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  • #31
    Discus
    Le tribalisme dont tu parle existe encore et oh heureusement a moindre echelle
    Si la présence othomane et le colonialisme francais ont bénéfiques pour l'Algérie , c'est surtout pour nous avoir débarrassé de ce mal ( tribalisme ) que certains veulent ressusciter pour mieux ressembler aux sociétés tribales tels le yemen , la libye , pays africains et autres pays primitifs !

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    • #32
      ahras

      Ca rejoint un peu ce que j'ai dit ici :

      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...32#post5766032

      malheureusement apres tant d'exemple et de vecu , la lecon n'est pas encore apprise , encore moins comprise .

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      • #33
        Si la présence othomane et le colonialisme francais ont bénéfiques pour l'Algérie , c'est surtout pour nous avoir débarrassé de ce mal ( tribalisme ) que certains veulent ressusciter pour mieux ressembler aux sociétés tribale
        Revendiquer son algérianité, son histoire millénaire et la résistance des autochtones contre toutes les invasions seraient du tribalisme ? je crois que ce "mal" n'a pas disparu et mieux, il est encore plus fort qu'hier
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #34
          Azul Khore

          Des pirates ne peuvent instaurer rien d'autres que la loi du plus fort, les tribus n'étaient pas affaiblies et incapables de se défendre contre les espagnols ou les italiens, elles avaient simplement besoin du renfort de corsaires comme le faisaient les espagnols
          zwina cesse de te mêler les pinceaux et essaie de mieux te renseigner
          je te donne deux pistes Le PENON d'Alger et le Fort de Santa Cruz d'ORAN...

          C'est le Comte Pedro Navarro qui a construit l' îlot d'Alger, une forteresse qui reçut le nom de Pegnon à cause de la base rocheuse qui le supportait. La forteresse était destinée à tenir éloigné les indigènes et à prévenir la piraterie. Son historique est précisé dans un passage du « Zohrat en-Nayerat », chronique indigène :

          "Il existait au lieu même où l'on voit aujourd'hui la tour du phare, (l'auteur écrivait en 1780) deux ouvrages fortifiés occupés par les Chrétiens. Plus tard, lorsque ces forteresses tombèrent toutes deux au pouvoir de Kheïr ed-Dîn, il n'en conserva qu'une et fit servir les matériaux de l'autre à la construction de la jetée qui est encore debout. Le fortin conservé est celui qui sert de base à la tour du phare. n conserva qu'une et fit servir les matériaux de l'autre à la construction de la jetée qui est encore debout. Le fortin conservé est celui qui sert de base à la tour du phare. « Le Pegnon » se composait de deux ouvrages dont le plus considérable a fourni les matériaux avec lesquels on a comblé les intervalles entre les îlots et les écueils, tandis que l'autre, conservé jusqu'à nos jours, au moins partiellement, supporte la tourelle du phare."

          Quant au fort de Santa-Cruz, il a été érigé entre 1577 et 1604 à Oran par les Espagnols. Ce fort a été un lieu de combats sanglants entre les Ottomans et les Maures vassaux des Espagnols à cause de sa situation stratégique.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #35
            Les Othomans n’avaient pas un surplus de population pour s’en débarrasser et coloniser d’autres pays, aucun pays sous leur autorité n'a été colonisé.
            L'empire ottoman était donc une fiction ? Il va falloir l'expliquer à la Palestine et aux arabes qui ont vu leurs terres occupées par les ottomans qui utilisaient pirates et janissaires pour soumettre les populations. Tu l'expliqueras aussi aux Kurdes, aux arméniens et aux syriens, ça devrait les faire sourire ce qui même aujourd'hui ne serait pas un luxe. Les ottomans étaient des colons comme les autres, le nier c'est prendre le risque que l'histoire se répète, les syriens en font l'amère expérience.
            A la fin du XIXe siècle, l'Empire ottoman (en turc : Memâlik-i Osmaniyé ou Devlet-i Aliyé) comprend une partie de la péninsule des Balkans, l'Anatolie, la Syrie et la Palestine, une partie de l'Arménie, le Kurdistan,l'Arabie et le Nord-Est de l'Afrique. Il faut distinguer les possessions effectives et les provinces tributaires plus ou moins indépendantes. Dans ce dernier groupe, se rangent la Bosnie, l'Herzégovin et une partie du sandjak de Novi-Bazar, administrées par l'Autriche-Hongrie en vertu du traité de Berlin (1878) et lui appartenant en fait; l'île de Chypre, administrée par la Grande-Bretagne à la suite de la convention de 1878; la Bulgarie et la province autonome de Roumélie orientale unies à partir de 1886; l'Égypte, autonome depuis 1871 et occupée par la Grande-Bretagne; l'île de Samos, jouissant à partir de 1852 d'une constitution et gouvernée par un prince qui n'est, il est vrai, qu'un fonctionnaire ottoman; l'île de Crète

            Le XIXe siècle aura marqué en fait l'agonie d'un État aux structures archaïques, incapable de se moderniser, malgré les réformes entreprises à partir de 1839 (Tanzimat), incapable aussi de contrer les ambitions de ses voisins. L'empire ottoman sera ainsi complètement démantelé, dès les années 1920, à l'issue du partage du monde opéré par les puissances européennes sorties victorieuses de la Première Guerre mondiale.
            Si toi et d'autres essayez de nous expliquer que les turcs ont des vues sur l'Algérie et que vous tentez de leur faire une virginité épaulés par les descendants d'anciens supplétifs, je te rassure, tout le monde le sait déjà à Constantine où certains ont déjà commencé à piller les caisses.
            Dernière modification par zwina, 14 novembre 2016, 18h38.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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