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Sid Ahmed Ghozali : « Nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas »

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  • #46
    des partis FLN et RND .
    tu veux dire un partis qui cherche sa tète et l'autre partis politique qui cherche ces pieds pour marcher sans cité la situations des partis de l’opposions
    dz(0000/1111)dz

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    • #47
      sans cité la situations des partis de l’opposions
      Les partis de l'opposition éxistent pour le folklore démocratique

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      • #48
        le problème n'est pas une question d'hommes mais de système
        Et bien sûr, le système va s'auto-modifier par une opération du Saint-Esprit ou, mieux, il compte sur l'ancien personnel pour le changer.

        Yakhi 3ajayeb !
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #49
          Gallek il avait 2 ministres ffs , si c'est pas de la récupération !
          il connais le système et il va impressionner le hizb el moustakbal et laisse le ffs combattre pour le consensus. Ott réveille toi, Chadli n'est plus là, l'école fawdamental à fait des ravages sur ton cerveau. Hamrouche c'est du passé comme Dimitane et grandaizer.
          De la récupération!!! et tu nies les relations amicales qui le liait à feu Ait Ahmed au point ou la famille Ait Ahmed a tenu à sa présence au premier rang lors de son enterrement... On constate bien qui est empêtré dans le système et ses logiques, dans le clanisme des hommes de X ou de Y, et au même moment; ces mêmes personnages nous clament que leur pauvre poulains se sont sacrifiés pour le bien être des algériens, acceptant des besognes dont ils ne sont pas convaincus, puisqu'ils sont opposants à eux mêmes, une trouvaille algérienne!!! tenez vous bien, ils sont passés de Zeroual poussé par Mediene, à être l'homme de ce dernier pendant toutes une période du règne de Bouteflika pour finir par appeler ce dernier, lui signifiant sa mise en retraite, et faire le "soldat au service de l'Algérie" du président Bouteflika, au point de nous annoncer que Khelil est un grand monsieur et que la justice qu'il connait bien, pour en avoir été ministre au moment de la réforme Issad, pour avoir bloqué cette réforme, avait été instrumentalisée par son ancien mentor lors de la sortie diligentée de Zeghmati, et les détails sont connus!!! Un peu de sérieux...

          Le fait seulement de cette opposition farouche à Hamrouche montre que c'est l'homme qui dérange le système, et que c'est l'homme le plus qualifié pour un changement de paradigme politique dans ce pays. Son ministre de l’énergie, Sadek Boussenna, est passé à l'ENTV au moment de la réunion d'Alger la semaine dernière, ça a donné des sueurs froides à tes amis, et on vu quelques manifestations de vapeurs ces derniers temps!!!

          Effectivement Hamrouche a plusieurs atouts ,grand connaiseur des rouages du système ,fin politicien, il a prouvé quand il était chef du gouvernement qu'il avait la volonté politique pour des réformes structurelles mais les forces du mal et de la stagnation ont réussi à le limoger .
          IL faudrait plusieurs Hamrouche, tout un groupe composé de Hamrouches Un Hamrouche président de la république et des Hamrouche dupliqués à la tete des institutions (APN ,Sénat ,conseil constitutionnel ...) et des partis majoritaire FLN et RND . Meilleures conditions pour garantir un véritable changement .
          En effet ELKOURSI, un homme tout seul ne peut rien faire pour réformer ce pays. A une époque aussi charnière, Hamrouche avait mobilisé les cadres pour engager les réformes des années 90, et il sait parfaitement comment mobiliser les compétences pour cette période. Il y a qu'à voir comment les affizionados de l'establishment administratif réagissent plus haut, pour comprendre que son plus grand défis sera de dompter le poids des ENARQUES et du DRS dans les rouages de l'état, et il sait parfaitement comment le faire, car au sein de ces corporatismes, il y a aussi des gens de valeur qui prendront leurs responsabilités!!!
          Dernière modification par ott, 03 octobre 2016, 06h43.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #50
            Justement ! Votre Hamrouche ne s'est même pas constitué un parti politique qui relaie ses idées, ses positions et son programme politique et économique. Toutes ces années passées dans une traversée du désert des plus monotones, il nn'a pas pensé à réunir autour de lui une équipe. Oui il est seul car il se croit providentiel, qu'il n'a pas besoin de collaborateurs, d'experts pour affiner son programme et l'actualiser, une équipe qui propose une alternative sérieuse ou au moins une opposition efficace. Rien, nada !
            Mouloud Hamrouche, je le vois à la tête du conseil constitutionnel, une fonction qu'il peut remplir sans trop de remous ni de politique politicienne.
            Par contre Ouyahia, SAG, Benflis ou d'autres figures de l'opposition seront capables de présider car ils se sont ppréparés et ne cachent pas leur ambitions.

            Fini les improvisations hasardeuses, l'époque des hommes providentiels ne se reproduira pas en 2019, c'est à nous tous de changer de système.

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            • #51
              Par contre Ouyahia, SAG, Benflis ou d'autres figures de l'opposition seront capables de présider car ils se sont ppréparés et ne cachent pas leur ambitions.
              durent tout ces long année ils ont accepter d’être des lapins des ancien détergents de la DRS
              dz(0000/1111)dz

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              • #52
                bonjour

                ott

                Je pense qu'il faut cesser de croire en un homme providentiel. ça ne marche plus dans notre époque. Les sauts qualitatifs sous endentent basculement. Les sauts sont risqués dans notre monde, les retours de leviers sont puissants et faciles.

                Il faut miser sur le temps et l'ouverture sur la jeunesse et ses talents. La jeunesse actuelles est plus pragmatique et plus agile que ses prédécesseurs. La jeunesse fera évoluer les choses par petites briques; les petites briques peuvent parfois être pourries et c'est normal, mais elles ne détruiront pas tout parce que petites.

                Donc je suis de l'avis de Bachi qui dit qu'il faut croire en la jeunesse. Les partis politiques aujourd'hui étant eux les acteurs de la vie politique doivent s'ouvrir aux jeunes motivés et compétents, leur donner les moyens et la parole. Je ne sais pas comment et où s'organise le recrutement des militants mais il est claire que ça ne se fait pas dans les lycées et les universités. Dans ces lieux il ne faut pas laisser le champs libre aux islamistes. Dans tous les lieux, il faut introduire la discussion et le débat sur les divers sujets sociaux, politiques, économiques, culturels, ...etc. Pour cela, il faut connecter de manière pratique les structures (labos, départements, instituts ...), les responsables et les élites de ces lieux à travailler en étroite collaboration avec les structures économiques, sociales, culturels et politiques. C'est comme cela que la politique, la vraie, fera irruption chez la jeunesse.

                La dépolitisation de la jeunesse n'est très bonne car sinon c'est l'extrémisme politique qui prend la place. L'extrémisme croit que la politique d’exclusion, de soumission et d’exécution de ceux qui ne lui ressemblent pas est la solution pour tous les problèmes de nos sociétés.
                Rebbi yerrahmek ya djamel.
                "Tu es, donc je suis"
                Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                • #53
                  @Ghandi

                  Tes vœux pieux sont des orientations stratégiques, afin de préparer les générations montantes aux défis d'avenir. Cependant, la politique ne s'improvise pas et nécessite une certaine expérience, pour ne pas dire une expérience certaine, elle s'apprend dans son quartier, dans sa mairie, dans sa circonscription, au sein des partis, au sein du pouvoir, mais croire qu'on peut sortir de nul part est une vue d'esprit. La génération de 62 a péché par sa jeunesse et son inexpérimentation, qui explique une partie des erreurs commises, et c'était une génération d'exception, formée politiquement à l'école du PPA, de l'UDMA...

                  J'ai moi même 42 ans, et pourrais totalement partager ton souhait, cependant, les affaires de l'état exigent une réelle connaissance des rouages, du personnel administratif et politique, et biensur militaire dans notre pays, et croire qu'un jeune inexpérimenté aussi compétent soit il dans un domaine technique, pourra affronter la difficulté d'un poste avec la ténacité, l’opiniâtreté, mais aussi le jugement politique qu'il faut pour réformer la gouvernance dans ce pays, diriger sa diplomatie, son armée, faire les bons choix économiques, identifier les bonnes personnes, gérer les difficultés et les crises, qualifier les possibilités politiques et en mesurer les solutions tactiques et stratégiques, avec sagesse et clairvoyance, est utopique. Ceci peut se produire dans des pays qui ont des systèmes politiques rodés, des institutions et des appareils qui fonctionnent parfaitement, non dans des pays qui ont besoin de caps solides pour la construction d'institutions qui produisent des choix vertueux...

                  En ce qui concerne Hamrouche, bien évidemment, l'homme providentiel n'existe pas, par contre, la constitution algérienne octroie un pouvoir énorme au président de la république qu'il ne s'agit pas de diluer dans de vagues cénacles dont personne ne connait la nature ni la composition. Tant qu'on est avec un système présidentiel aussi marqué, la figure du président reste un marqueur important qui impulse la vie politique, et Hamrouche a l'expérience, l'habilité politique, la connaissance fine du système pour impulser une nouvelle dynamique, sans le faire en opposition aux pouvoirs précédents, comme c'est la tradition dans notre pays... Il a su sortir plein de jeunes cadres inconnus lors de son passage aux commandes et en a fait des équipes chevronnées qui ont butés contre le conservatisme du FLN, et du système en général, et peut impulser la même dynamique avec des compétences de divers horizons, non recrutés dans l'appareil administratif comme il nous est proposé par certains candidats ici...
                  Dernière modification par ott, 03 octobre 2016, 20h50.
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #54
                    @Aggour

                    Tu es parfois amusant, car ce que tu décris est exactement ce qu'on pourrait dire de Bouteflika à son arrivé, que tu décris aujourd'hui comme le "grand timonier", comme quoi l'opinion et les jugements sont aussi variables que les positionnements politiques qu'on veut leur greffer!!!

                    Il est intéressant que tu soutiennes SAG et Benflis, tous deux des résidus de généraux écartés, dont la production d'idée est au niveau 0 (merci de les énumérer si je me trompe), avec un programme qui n'a marqué personne (je te défie de me parler du programme de Benflis) et que tu apostrophes Hamrouche qui a produit des réformes que tous connaissent, et dont tout le monde reconnait les convictions politiques et économiques. Ceci est simple à comprendre, les 2 ne pèsent pas grand chose et peuvent être de parfaits figurants pour l'intronisation de ton poulain, une tradition pour Benflis, qui n'a pas appris la leçon. Ne dit-on pas jamais 2 sans 3... Tes préférences démontrent qu'il n'est pas souhaité une réforme de la gouvernance, mais de perpétuer des pratiques que l'Algérie ne peut plus supporter...

                    Depuis 1995 que Ouyahia est à la tête du gouvernement, puis à la tête du RND, il a jonglé avec les présidents et les militaires au point d'être considéré l'homme à tout faire, sans qu'on ne sache exactement ce qu'il ferait au poste de président. Le programme du RND est tout aussi méconnu et jamais mis en avant. Pire, ses mesures phares de "patriotisme économique" édictées en 2009 ont été une véritable catastrophe, et nous n'avons pas finis d'en payer le prix. Un personnel politique usé et abusé est incapable d'insuffler de nouvelles dynamiques à un pays qui en a tant besoin...
                    Dernière modification par ott, 03 octobre 2016, 22h46.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #55
                      Ott

                      Qui te dis que je soutiens qui que ce soit, je dis seulement que SAG et Benflis ont pris leur responsabilité devant l'Histoire, ils ont travaillé selon leur conscience et les moyens qu'ils avaient, ils ont rempli leur mission de chef de gouvernement dans le système algérien que nous connaissons bien . Je te défie de me citer ces deux hommes dans une affaire quelconque de corruption ou de malversation, s'ils ont été éjecté c'est justement parce qu'ils se sont opposés à une certaine politique. Ils n'ont pas fait comme la plupart des apparatchiks qui préfèrent le râtelier à l'engagement politique véritable, ils s'opposent et c'est leur devoir , c'est pour cela qu'ils méritent d'être une alternative.
                      Si tu ne les aimes pas Ott, c'est juste que ni l'un ni l'autre n'a été dans la coure de Chadli et de sa médiocrité légendaire.

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                      • #56
                        Benflis avait une mauvaise réputation dans sa profession d'avocat dans sa ville natale(batna) . C'est pour cette raison qu'il a eu zéro voix la-bas dans les législative 91 malgré tout le coucous qu'il a offert au monde pour les acheter .
                        Un loser éternel quoi.

                        Sid Ahmed Ghozali par contre a reconnu ces echec et a critique ouvertement ce pouvoir ce qui donne l'impression qu'il n'a plus le cœur pour un poste.

                        En tout cas ils sont tous vieux et fatigués et ont roulé le pays dans la farine. Leurs places est dans une mosquée avec des sebha a la main demandant le pardons pour leurs graves erreurs.

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                        • #57
                          Si tous ces gens sont vieux et fatigués alors citez nous des moins de 50 ans qui ont des carrures de pprésidentiables et qui peuvent se targuer d'une majorité parlementaire.
                          Sinon il y a Saïd Bouteflika ou saadani (pourquoi pas ? ) ou un autre pion que la dictature soft imposera et personne ne lèvera le petit doigt pour s'opposer.
                          Y a t il des prétendants islamistes ? Ou balak un militaire ayant le génie et la compétence.
                          Un jour ou l'autre faudra choisir, on ne peut pas vivre éternellement avec des institutions illégitimes .
                          SAG est empêché d'activer et on organise la tournée des zaouias à chakib khellil, des partis politiques qui n'ont que le nom existent et on fait taire ceux qui peuvent nous éclairer par leurs compétences et expériences. La vraie démocratie c'est de laisser tout le monde s'exprimer et travailler, qu'on apprenne à gérée un pays comme le nôtre

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                          • #58
                            @Aggour

                            Je suis comme Gandhi j'y crois pas en l'homme providentiel. Quand le moment viendra tu vas entendre des noms. En 1953 personne n'a entendu parler de Benboulaid et Zighoud, mais ils étaient au rendez-vous quand le pays avaient besoin d'eux.

                            La scène politique est verrouillée, et les méthodes orthodoxes qu'utilise SAG ou Hamdrouche ou Benflis ne mèneront a rien. D'ailleurs ces gens jouissent de belles retraites et de gardes de corps fournis par ce régime qu'ils critiquent.
                            Un opposant qui ne recoit pas des gifles sur sont visage et qui n'a pas connu la gamelle et le paillasse ghir yrouh yzemmar c'est mieux pour lui.

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                            • #59
                              Moi auss je n'attend pas l'homme providentiel et je préfère que les jeunes investissent la politique mais ces jeunes doivent se former auprès des anciens, ceux qui ont l'expérience .
                              L'art est difficile et la critique est facile, y en a qui ne peuvent même pas gérer une apc ou une association et qui viendront critiquer un ancien chef de gouvernement .
                              Pour l'instant Bouteflika et l'armée verrouillent tout, en 2017 y aura des élections législatives,que faut il faire ? Boycotter, participer ou se contenter de critiquer saadani et ouyahia ? Les algériens aiment discourir sur les grandes idées et les sujets métaphysiques mais tu leur demande de gérer et d'obtenir des résultats, ils te diront non merci ! Comment changer de système si on participe pas ?

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                              • #60
                                Le rôle d'un homme politique n'est pas gérer les instituts d'état tel que fait u' directeur d'entreprise. C'est plutot rassembler les gens autour d'un programme et d'avoir une vision de ce qu'ils envisage faire dans le future.
                                Les professionnels technocrates peuvent s'occuper des details et apprendre s'il le faut, et meme s'ils manquent d'expérience ils peuvent en recruter des consultants pour les aiders. Le plus important c'esr l'honnêteté et l'intégrité.

                                Le probleme est le divorce entre le racaille de cette classe politique au pouvoir ou dans l'opposition (ze3ma) et ce peuple qui a démissionné de la scène.

                                Les prochaines élections sont certainement un évènement important que personnellement va engendrer un bouleversement ce qui pourrait creer une brèche dans ce système.

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