La France est impliquée dans une vaste opération d’espionnage informatique depuis 2009, visant notamment l’Algérie.
Avec un logiciel malveillant du nom de « Babar », la Direction générale des services extérieurs (DGSE) française espionne un certain nombre de pays, selon les propos d’un ancien cadre des services d’espionnage français, Bernard Barbier, rapportés par le média français Le Journal du Dimanche (JDD). Ceci vient donc corroborer une information diffusée en 2014 par le journal français Le Monde.
C’est donc là une confirmation indirecte que l’Algérie fait l’objet d’espionnage par les services français depuis 2009. En effet, « Babar » a initialement été détecté par les services canadiens. Ces derniers ont retrouvé des traces du logiciel en question dans plusieurs pays, comme l’Iran, l’Espagne, la Grèce, la Côte d’Ivoire ou l’Algérie.
Selon le cadre de la DGSE, « les Canadiens ont fait du reverse sur un malware [logiciel malveillant, NDLR] (…) Ils ont retrouvé le programmeur qui avait surnommé son malware Babar et avait signé Titi. Ils en ont conclu qu’il était Français. Et effectivement, c’était un français », explique le cadre de la DGSE.
TSA
Avec un logiciel malveillant du nom de « Babar », la Direction générale des services extérieurs (DGSE) française espionne un certain nombre de pays, selon les propos d’un ancien cadre des services d’espionnage français, Bernard Barbier, rapportés par le média français Le Journal du Dimanche (JDD). Ceci vient donc corroborer une information diffusée en 2014 par le journal français Le Monde.
C’est donc là une confirmation indirecte que l’Algérie fait l’objet d’espionnage par les services français depuis 2009. En effet, « Babar » a initialement été détecté par les services canadiens. Ces derniers ont retrouvé des traces du logiciel en question dans plusieurs pays, comme l’Iran, l’Espagne, la Grèce, la Côte d’Ivoire ou l’Algérie.
Selon le cadre de la DGSE, « les Canadiens ont fait du reverse sur un malware [logiciel malveillant, NDLR] (…) Ils ont retrouvé le programmeur qui avait surnommé son malware Babar et avait signé Titi. Ils en ont conclu qu’il était Français. Et effectivement, c’était un français », explique le cadre de la DGSE.
TSA
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