Rédaction du HuffPost Algérie
Des enseignants et étudiants de l'Ecole nationale supérieure d’agronomie (ex-INAà d’El Harrach) ont appelé à un rassemblement aujourd'hui devant le siège du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, à Ben Aknoun.
Les enseignants de l’INA dénoncent, par ce mouvement de protestation, le licenciement "abusif" et "illégal" de deux de leurs collègues. Selon le communiqué diffusé hier notamment sur les réseaux sociaux, les Prs Rosa Issolah et Aïssa Abdelguerfi ont été renvoyé de cette prestigieuse école pour avoir "dénoncé les dérogations d’inscription en 1re année sans la moyenne requise et en doctorat sans concours".
Selon le même source, "la décision de licenciement des deux enseignants a été prononcée par un conseil de discipline qui s’est tenu sans avoir convoqué les concernés, sans les avoir entendu et sans leur avoir donné l'occasion de se défendre". Les concernés ont, toutefois, soulignés qu'ils avaient reçu les convocations mais seulement après la tenue dudit conseil.
Aussi leurs collègues, solidaires de leur cause et désireux de préserver le prestige d'une des plus anciennes école d’enseignement supérieur du pays, s'adresse à la tutelle exigeant la réintégration de leur collègue et faire la lumière sur ce qui se passe dans la "maison ENSA".
Des enseignants et étudiants de l'Ecole nationale supérieure d’agronomie (ex-INAà d’El Harrach) ont appelé à un rassemblement aujourd'hui devant le siège du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, à Ben Aknoun.
Les enseignants de l’INA dénoncent, par ce mouvement de protestation, le licenciement "abusif" et "illégal" de deux de leurs collègues. Selon le communiqué diffusé hier notamment sur les réseaux sociaux, les Prs Rosa Issolah et Aïssa Abdelguerfi ont été renvoyé de cette prestigieuse école pour avoir "dénoncé les dérogations d’inscription en 1re année sans la moyenne requise et en doctorat sans concours".
Selon le même source, "la décision de licenciement des deux enseignants a été prononcée par un conseil de discipline qui s’est tenu sans avoir convoqué les concernés, sans les avoir entendu et sans leur avoir donné l'occasion de se défendre". Les concernés ont, toutefois, soulignés qu'ils avaient reçu les convocations mais seulement après la tenue dudit conseil.
Aussi leurs collègues, solidaires de leur cause et désireux de préserver le prestige d'une des plus anciennes école d’enseignement supérieur du pays, s'adresse à la tutelle exigeant la réintégration de leur collègue et faire la lumière sur ce qui se passe dans la "maison ENSA".
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