Envoyé par rago
Les faits de l'histoire récente indiquent qu'à l'aube d'une démocratie algérienne le militaire a trouvé le stratagème pour garder le pouvoir et jouer à l'héro à travers un parti islamiste poussé à l'erreur. Comment pouvait-on admettre des gens qu'on savait défonceur des toits des libertés ?
Le sociologue Houari Addi voulait les piéger dans ce jeu à travers la ''régression féconde'', rien n'y fit, le fusil a eu le dernier mot.
L'ultime violence (toujours militaire) est la réalité atroce que nous vivons aujourd'hui: la désignation de Bouteflika, (n'est ce pas dans un de ses discours aux militaires qu'il dira «akh... wine habbit» ), avec à l'apogée le règne de la chkara, des ministres débiles et des criminels récidivistes et autres coiffeuses comme parlementaires.
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