que l’on n’a pas à travailler. Avec du temps libre pour imaginer la mort que l’on peut provoquer chez les autres. Outre refaire la Libye à l’aide de leur super glue, BHL et ses amis visent un autre grand chantier, colossal, démolir l’Algérie et la reconstruire façon Hollywood.

                        Sur le pays des « martyrs » BHL ne cache plus ses idées. Lors d’un colloque tenu en avril 2012 à Marseille, notre nouveau Fanon, notre théoricien de la liberté a détaillé les rêves de son clan. Pour un pays, l’Algérie, qui donc, selon le mari d’Ariel : « n’est pas un pays arabe ni islamique mais un pays juif et français, sur un plan culturel ». Ajoutant que pour sauver son destin, celui tracé par BHL et son orchestre, l’Algérie devra passer par la case « printemps » (1). Voilà donc la feuille de route, l’agenda marouflé croco de celui qui tire sa fortune d’un vieux commerce de bois d’Afrique.

                        C’est une règle connue, les soldats, les gendarmes et policiers, les agents de l’ordre avancent toujours par deux. Dans sa mission, celle de rendre le monde meilleur, BHL a trouvé une âme sœur. Tant mieux, Soumeya Abdelatif est séduisante et blonde et riche. Cette égérie, qui se présente comme « médecin algérien », partage beaucoup de qualités de son ami BHL. Comme lui elle n’est pas philosophe, comme lui elle dort dans des draps de soie, comme lui elle adore la démocratie selon Bush, sur le modèle de l’Irak. Officiellement l’élégante qui habite Paris, est vice-présidente de l’Institut Robert Schuman. Marquons un petit stop sur ce Schuman qui, avec Jean Monnet est présenté comme le « père de l’Europe », et remarquons que si Monnet n’a été qu’un agent américain, le grand Robert s’est fait remarquer en figurant sur la liste des ministres du maréchal Pétain. C’est dire que l’Institut Schuman n’est que le relai des volontés américaines pour l’Europe.

                        Pour mieux cadrer la photo de notre bienfaitrice et maîtresse en démocratie, un petit recul s’impose. Soumeya, la princesse Europe, est née en Algérie d’un père qui tenait une pharmacie dans une petite ville des hauts-plateaux. Mais c’est à Alger que notre fleur va s’épanouir, en devenant une intime de Bouteflika. Si convainquant que la rumeur algéroise prétendait que la muse était capable de faire nommer ou révoquer les ambassadeurs… Miracle de la pharmacie, le papa va vite se retrouver à la tête d’une jolie fortune, avec confortable bateau en Espagne et biens immobiliers en France.

                        Médecin plus douée pour l’anatomie que la physiologie, Soumeya pratique peu l’art d’Hippocrate. Elle y préfère la diplomatie qui est souvent celui d’hypocrites. La diplomatie et l’art militaire, on la retrouve à Paris suivant le cursus de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHDN), avec la crème française des penseurs de guerres, mais aussi quelques barbouzes. Elle n’est pas dépaysée puisqu’en Algérie elle compte de bons amis au sein des services secrets, le DRS. Dans le Journal Officiel de la République Française du 18 janvier 2005 on peut lire l’arrêté qui précise la qualité de l’ancienne auditrice, Soumeya.

                        Son destin est désormais l’Europe, le dialogue Nord-Sud, la paix et le développement. Et l’Institut Schuman est satisfait de mettre en devanture une militante venue d’une riche diversité.

                        Outre les ballades sur les hippodromes, comme lors du Grand Prix de l’Arc de Triomphe, le destin du monde est vraiment le job de Soumeya. Assez vite elle devient un joli poisson dans l’aquarium de Thierry de Montbrial qui, lui aussi, lutte pour le monde libre, c’est-à-dire américain. L’élégant Thierry est un pilier du groupe de Bildenberg, club fermé de maîtres de la planète, ceux qui comptent dans l’axe du bien, le politico-financier. Faut-il préciser que ce « club » a été créé pour imposer les choix de Washington à l’Europe. Désormais, Soumeya orne aussi les barnums mondiaux organisés par Montbrial, elle est sur toutes les photos. Ca fait joli. Un de ces forums est le World Policy Conference, un lieu où l’on imagine le monde idéal, selon Goldman-Sachs. Des hommes et des femmes qui se réunissent plus facilement à Monaco qu’à Roubaix.

                        C’est lors d’un de ces colloques que Soumeya rencontre le professeur Abdul Latif Abdulla Al-Meer, un économiste spécialisé dans la direction des banques islamiques du Qatar. Ce savant va ouvrir les portes des palais de Doha à Soumeya. Bientôt, à l’invitation d’Hassan Ben Jassem, dit HBJ, premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la dictature qatarie, l’homme le plus riche du monde, Soumeya prendra l’habitude de passer quelques vacances au Maroc. Même si, aujourd’hui, le furieux HBJ n’est plus au pouvoir, notre médecin algérien reste personna très grata à Doha. Ce qui fait une recrue supplémentaire pour la dream team, l’équipe du Qatar façon hand-ball, pour refaçonner le monde. Faut-il spécifier que BHL est l’avant-centre de cette équipe ?

                        Pour le dialogue, la paix et la compréhension, la réconciliation, notre héroïne se dépense, d’Abidjan à Crans-Montana, il faut que ce monde apprenne enfin à vivre. Normal pour une vice-présidente chargée du « dialogue Nord-Sud pour les pays Arabes et la Méditerranée ». Quand, selon l’aveu fait par BHL à Marseille, les propriétaires du « printemps arabe » décident de cibler l’Algérie, Soumeya joue à domicile. Elle a gardé une solide relation avec Saïd Bouteflika, « Monsieur frère » qui, sauf éclats de voix, ne peut refuser grand-chose à la jolie « toubiba ». Et voilà que ses amis européens lancent un raid sur l’Algérie, l’idée de tenir des colloques comme on tient une arme.

                        L’un d’eux, prévu à Oran, a pour but de « définir et formaliser une éducation interculturelle à la Citoyenneté démocratique active et aux Droits de l’homme en réponse aux défis du XXIe siècle ». L’affaire n’est pas mince, elle a surtout pour objectif de démontrer aux algériens qu’ils sont loin d’avoir atteint les standards philosophiques convenables, ceux établis par Bush ou son ami Richard Perle. Qu’ils doivent donc faire un effort. Du genre « printemps ».

                        Mais les colloques ne suffisent pas et les activistes européens mettent le grand braquet. Cette fois on promet à toute association qui se formerait en Algérie sur le thème de « la défense des droits de l’homme », une subvention de 50 à 150 000 euros. L’annonce de cette ingérence étrangère fait pas mal de bruit dans la presse d’Alger trop stupide pour comprendre le message altruiste. Heureusement Soumeya a des amis à Alger, et BHL le ministre français des Affaires étranges, en a aussi. Au palais présidentiel le révolutionnaire sans révolution compte même quelques oreilles. Le malheureux Saïd, le frère du Président, est sommé de se montrer poli, et de parcourir le catalogue de bienfaits promis par BHL, Soumeya et leurs amis. Et c’est sous leur pression que les algériens ont exigé du nouveau pouvoir tunisien qu’il laisse un strapontin de ministre aux religieux d’Ennahdha.

                        Hélas en Algérie, le « printemps » rêvé par le BHL team, ne pourra pas bénéficier de l’effet de surprise. La mécanique qui a prévalu pour la Tunisie, l’Égypte et la Libye est éventée. Qu’elle est-elle ? Par le biais des réseaux sociaux on utilise et canalise la juste et saine colère d’un peuple désespéré. On la fait monter en puissance, on l’assiste. Quand les révolutionnaires, les vrais, les premiers et authentiques, mettent à bas le régime, les agents d’influence, les voleurs de révolte, débarquent pour mettre en place de vrais amis à eux. Par exemple des Frères Musulmans, des hommes sûrs qui feront couler le pétrole vers les bons barils (2). La mécanique a fonctionné en Tunisie, mais les citoyens ont repris la parole. Elle a marché en Égypte, jusqu’au coup d’état de Sissi qui a emprisonné l’américano-égyptien Morsi. Elle marchera demain en Libye si la coalition qui agit sous logo BHL - financée par le Qatar- parvient à établir ses barbus au pouvoir.

                        L’Algérie reste un os charnu. La presse y est globalement libre, les élections sont crédibles. Il est facile de parler de gérontocratie mais pas de dictature. Reste la corruption, les luttes des clans pour le pouvoir, le poids des services de renseignement et celui du club des généraux. Des réalités qui obscurcissent l’image de l’Algérie. À tel point que, si demain Doha et son équipe américaine parvenaient à placer au pouvoir Abassi Madani, le gourou du Front Islamique, l’Europe et l’Amérique trouveraient-là un fantastique progrès démocratique.

                        (1) https://www.youtube.com/watch?v=CEbO2TyB-wI
                        (2) « La face cachée de la Révolution tunisienne » Mezri Haddad, éditions Apopsix
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                        Commentaire


                        • #27
                          articleDE2001

                          .....Mais, plus que les frères, c'est une femme qui joue le rôle le plus important dans la prise de décision à la présidence algérienne. Vieille connaissance du chef de l'Etat, l'élégante Soumia Abdelatif, originaire, comme le président, de l'Ouest algérien, le conseille sur les aspects liés à la gestion des affaires du pays : nomination des ambassadeurs, désignation des préfets et des sous-préfets, limogeage des ministres et des hauts responsables... Récemment, le président algérien a dû revenir sur sa décision de nommer un ambassadeur dans un pays de l'Union européenne, après avoir rendu publique l'annonce ! La cause ? Officiellement, l'homme aurait publiquement critiqué la gestion du président Bouteflika. Mais, en réalité, ce revirement est intervenu suite à une dispute entre la conseillère du président et le futur ambassadeur.

                          « A la présidence, cette femme est devenue une véritable terreur. C'est elle qui fait la pluie et le beau temps », confie un haut fonctionnaire algérien. En privé, Abdelaziz Bouteflika se défend en expliquant qu'il n'est pas le seul chef de l'Etat à faire confiance à son entourage familial.

                          Kamel AMIR
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X