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Algérie : un blogueur en prison après avoir interviewé un Israélien

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  • #16
    @Aarrou

    Tiens, en video :





    Tiens, une autre rencontre...Avec les ddrapeaux, tu ne pourras faire de l'esbrouffe :

    Dernière modification par Spoutnik, 01 février 2017, 14h19.

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    • #17
      un blogueur en prison après avoir interviewé un Israélien

      C'est ce qu'on appelle tolérance zéro.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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      • #18
        Abdelaziz Bouteflika a traité il y a plus d'une décennie les journalistes algériens qui se sont rendus en Israël de « lâches».


        26 JUIN 2000 :
        Il est à rappeler dans ce sens que les journalistes de l'AFP accrédités en Israël ont constaté à Jérusalem - qu'une dizaine de journalistes et universitaires algériens ont entamé «une première visite publique» d'une délégation de leur pays en Israël en rencontrant à Jérusalem le ministre israélien des Affaires étrangères en poste, Mr David Lévy. Cette visite témoignait de l'accroissement régulier des contacts entre Israël et l’Algérie depuis fort longtemps. "Nous sommes très fiers de cette visite d'intellectuels et de journalistes venus voir la société israélienne et ses institutions", a affirmé M. Lévy à l'époque. "C'est une initiative importante que nous ne pouvons qu'encourager". "Cette visite est un signe positif, même s'il ne s'agit pas d'une délégation officielle", a-t-il déclaré à l'AFP. "Le gouvernement algérien est au courant de leur venue", a-t-il ajouté.


        D'autre part, le journal français Le Monde avait fait état en décembre 2000 de la visite en Algérie, du 15 au 25 octobre 2000, "d'une délégation Israélienne de haut niveau". Le président algérien a toutefois souligné à de nombreuses reprises qu'il ne pourrait y avoir de relations diplomatiques tant qu'Israël n'aurait pas signé d'accords de paix avec les Palestiniens et la Syrie.

        Bouteflika joue le malin :

        1) Il a saisi toutes les opportunités d'ouvertures à l'égard des juifs en rendant hommage aux artistes juifs à l'image d'Enrico Macias qu'il a lui-même invité en Algérie !
        2) En marge de son voyage d'État effectué à la mi-novembre 1999 en Italie, Bouteflika a rendu visite secrètement à Danny Yatom conseiller aux affaires de sécurité d'Ehud Barak premier ministre israélien à l'époque. Cette information a été dévoilée et diffusée sur le mensuel algérien «l'Espace d'Algérie» du mois de septembre 2000 dans sa page 16 consacrée aux dossiers de l'heure extraite d'une revue parue en l'an 2000 dont l'article était intitulé "ALGERIE-ISRAEL liaison dangereuse". Aucun démenti à l'époque du locataire du palais d'El Mouradia d'Alger.
        3) Selon cette revue, le président algérien a demandé l'assistance de l'État Hébreu pour la mise en place d'une unité spéciale chargée de la garde rapprochée des personnalités, ainsi que la fourniture de système électronique de surveillance et de matériel de télécommunications sophistiqué. Israël a donné son aval à la première requête, mais pas à la seconde. Les membres de l'unité spéciale devaient être formés à l'époque par le «Shin Beth et le Mossad». Peu après la visite secrète d'une délégation israélienne à Alger le 15 et le 24 octobre 2000, alors que le chef de l'État algérien a ainsi rencontré deux ministres israéliens en Espagne.

        Voilà ce que publie L’EXPRESS du 03 juillet 2000 : Ce que n'a pas dit Bouteflika :

        Diplomatie, sécurité, économie : voilà des années qu'un rapprochement algéro-sioniste s'esquisse. Même si Bouteflika s'en défend hypocritement, au nom de la cause arabe.

        Quel tapage! Le 3 juillet 2000, à l'aéroport Houari Boumediene d'Alger, deux comités d'accueil rivaux attendent une poignée de journalistes algériens, de retour d'un séjour controversé en Israël. Le premier, emmené par les islamistes du Mouvement de la société pour la paix (MSP), abreuve d'injures les «scélérats». Accouru au secours des collègues ainsi flétris, le second, ténors des médias et de la mouvance démocrate en tête, aura droit lui aussi à sa bordée d'anathèmes.
        L'exemple vient de haut. Trois jours plus tôt, le président Abdelaziz Bouteflika fustigeait de Tunis la «trahison», l'«erreur impardonnable» commise aux dépens des «peuples frères» libanais, syrien et palestinien. Pis: ce voyage au coeur de l'«entité sioniste», à l'invitation du ministère des Affaires étrangères de l'État hébreu, passe à ses yeux pour un «acte de violence qui nourrit le terrorisme». Trahison, terrorisme: en Algérie, ces mots-là valent leur pesant d'histoire et de sang. Pourquoi un tel tollé? Dûment informé, voire consulté par quelques rédacteurs en chef dubitatifs, le pouvoir aurait pu tuer dans l'oeuf l'expédition. Il n'en fit rien, au grand dam de Damas. D'où l'hypothèse en vogue au sein des rédactions algéroises: Bouteflika a trouvé là l'occasion de lancer à peu de frais un ballon d'essai, mais aussi de piéger la presse indépendante algérienne, considérée comme «cause de tous les maux» du pays selon le pouvoir algérien. Diplomate de carrière, «Bouteflika» ne saurait tolérer la moindre intrusion dans son domaine réservé. D'autant que Bouteflika, alors le président en exercice de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) tient à parfaire sa stature de leader continental, médiateur engagé de l'Érythrée au Congo-Kinshasa et porte-drapeau intransigeant de la cause arabe. La virée israélienne lui offre le prétexte de réaffirmer les dogmes façonnés au temps du Front du refus, quand l'Algérie, au côté de l'Irak et de la Syrie, donnait le ton de l'antisionisme. «En ce sens, note l'historien français Benjamin Stora, professeur des universités, il reste prisonnier de son passé.» La doctrine tient en une formule : pas de normalisation avec Israël avant l'émergence d'un État palestinien digne de ce nom et la restitution à la Syrie du plateau du Golan.
        Voilà pour la posture officielle. Sur scène comme en coulisse, maints indices confirment pourtant l'amorce d'un dégel. Il y eut bien-sûr, le 25 juillet 1999, en marge des funérailles de Sa Majesté le feu Hassan II, la poignée de main échangée avec le Premier ministre israélien, Ehud Barak, prélude à un aparté de 7 minutes. Et ce, trois semaines après l'hommage rendu aux juifs d'Algérie à Constantine, jadis siège de la plus forte communauté hébraïque du Maghreb. Il y eut aussi, en juin 1999 à Paris, l'entretien accordé par Bouteflika à Henri Hadjenberg, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crijf). L'occasion de reconnaître à Israël le «droit d'exister» et d'envisager des «relations privilégiées» entre les deux pays. Bien-sûr, les écueils ne manquaient pas.
        Pour preuve, le report «sine die» de la tournée d'Enrico Macias, prévue en mars de la même année, victime du travail de sape des milieux islamo-conservateurs. Pied-noir natif de Constantine, le chanteur était pourtant l'invité du président... «Malgré une présence deux fois millénaire, souligne Benjamin Stora l'historien français, le passé juif de l'Algérie a été escamoté d'une manière radicale. En devenant citoyens français dès le 19eme siècle, les juifs d'Algérie ont échappé à la condition de «dhimmis», sujets protégés en Islam. Quitte à passer pour les alliés du colonisateur. Grief aggravé lors de la guerre d'indépendance de l’Algérie, quand ils choisissaient, les uns d'aller en Israël, les autres de s'établir en France.
        «Fortuits» ou pas, les contacts s'intensifient. Notamment, depuis plus de dix ans, dans les domaines militaire et économique. La surveillance des réseaux terroristes islamistes a stimulé la coopération entre les services de renseignements des deux pays, le Mossad et le DRS. De plus, selon le quotidien israélien Yediot Aharonot, des émissaires de Bouteflika auraient transmis, lors d'une discrète rencontre en Italie avec Dany Yatom, désormais conseiller d'Ehud Barak et ancien chef du Mossad, une requête portant sur la formation d'une unité spéciale chargée de la protection rapprochée des dignitaires du régime et la fourniture d'équipements de sécurité sophistiqués. Voilà en outre plusieurs années que des sociétés israéliennes fournissent à l'Algérie des médicaments et du matériel hospitalier, expédiés fictivement de Marseille. Quant aux règlements, ils transiteraient par une banque marocaine(!). «Si j'ai un malade à l'agonie à la maison, et que toutes les pharmacies sont fermées hormis celle que tient l'Israélien, moi, j'achète.» Qui donc fit un jour cet aveu à Oran? Un certain citoyen dit Abdelaziz Bouteflika.

        L'EXPRESS

        Quand Israël espionne l’Algérie :

        Cet atout technologique israélien devait donner un avantage stratégique sur l’Iran, mais aussi sur d’autres pays arabes. Israël semble vouloir envoyer un message à tous les états arabes considérés comme “hostiles”.
        Lancé le 25 avril 2006, le satellite espion israélien Eros B, troisième satellite militaire de l’état hébreu, devait initialement se focaliser sur les installations nucléaires iraniennes. Or, selon le quotidien israélien Maariv, l’agence Imagesat International, filiale des industries aéronautiques militaires israéliennes, a diffusé de nombreuses photos émises, plusieurs sites considérés comme sensibles dans les pays arabes, dont l’Algérie, ont été capturés par les caméras à haute résolution.
        Que cherche Israël en diffusant des images satellites sur les sites algériens ? à son lancement de la rampe russe en Sibérie, les militaires israéliens, dont le ministre de la défense, Shaoul Mofaz, ont clairement indiqué que ce satellite espion Eros B — troisième satellite après Eros A et Ofek 1, 2 et 3 — devait permettre au gouvernement israélien de surveiller de plus près (le satellite peut prendre des photos d’objets pas plus grands que 70 centimètres), les installations nucléaires iraniennes soumises, déjà, au suivi étroit de la NASA américaine (National Aéronautics And Space Administration) et de l'AIEA (Agence Internationale d'Énergie Atomique).
        Ainsi, le satellite-espion, d’Israël Aircraft Industries, une société d’état israélien, a balancé des images de sites aussi divers que le barrage de Tabka, le plus grand pourvoyeur d’électricité de Syrie, l’aéroport militaire de Kassala, au Soudan, d’où s’envolent les hélicoptères soudanais qui survolaient le Darfour ou encore des photos de bases aériennes ou de ports comme celui de Skikda en Algérie !
        L’utilisation de ce genre d’images contre l’Algérie a déjà eu lieu à deux reprises. D’abord, suite aux déclarations des services secrets britanniques du MI6 qui ont diffusé dans les médias anglais les images du réacteur civil algérien d’Aïn Ousséra, Essalam, qu’ils ont tenté de faire passer pour un réacteur militaire afin de contrarier la coopération nucléaire entre l’Algérie et la Chine.
        Les inspections répétées de l’AIEA sur le site de Djelfa avaient démenti toutes ces allégations qui sont reprises, de temps à autre, dit-on en Algérie par les «Marocains(!)» pour justifier la relance de leur propre programme nucléaire.
        Ensuite, lors de l’affaire du massacre de Bentalha 22-23/9/1997 (un village algérien aux alentours d'Alger), lorsque des sources probablement étatiques ont donné à une chaîne de télévision française des images satellites de la région de Bentalha lors de ce forfait, prises par le satellite espion français Spot. Ces images visaient à faire accréditer la thèse de déplacement de troupes algériennes lors du massacre pour faire croire que l’armée n’a pas assisté les civils et n’a pas mis les moyens pour organiser la défense. Sur ce dossier-là, les témoignages des “Emirs” du GIA avaient contredit cette manipulation.
        Mais cette fois-ci, ce sont les Israéliens qui s’y mettent. En choisissant le port de Skikda, un des plus grands pôles pétroliers en Algérie, Tel-Aviv veut par cela insinuer qu’elle est en mesure de suivre de très près l’évolution des ressources énergétiques stratégiques de l’Algérie.
        Alors que le satellite devait prendre quelques jours pour être opérationnel, les médias israéliens diffusaient, 5 jours après, des images d’une haute qualité comme pour narguer les états arabes hostiles à sa politique.
        Cette volonté de superpuissance a été vivement critiquée dans les médias arabes qui exhortaient les états de la Ligue arabe à riposter sous la forme d’un projet interarabe visant à prendre également des images d’Israël.
        L’idée est judicieuse, mais son application pourrait tourner à la catastrophe comme ce fut le cas d’Arabsat. Il faut dire que les États-Unis veillent au grain dès qu’il s’agit de sa sécurité et de celle d’Israël et mettraient leur veto à toute entreprise de ce type qui nécessite une technologie de pointe, car seuls 8 pays dans le monde peuvent envoyer des satellites dans l’espace (les États-Unis, la Russie, l’Angleterre, le Japon, l’Inde, la France et la Chine).

        Suite ci-dessous :
        Dernière modification par choucha, 01 février 2017, 18h05.

        Commentaire


        • #19
          suite :

          L'Algérie de dignité est une propriété privée du Mossad :

          Les services secrets israéliens recrutent leurs agents parmi des Algériennes, particulièrement les douées et efficaces.

          Teint doré, petite coupe à la garçonne, yeux pétillants, regard charmeur, démarche gracieuse et élocution parfaite. Sous ses airs légers et désinvoltes de métropolitaine bien dans sa peau, Badra F., une Algérienne à la quarantaine épanouie, cache remarquablement son jeu. Badra est, comme on l'appelle dans le jargon du renseignement, «un officier traitant». Polyglotte, instruite, intelligente, perspicace et discrète, c'est l'une des recrues étrangères hautement opérationnelle d'une des plus puissantes agences de renseignement dans le monde, le Mossad israélien. Chargé, à côté du Shabak (ex Shin Bet, sécurité générale intérieure) et de l'Aman (renseignement militaire), de la sécurité extérieure (renseignement, des opérations clandestines et lutte anti-terroriste).

          Badra chapeaute un réseau de 12 agents secrets en jupons, toutes Algériennes comme elle, dont sa sœur, engagée à l'âge de 12 ans. Repérée en décembre 2001 par le "sayan" Albert M., un agent dormant du Mossad établi au Maroc, dans une soirée mondaine à Casablanca, celui-ci lui présentera quelques mois plus tard à Paris, Joseph B., chasseur de têtes pour les services secrets israéliens. Badra M., diplômée en sciences politiques et en langues étrangères, hésitante au début, finira par accepter de travailler comme "katsa". Autrement dit, comme officier de renseignement, pour le compte d' IRAS (l'Institut pour les Renseignements et les Affaires Spéciales), moyennant une rémunération initiale alléchante de 70.000 euros par an.

          Mais pas seulement. Car, en plus d'un salaire fixe, elle s'est vue proposer, comme nombre d'agents secrets, d'autres émoluments et avantages en nature : prime pour certaines opérations à risque élevé, passeports de plusieurs pays occidentaux, voiture et appartement personnel dans une métropole de son choix, ouverture d'un compte bancaire en Suisse, quelques bijoux précieux et vacances annuelles vers sa destination préférée. Et, bien-sûr, augmentation de salaire avec l'expérience et les années passées au service de l'agence. Tous les ingrédients de la motivation étaient là.

          Tests psychologiques, entraînement au combat, à la filature, à la résistance à la torture, maniement des armes légères, perfectionnement en informatique, cours de linguistique… Badra suit une formation intensive et pointue en espionnage pendant plusieurs mois dans la région de Haïfa. Jonglant avec les passeports et les identités. Imitant à merveille les multiples accents orientaux. Au gré des missions, elle portait tour à tour plusieurs étiquettes d'identité : journaliste Marocaine, Beurette bénévole dans l'humanitaire, Enseignante Tunisienne d'arabe classique. Comédienne belge d'origine libanaise, Assistante de direction Libyenne. Ou encore Organisatrice Emiratie d'événements artistiques. Elle apprend vite et fait montre d'une telle efficacité qu'elle se voit à son tour confier le recrutement de nouveaux agents féminins à travers l’Algérie.
          Nous sommes en 2003. Meir Dagan(4), ne mâchait pas ses en laissant entendre que : La politique d'ouverture du Mossad, entamée en l'an 2000, sous la direction d'Ephraïm Halevy (1998-2002), alors que la seconde Intifada battait son plein. Et que la communauté internationale dénonçait massivement les exactions croissantes de l'État hébreu contre le peuple et les dirigeants palestiniens. Plus que jamais, Israël avait besoin d'être informé de tout ce qui peut, de près ou de loin, attenter à son existence, sa sécurité ou sa pérennité. Les attentats du 11 septembre 2001 finissent de convaincre l'Institut (créé initialement en 1951 sous David Ben Gourion pour faciliter l'Aliyah, le retour vers le jeune Israël né en mai 1948) de la priorité de renforcer ses antennes périphériques. Notamment et surtout dans les nations et auprès des faiseurs d'opinion (hommes et institutions) et des centres de décision politico-économiques arabes et musulmans. Le mieux est d'embaucher des gens du cru, des autochtones. Et, pourquoi pas, des femmes. Enrôlées de gré (en échange de contreparties conséquentes) ou, comme le prétend Nima Zamar, une ex-espionne du Mossad, dans "Je devais aussi tuer", de force (chantage, viol, menaces…).

          Attirant peu les soupçons et les méfiances, le "sexe faible" dispose en plus d'un arsenal inné redoutable. Enveloppe charnelle qui s'avère parfois plus efficace et plus pointue que n'importe quel équipement d'artillerie lourde. Œillades suggestives, balconnet plongeant, danse lascive, paroles coquines, alcool et autres paradis artificiels aidant, et voilà, à l'usure, le plus récalcitrant des hommes dans les filets, le corps en feu et la langue déliée. Autant de "bombes anatomiques au service des Services" à dissimuler et disperser ici et là, en fonction des besoins et des missions du moment.

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          • #20
            Spoutnik

            @Aarrou

            Tiens, en video
            Rien de nouveau au MAkhnazoland !!!

            60% d’analphabètes au Makhnazoland!!! Les autres ils savent lire mais sans rien comprendre,d’ailleurs ils ne comprennent même pas ce qu'ils voient avec leur propres yeux !!!
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #21
              un gouvernement de minable avec des réaction minable.....
              tu tombe je tombe car mane e mane
              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

              Commentaire


              • #22
                Je pense que le blogueur en question l'a fait par dépit, tout comme il aurait pu brûler l’emblème national.

                Nonobstant la qualité de notre régime il y a réellement de vils humains qui veulent notre malheur, hogra ou pas contacter les israéliens est très suspect. Un warning aux responsables qui songeaient se lier aux sionistes.
                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                Commentaire


                • #23
                  Je pense que le blogueur en question l'a fait par dépit, tout comme il aurait pu brûler l’emblème national.
                  tu y va un peu fort,plus que le procureur de la république.
                  le jeune homme qui donne la parole a un israélien sur son blog,pour toi c'est équivalent a bruler le drapeau algérienoeilfermé,
                  et il est accusé d'intelligence avec une puissance étrangère rien que pour ca,et avec ton équivalence c'est le peloton d’exécution assuré.

                  après ne venez pas parler de démocratie et de liberté d'expression et d'opinion en algerie.
                  oeilfermé

                  Commentaire


                  • #24
                    Il est bien plus qu'un blogueur, il s'agit d'espionnage au profit du Mossad, des liens avec le réseau du douctour zalamite Fekhar, le MAK, des liaisons au Maroc et plus.
                    Dans un pays qui a vu mourir des milliers de gens dans une vendetta indescriptible on ne pardonne pas ces conneries.

                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                    Commentaire


                    • #25
                      il s'agit d'espionnage au profit du Mossad, des liens avec le réseau du douctour zalamite Fekhar, le MAK, des liaisons au Maroc et plus.
                      la tu l'accuses tout bonnement d’être un espion,encore plus lourd que d'intelligence avec une puissance étrangère,terme qu'on ne voit que chez les dirigeants parano de la planète,et encore en temps de guerre.
                      vivement les tribunaux staliniens en algerie,et l’expédition ad-pâtre...,c'est ca tes vœu pour 2017?!

                      Dans un pays qui a vu mourir des milliers de gens dans une vendetta indescriptible on ne pardonne pas ces conneries.
                      je pense que l'algerie a passé avec une certaine reussite ce stade,
                      ,pour avancer en termes de démocratie,il s'agit de ne plus s'épouvanter par ce prétexte de main étrangère et régler ses problèmes sociaux a la racine sans pinailler.

                      mais ca ne doit etre tes vœux de 2017,puisqu'il sont pieux.
                      Dernière modification par Mjid, 02 février 2017, 16h59.

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