Il faut se mefier de ce journaleux. La réponse ne s'est pas faite attendre
Nicolas Beau, alias Louise Dimitrakis, tel un malade incurable, a rechuté encore, en répandant, à coup de titres racleurs, des ragots de mégères apprivoisées sur l’Algérie. Son canard en ligne Mondafrique, sous tendu par une vision néocoloniale, ne cesse de s’immiscer, et dans un voyeurisme indécent, dans les affaires intérieures algériennes, attisant la haine et distillant le venin, en inventant des conflits imaginaires entre hauts responsables ou s’en prenant à leurs enfants tantôt pour leur prêter des pouvoirs qu’ils n’ont pas, tantôt pour les accabler de critiques.
Manipulé, c’est sûr, puisque reproduisant à l’envie ce qu’on lui souffle d’Alger et publiant une pléthore d’articles sans la moindre retenue, sans la moindre enquête, sans les recoupements nécessaires, faisant fi de la déontologie la plus élémentaire. Un travail d’intox et de manipulation indigne du « professionnalisme » dont il se prévaut. Preuve qu’il ne connait strictement rien de chez rien au paysage politique et militaire algériens, le dernier article consacré à l’Algérie.
Un tissu d’approximations burlesques à travers lesquelles, il a tenté de faire accroire à l’existence d’un conflit, d’une opposition entre le général de corps d’armée Ben Ali Ben Ali, commandant de la garde républicaine au chef d’état major Ahmed Gaid Salah. La preuve de son ignorance, c’est qu’il croit toujours que Ben Ali est général-major et commandant de la 5e région militaire. Nicolas Beau, qui n’a de beau que le nom, a donné la preuve de toute sa large ignorance des affaires algériennes se contentant de reproduire bêtement ce qu’on lui sert d’Alger.
Alimenté par les résidus de l’ex DRS
Mondafrique, cette feuille de chou haineuse qui pratique le journalisme de caniveau, bien servi par le pseudo Dimitrakis, s’est spécialisé dans les rumeurs et les ragots, alimentés par les résidus de l’ex DRS, qui cherchent à faire accroire que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, aurait l’ambition de succéder au président Bouteflika. C’est d’autant plus ridicule que l’homme ne cesse d’affirmer et de réitérer sa fidélité et sa loyauté au chef de l’Etat et celui-ci de lui renouveler sa confiance.
Téléguidée à partir d’Alger, dans une campagne infamante contre le Premier ministre Abdelmalek Sellal, voilà notre vaillant journaliste, commettre trois articles sur le même sujet en l’espace de six mois. Dans le jargon journalistique, cela s’appelle du lynchage médiatique. Mais dans l’esprit malade de Nicolas Beau, un mensonge, c’est un peu comme un clou : plus on tape dessus, plus il rentre, mais dans la tête de gogos avides de pseudos informations confidentielles qui ne pigent que dal à la situation politique en Algérie.
Malheur à celui qui a un enfant. Les tontons flingueurs sont aux aguets. les enfants sont surveillés, épiés, suivis, tous leurs faits et gestes sont notés, décortiqués par ces vautours. Aucun responsable civil ou militaire n’échappe à cette règle où la vindicte le dispute aux mensonges éhontés. La moindre info est amplifiée à souhait, la rumeur prend vite des contours d’affaire d’Etat, on jette sur lui l’opprobre, on le traine dans la boue, on le cloue au pilori, on le place au poteau de la honte, on pratique l’inquisition publiquement pour l’écrabouiller.
A travers cette broca médiatique, soumise à des influences extérieures, il s’agit de faire mouche sur l’opinion publique, en distillant de fausses informations, en élaborant des récits de détournements d’argent, de corruption, afin d’exacerber les émotions de la population. Et comme le soutien de l’opinion publique légitime l’action des hommes politiques, il s’agit de les décridibiliser. L’opinion publique prise de doutes, voyant les valeurs fondamentales bafouées, se détournera inévitablement des hommes politique incriminés.
C’est bien ce qu’a tenté de faire le directeur de Mondafrique avec le cas de Abdelmalek Sellal. En effet, comme on ne trouve rien à redire sur le père, on attaque le fils, après avoir voué aux gémonies la fille. Farès Sellal n’a jamais été actionnaire ni de près ni de loin avec les hommes d’affaires cités par Nicolas Beau. Ce dernier, adepte de méthodes douteuses, dans son dernier « scoop », met en cause le fils du Premier ministre en lui prêtant des pouvoirs d’influence qu’il n’a pas, le présentant comme un super grand manager et grand manipulateur de gros sous.
Sauf que cette description est loin, bien loin de la réalité. De la pure affabulation tout droit sorti de la cervelle étriquée du directeur de Mondafrique. La réalité pour celui qui veut bien la voir, mais certainement pas Nicolas Beau et ses manipulateurs, elle est dans le démenti apporté par toutes les personnes qui ont eu à gérer ce dossier et qui ont toutes affirmé, preuves à l’appui (documents de la transaction, statuts de la société etc…), que la transaction entre la SEEAL et IVAL pour l’achat chez IVECO de camions hydrocureurs, n’a concerné ni de près ni de loin Farès Sellal qui est totalement étranger à cette affaire et dont il ne connait ni les tenants ni les aboutissants.
Evidemment, ce démenti n’entamera en rien l’entêtement de Nicolas Beau à nager en eaux troubles, à continuer à être le réceptacle des rumeurs et des ragots, et à faire étalage de ses viles prouesses. C’est la seule forme de journalisme qu’il maitrise. Sauf qu’à Alger, à force d’enchainer des fausses informations pseudo confidentielles, personne ne le prend au sérieux.
Nicolas Beau, alias Louise Dimitrakis, tel un malade incurable, a rechuté encore, en répandant, à coup de titres racleurs, des ragots de mégères apprivoisées sur l’Algérie. Son canard en ligne Mondafrique, sous tendu par une vision néocoloniale, ne cesse de s’immiscer, et dans un voyeurisme indécent, dans les affaires intérieures algériennes, attisant la haine et distillant le venin, en inventant des conflits imaginaires entre hauts responsables ou s’en prenant à leurs enfants tantôt pour leur prêter des pouvoirs qu’ils n’ont pas, tantôt pour les accabler de critiques.
Manipulé, c’est sûr, puisque reproduisant à l’envie ce qu’on lui souffle d’Alger et publiant une pléthore d’articles sans la moindre retenue, sans la moindre enquête, sans les recoupements nécessaires, faisant fi de la déontologie la plus élémentaire. Un travail d’intox et de manipulation indigne du « professionnalisme » dont il se prévaut. Preuve qu’il ne connait strictement rien de chez rien au paysage politique et militaire algériens, le dernier article consacré à l’Algérie.
Un tissu d’approximations burlesques à travers lesquelles, il a tenté de faire accroire à l’existence d’un conflit, d’une opposition entre le général de corps d’armée Ben Ali Ben Ali, commandant de la garde républicaine au chef d’état major Ahmed Gaid Salah. La preuve de son ignorance, c’est qu’il croit toujours que Ben Ali est général-major et commandant de la 5e région militaire. Nicolas Beau, qui n’a de beau que le nom, a donné la preuve de toute sa large ignorance des affaires algériennes se contentant de reproduire bêtement ce qu’on lui sert d’Alger.
Alimenté par les résidus de l’ex DRS
Mondafrique, cette feuille de chou haineuse qui pratique le journalisme de caniveau, bien servi par le pseudo Dimitrakis, s’est spécialisé dans les rumeurs et les ragots, alimentés par les résidus de l’ex DRS, qui cherchent à faire accroire que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, aurait l’ambition de succéder au président Bouteflika. C’est d’autant plus ridicule que l’homme ne cesse d’affirmer et de réitérer sa fidélité et sa loyauté au chef de l’Etat et celui-ci de lui renouveler sa confiance.
Téléguidée à partir d’Alger, dans une campagne infamante contre le Premier ministre Abdelmalek Sellal, voilà notre vaillant journaliste, commettre trois articles sur le même sujet en l’espace de six mois. Dans le jargon journalistique, cela s’appelle du lynchage médiatique. Mais dans l’esprit malade de Nicolas Beau, un mensonge, c’est un peu comme un clou : plus on tape dessus, plus il rentre, mais dans la tête de gogos avides de pseudos informations confidentielles qui ne pigent que dal à la situation politique en Algérie.
Malheur à celui qui a un enfant. Les tontons flingueurs sont aux aguets. les enfants sont surveillés, épiés, suivis, tous leurs faits et gestes sont notés, décortiqués par ces vautours. Aucun responsable civil ou militaire n’échappe à cette règle où la vindicte le dispute aux mensonges éhontés. La moindre info est amplifiée à souhait, la rumeur prend vite des contours d’affaire d’Etat, on jette sur lui l’opprobre, on le traine dans la boue, on le cloue au pilori, on le place au poteau de la honte, on pratique l’inquisition publiquement pour l’écrabouiller.
A travers cette broca médiatique, soumise à des influences extérieures, il s’agit de faire mouche sur l’opinion publique, en distillant de fausses informations, en élaborant des récits de détournements d’argent, de corruption, afin d’exacerber les émotions de la population. Et comme le soutien de l’opinion publique légitime l’action des hommes politiques, il s’agit de les décridibiliser. L’opinion publique prise de doutes, voyant les valeurs fondamentales bafouées, se détournera inévitablement des hommes politique incriminés.
C’est bien ce qu’a tenté de faire le directeur de Mondafrique avec le cas de Abdelmalek Sellal. En effet, comme on ne trouve rien à redire sur le père, on attaque le fils, après avoir voué aux gémonies la fille. Farès Sellal n’a jamais été actionnaire ni de près ni de loin avec les hommes d’affaires cités par Nicolas Beau. Ce dernier, adepte de méthodes douteuses, dans son dernier « scoop », met en cause le fils du Premier ministre en lui prêtant des pouvoirs d’influence qu’il n’a pas, le présentant comme un super grand manager et grand manipulateur de gros sous.
Sauf que cette description est loin, bien loin de la réalité. De la pure affabulation tout droit sorti de la cervelle étriquée du directeur de Mondafrique. La réalité pour celui qui veut bien la voir, mais certainement pas Nicolas Beau et ses manipulateurs, elle est dans le démenti apporté par toutes les personnes qui ont eu à gérer ce dossier et qui ont toutes affirmé, preuves à l’appui (documents de la transaction, statuts de la société etc…), que la transaction entre la SEEAL et IVAL pour l’achat chez IVECO de camions hydrocureurs, n’a concerné ni de près ni de loin Farès Sellal qui est totalement étranger à cette affaire et dont il ne connait ni les tenants ni les aboutissants.
Evidemment, ce démenti n’entamera en rien l’entêtement de Nicolas Beau à nager en eaux troubles, à continuer à être le réceptacle des rumeurs et des ragots, et à faire étalage de ses viles prouesses. C’est la seule forme de journalisme qu’il maitrise. Sauf qu’à Alger, à force d’enchainer des fausses informations pseudo confidentielles, personne ne le prend au sérieux.
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