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Élections législatives en Algérie

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  • #16
    Boycotter

    Bonjour ; je suis entiérement d'accord de tous ce qui se passe en france envers nos frères d'autant plus j'ai 2 enfants (mon fils et ma fille) pour études ; mais toute est relatif et ne crois pas que chez nous c'est la vie en rose . Et quant à [C'est une erreur de boycotter les élections législatives ] je respecte ton avis mais le mien est autre car je vois qu'ils sont biasées , crois-tu franchement qu'on a des parties politiques ? le seul était FFS mais au temps du defunt Ait Hocine ces temps ci a perdu de sa crédiblité .

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    • #17
      Si vous ne votez pas, vous ne comptez pas. C'est aussi simple que cela malheureusement. Tout groupe qui ne vote pas est systématiquement ignoré par le pouvoir, quelque soit le pouvoir en place.

      Gardez en tête aussi que la loi est la seule référence du pays et que quelque soit le taux de participation, même si il est de 12%, le parlement siègera quand même sauf si le président le refuse. Tout simplement parce qu'il n'y a aucune alternative légale.

      Voici une vidéo intéressante sur les structures du pouvoir (dictature ou démocratie) et la folie de ne pas voter. C'est en Anglais malheureusement. Je n'ai pas trouvé en Français:

      https://www.youtube.com/watch?v=rStL7niR7gs

      ∑ (1/i²) = π²/6
      i=1

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      • #18
        Zadhand

        crois-tu franchement qu'on a des parties politiques ? le seul était FFS mais au temps du defunt Ait Hocine ces temps ci a perdu de sa crédiblité
        Tout parti politique confondu, en France ils sont inaudibles, c'est la société civile qui répond aux attaques du FN et qui va jusqu'à l'assemblée nationale à Paris et autres institutions pour réclamer plus de mesure dans les propos et les respect des algériens. Le FFS est tout aussi muet, c'est Ali Mecili pas Ait Ahmed qui défendait les algériens dans les années 70/80 contre les violences policières et les ratonnades. Donc il existe des algériens et des algériennes qui pourraient parfaitement remplir le rôle, encore faut-il que les partis les sollicitent et leur apportent leur soutien pour donner une meilleure image des députés algériens à l'étranger.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #19
          Élections législatives en Algérie

          En Algérie tout le monde sait que c'est les bandits qui se font élire députés ; ils disposent des sous pour s implosés aux premières places sur les listes électorales .

          La preuve à Tizi , on annonce déjà que c'est le frangin à ali haddad qui est tête de liste fln ! ...

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          • #20
            Les candidats aux législatives changent les chaînes privées pour les réseaux sociaux

            Les candidats aux législatives changent les chaînes privées
            pour les réseaux sociaux


            Jeudi 09 Fevrier 2017

            Le barrage installé par le ministre de la Communication sur les chaînes privées va pousser les candidats à tempérer leur discours et surtout revoir leur copie en prévision de la campagne électorale. En tout cas, le premier candidat à dérouter cette nouvelle mesure du gouvernement c'est le président de TAJ Amar Ghoul, qui est déjà en campagne électorale avant l'heure. Dans un reportage réalisé par Dzair News, le célèbre comédien de Bila Houdoud Mustapha Ghir Hak, a fait l'éloge du parti TAJ et a appelé à voter pour lui. Ce soutien a fait le tour du Web et des réseaux sociaux et peut être perçu comme une publicité gratuite pour le parti TAJ. D'ailleurs, le président de TAJ est passé à côté de l'artiste sans s'arrêter, laissant Mustapha faire le travail électoral à sa place. Le reste c'est du réseautage. Le reportage de Dzair News a été repris par la page Facebook d'El Bilad TV, qui soutient le candidat de TAJ. Au moins 6 millions de fans de la page d'El Bilad TV ont vu la vidéo sans oublier les partages, cela peut donner jusqu'à 12 millions de personnes qui ont regardé la vidéo d'un appel au soutien au parti TAJ, ce qui peut constituer comme le corps électoral. Par ailleurs, la nouvelle mesure du ministre va pousser le candidat libre aux législatives algériennes en France Djamel Guessoum, à retarder le lancement de sa chaîne de télévision destinée à l'immigration: Canal France Algérie. Lors de la conférence de presse organisée au siège du journal El Mihouar et en présence de l'ancien ministre de la Culture Mahieddine Amimour, Djamel Guessoum annonce le lancement de sa chaîne alors qu'il est officiellement candidat à la députation algérienne de mai 2017 pour la circonscription nord de la France qui compte 41 départements et 10 circonscriptions consulaires d'Algérie. Si la chaîne Canal France Algérie sera lancée en mars, elle ne devrait pas être installée en Algérie. Le candidat devra faire sa campagne en France avec l'impact sur les réseaux sociaux, car le grand avantage des candidats c'est qu'ils peuvent jouer sur les réseaux sociaux sans être inquiétés. Une méthode qui a très bien marché pour les élections américaines et qui est en train d'être appliquée dans tous les pays du monde. Ainsi les vidéos sur YouTube seront d'un apport certain pour les candidats, ce qui gênerait sensiblement les instituts de surveillance des élections comme l'Arav ou encore l'institution de Derbal. Ceci intervient au moment où le Premier ministre instruit ses ministres pour créer des profils Facebook et Twitter pour justement communiquer avec le citoyen et expliquer au peuple la politique du gouvernement.
            L'Expressiondz

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            • #21
              Par ailleurs, la nouvelle mesure du ministre va pousser le candidat libre aux législatives algériennes en France Djamel Guessoum, à retarder le lancement de sa chaîne de télévision destinée à l'immigration: Canal France Algérie.
              Le lancement de sa chaine TV a eu lieu en janvier, il avait juste oublié de préciser qu'il était candidat aux législatives.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #22
                vote legislatives

                vote inutile c est joue d avance l opposition est inexistante le gagnant est le fln

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                • #23
                  le pouvoir a verrouillè la vie politique en Algérie d'ailleurs pour ces législatives seules les chaines tv que ce même pouvoir a désigné peuvent couvrir l'evenement ,la difficulté cette fois est de convaincre les gens a voter pour des personnes qui seront la pour voter les lois les plus impopulaires,je penses que c plus une retraite dorée pour les actuels ministres qui n'ont reçu aucune restriction pour se porter candidat et il se dit que meme sellal le fera
                  Dernière modification par Digital, 09 février 2017, 10h29.

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                  • #24
                    Législatives / à la recherche du vote jeune

                    Le gouvernement multiplie les appels et les promesses
                    Législatives à la recherche du vote jeune

                    Par Karim Kebir/liberte-algerie
                    le 09-02-2017 10:00

                    Même les promesses jamais tenues, comme celle d’hériter du flambeau des aînés, ont fini par désespérer les plus optimistes.
                    Cela ressemble à s’y méprendre à une offensive de charme mais qui dissimule difficilement quelques soucis face au spectre de l’abstention. Depuis quelques jours, en effet, les autorités officielles et des responsables de partis au pouvoir multiplient les gestes et les promesses en direction de la jeunesse, cette frange de la société qui constitue l’essentiel du gisement électoral national, dans l’espoir évident de susciter son intérêt au prochain rendez-vous électoral prévue dans moins de trois mois. C’est le cas, par exemple, du ministre des Finances, pourtant acculé à une cure d’austérité, d’initier un geste, sans doute mûrement réfléchi en haut lieu, qui ne manquera pas de faire des heureux parmi les jeunes porteurs de projets dans le cadre de l’Ansej : le rééchelonnement de leurs dettes. “Les jeunes porteurs des projets en difficulté financière, relevant de l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej), peuvent bénéficier d'un rééchelonnement de leur dette bancaire”, a révélé, il y a une semaine, lors d’une séance plénière au Sénat, Hadji Baba Ammi. Il y a trois jours, c’est au très loquace Djamel Ould Abbes, secrétaire général du FLN, de promettre que les “jeunes auront une place dans le prochain gouvernement algérien qui sera issu du nouveau Parlement”. “Le parti du Front de libération nationale (FLN) œuvre pour remettre le flambeau à une génération de jeunes loyaux qui seront présents en grand nombre sur les listes de candidature pour les législatives de 2017”, a affirmé Ould Abbes lors d’une conférence des jeunes à Koléa (Tipasa). Il promet également qu’ils “seront présents en grand nombre sur les listes de candidature aux prochaines législatives”, soulignant qu’“un avantage sera accordé, en la matière, à la tranche d’âge située entre 20 et 40 ans”. Et il n’est pas exclu, à mesure qu’approchera le scrutin, que d’autres mesures seraient annoncées par les autorités. On se rappelle que lors de la campagne pour la présidentielle de 2014, Abdelmalek Sellal avait même invité les jeunes à se marier avec l’argent de… l’Ansej. Mais on ignore si l’invitation a eu l’effet escompté sur le scrutin.S’il est de bonne guerre que l’Exécutif ou ses bras politiques recourent à toutes sortes d’artifices pour tenter de mobiliser les électeurs, dans ce contexte de crise économique et de renoncement général, il reste qu’il est difficile de convaincre particulièrement les jeunes de se rendre en masse aux élections, en raison principalement des multiples ratés de la politique gouvernementale, de l’ostracisme dont ils sont victimes, de la dépolitisation qui frappe des pans entiers de la population et de la corruption endémique qui écorne la crédibilité de certaines institutions. Même les promesses jamais tenues, comme celle d’hériter du flambeau des aînés, ont fini par désespérer les plus optimistes.Et ce n’est pas cette nouvelle sortie d’Ould Abbes qui va changer la donne. Le président du parti avait même décrété en 2012 à Sétif que sa génération “Tab Jnanna (dépassée, ndlr)”, mais cela ne l’a pas empêché de s’appuyer sur une génération gérontocrate à l’image du… SG du FLN. C’est dire que la mission de susciter l’engouement chez les jeunes au scrutin s’annonce laborieuse. A fortiori que la rente s’est… tarie !


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                    • #25
                      Louisa Hanoune avertit contre les tentations de fraude

                      Élections législatives de mai 2017
                      Louisa Hanoune avertit contre les tentations de fraude

                      le 11.02.17|10h00

                      Nous participerons aux élections législatives du 4 mai prochain
                      pour gagner et récupérer un nombre important de sièges.


                      La figuration n’est pas dans les traditions du parti», c’est le pari lancé, hier, par Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs, à l’entame des travaux de la commission ouvrière de sa formation réunie en session ordinaire. Mme Hanoune a annoncé que sa formation politique entamera prochainement l’élaboration des listes des surveillants qu’elle déléguera pour assurer la couverture des bureaux de vote à travers tout le territoire national.«Les partis au pouvoir, qui redoutent le spectre le l’abstention, sont en partie responsables de cette situation. Ce sont le FLN et le RND qui ont suscité l’ire de la population en approuvant les projets antisociaux du gouvernement», tranche la première responsable du PT, qui estime que les élections ne sont qu’une étape conjoncturelle dans la vie d’un parti et que les politiques ce sont des processus. Pour Mme Hanoune, les législatives du 4 mai seront différentes des précédentes échéances et marqueront une étape charnière au regard de la situation interne et régionale.Elle n’a pas caché, à cet effet, ses craintes de voir les détenteurs de capitaux accaparer les sièges de l’Assemblée populaire nationale et dicter leur politique. Tout en qualifiant le climat politique qui préside à cette campagne électorale «d’asphyxiant», elle a cité nombre de facteurs dominants, notamment la loi de finances 2017, l’augmentation du taux de chômage, l’incapacité du gouvernement à recouvrer ses recettes fiscales.Ces élections qui se dérouleront, selon elle, dans un contexte politique, économique et social qui ne prête pas à l’optimisme, seront décisives pour l’Algérie. Elles seront, explique Mme Hanoune, soit l’occasion pour notre pays de suivre le chemin de la démocratie, de la paix, du progrès et du développement en respectant la volonté du peuple afin que le problème de la représentativité soit réglé définitivement, soit elles plongeront le pays dans l’instabilité et l’inconnu. «Ces élections peuvent aboutir à une explosion sociale ou à l’anarchie notamment dans le cas où il y aura de la fraude. Le PT a élaboré une stratégie qui prend en considération toutes ces hypothèses», note la secrétaire générale du PT justifiant sa participation aux législatives par le souci de défendre la démocratie, même si elle est «précarisée». «Il n’est pas question de laisser la place aux forces obscures ou à l’oligarchie à l’appétit vorace qui cherchent à s’emparer de tous les leviers du pouvoir», dit-elle.
                      Risque d’une explosion sociale
                      Mme Hanoune, pour qui les travailleurs et les fonctionnaires constituent la force garante de la pérennité de l’Etat, a fait savoir que son parti s’adressera lors de sa campagne électorale à la catégorie des travailleurs, artisans et des jeunes qui se distinguent par leur maturité et qui sont à même de concrétiser le changement. Revenant sur les révélations faites par Abdelwaheb Derbal, président de la haute instance de surveillance des élections (HIISE), la secrétaire du PT ajoute : «En avouant n’avoir nullement de prérogatives pour lutter contre l’argent sale qui a fait irruption dans le monde de la politique et en admettant qu’il n’a pas le pouvoir de contrôler le vote des militaires, Derbal a dit la vérité», déplore Mme Hanoune. En décortiquant les déclarations de M. Derbal et concernant le fichier électoral, elle a relevé les contradictions entre les discours du ministre de l’Intérieur et du président de l’HIISE. «Le premier parle de l’assainissement du fichier électoral et l’autre pense que l’assainissement du fichier électoral ne peut se faire que sur une période de 5 ans. Lequel des deux dit la vérité ? Aujourd’hui, il y a de hauts responsables qui ont annoncé leur participation à ces élections et utilisent les moyens de l’Etat pour leur campagne, que fait M. Derbal ?» s’interroge Mme Hanoune. Pour elle, les propos de M. Derbal sonnent comme des aveux d’impuissance et surtout dénotent, en clair, de l’absence d’une volonté politique. A cet effet, la leader du PT interpelle encore une fois le président de la République, le garant de la Constitution, pour qu’il mette fin à toutes ces incohérences. Par ailleurs, l’oratrice s’en est prise à la délégation parlementaire qui s’est rendue récemment aux Etats-Unis d’Amérique. «Cette délégation qui n’a pas eu l’audace de questionner les responsables américains sur les rapports négatifs établis systématiquement sur l’Algérie et leur position vis-à-vis du peuple palestinien ne représente pas le peuple algérien», affirme Mme Hanoune.
                      Nabila Amir
                      El Watan

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                      • #26
                        Ils seraient une dizaine à briguer un mandat aux prochaines législatives

                        Ils seraient une dizaine à briguer un mandat aux prochaines législatives
                        Ce qui fait courir les ministres-candidats

                        le 12-02-2017

                        Que se passe-t-il dans la tête des décideurs ? De l'autre côté de l'échiquier politique, au-delà de certaines préoccupations pragmatiques,c’est, semble-t-il, la prochaine présidentielle de 2019 qui est, très certainement, en ligne de mire.
                        Les rumeurs vont bon train ! Depuis quelques jours, les noms de plusieurs ministres-candidats aux prochaines législatives du 4 mai prochain sont distillés par la presse. La plupart d’entre eux affichent aujourd’hui une appartenance de stricte obédience au FLN.À ce sujet, on parle beaucoup, en effet, de la participation du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, comme probable candidat aux prochaines élections législatives. Il se murmure même qu’il devrait démissionner incessamment de son poste. “Mais pourquoi Sellal prendrait-il ce risque qui, en réalité, n’en est pas un ? Pas si fou que ça Sellal, il part en position de favori”, croit savoir une source proche du sérail pour qui la prochaine échéance permettra d’abord aux clans et aux factions du pouvoir de se repositionner dans la perspective de 2019. “Il est vrai qu’on ne peut pas dire que Sellal ait été, au cours de sa longue carrière, d’une grande perspicacité. L’énarque avait les moyens de se présenter bien plus tôt. Mais il ne l’a pas fait. Il a fallu que la nouvelle Constitution induise quelques changements en termes d'équilibres de pouvoir et de majorité parlementaire pour que l'actuel Premier ministre se découvre une âme de militant politique. Cette candidature aurait l'avantage de lui offrir un poste prestigieux et une place de choix en tant que nouvel élu de la majorité. Peut-être même le perchoir de l’APN”, suppute notre source.Enfin, l'originalité de ces candidatures est due essentiellement au fait que la plupart de ces ministres n'ont jamais exercé le moindre mandat électif. Ce qui annonce inéluctablement, pour notre source, “une nouvelle répartition des postes politiques stratégiques”.Est-il possible, en effet, d'imaginer de telles candidatures sans l'adoubement du président Bouteflika ? Toujours est-il que les membres du gouvernement, dont les noms ont été cités, ont tous fait preuve, chacun dans son poste respectif, d’un sens de la discipline parfaitement remarquable.
                        2019 dans les esprits, déjà !
                        Que se passe-t-il dans la tête des décideurs ? De l'autre côté de l'échiquier politique, au-delà de certaines préoccupations pragmatiques, c’est, semble-t-il, la prochaine présidentielle de 2019 qui est, très certainement, en ligne de mire. Car comment expliquer qu’à presque soixante-dix ans est venue l'idée saugrenue à certains de ces prétendants de se lancer, pour la première fois, dans une aventure électorale ? Pourquoi prendraient-ils le risque de perdre leurs maroquins au gouvernement à l’occasion de cette élection ? Dans ce partage du gâteau, il y aura inévitablement de grands perdants comme certains députés-sortants qui sont, d’ores et déjà, déclarés persona non grata car traînant trop de casseroles.Ces derniers, phagocytés par leurs mentors respectifs, seront les prochains frustrés dans la sphère du pouvoir. Certains risquent même de connaître bientôt une véritable descente aux enfers. C’est dire l’enjeu… Pour le FLN, l'instant est tout aussi déterminant pour éviter d’être relégué au musée, comme le souhaitent ardemment de larges pans de la société.La survie de l'ex-parti unique est donc en question. Son avenir même serait intimement lié aux prochaines législatives. L'appareil est d'ailleurs toujours aussi divisé. Il va sans dire qu’à l’échelle locale, ces “têtes de liste parachutées” pourraient semer la zizanie parmi les 6 200 candidats du FLN qui ont déposé leurs dossiers de candidature, dans les délais, au niveau de leurs kasmas. Le nouveau secrétaire général du FLN, qui se targue d’une “transparence” sans précédent dans le processus de sélection, pourrait découvrir à ses dépens une protesta à venir à la suite de ces désignations.

                        Mohamed-Chérif Lachichi
                        liberte-algerie

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                        • #27
                          Par ailleurs, l’oratrice s’en est prise à la délégation parlementaire qui s’est rendue récemment aux Etats-Unis d’Amérique. «Cette délégation qui n’a pas eu l’audace de questionner les responsables américains sur les rapports négatifs établis systématiquement sur l’Algérie et leur position vis-à-vis du peuple palestinien ne représente pas le peuple algérien», affirme Mme Hanoune.
                          Pour questionner les américains et avoir de l'audace, il aurait fallu que tous parlent anglais, ce qui n'est surement pas le cas pour au moins l'un des députés d'une circo de France. Cette délégation a surement voulu se faire bien voir des américains mais quant on ne parle pas anglais, il vaut mieux éviter puisque ça démontre les carences. S'agiter dans des rencontres et réunions juste avant les élections alors que certains ont brillé par leur absence sur le terrain et au parlement, ce n'est pas être député mais faire du vent.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #28
                            dz(0000/1111)dz

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                            • #29
                              Élections législatives / Les chefs de parti évitent Alger

                              Élections législatives
                              Les chefs de parti évitent Alger

                              le 13.02.17 | 10h00

                              A l’approche des élections législatives, la confection des listes électorales attire l’attention.

                              Si se porter candidat dans les wilayas de l’intérieur ne suscite pas autant d’intérêt, les candidatures qui porteront les étendards des partis dans la capitale provoquent passions et spéculations. Et pour une fois, les élections législatives de 2017 ne semblent pas trop attirer les chefs de parti politique.Sur les affiches électorales qui seront collées aux quatre coins d’Alger, on ne verra que très peu de visages de leaders des partis politiques.Selon les rares indications qui sortent des états-majors des principaux partis politiques, les «chefs» préfèrent déroger à la règle qui veut que le chef du parti se porte candidat dans la capitale. Ainsi, le directeur de cabinet de la présidence de la République ne sera pas le candidat du Rassemblent national démocratique (RND) à Alger.La place de tête de liste sera dévolue à Seddik chihab, qui occupe actuellement le poste de vice-président de l’APN. L’ancien syndicaliste va donc être reconduit, à moins que les dirigeants du parti n’optent pour l’ancien ministre des Finances, Abdelkrim Harchaoui, qui fera ainsi son retour au sein de l’hémicycle. L’homme était déjà député de 2007 à 2012. Il avait été élu dans la wilaya de Sétif d’où il est originaire.Si l’établissement des listes ne semble pas poser trop de problèmes au sein du RND, la guerre semble être plus dure à mener. Car, malgré les assurances de Ould Abbès quant aux critères du choix des candidats, le porte-drapeau de ce parti à Alger sera choisi ailleurs que dans les locaux du FLN. Lors des précédentes élections, c’était la présidence de la République qui avait opté pour Abdelaziz Ziari en 2007 et Mohamed Larbi Ould Khelifa en 2012.Et à chaque fois, c’est celui qui pilote la liste d’Alger qui devient presque de facto président de la chambre basse. Une source proche de la présidence de l’Assemblée assure que c’est l’actuel troisième homme de l’Etat qui sera reconduit. D’autres observateurs évoquent avec insistance la candidature du Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Mais, «jusqu’à aujourd’hui, il n’a toujours pas déposé de dossier», assure-t-on du coté du FLN.Dans l’incertitude, la direction du FLN a affirmé, via un court communiqué diffusé samedi soir, que la décision «concernant la candidature de personnalités nationales» n’est toujours pas prise. Le bureau politique du FLN rappelle même qu’il se donne jusqu’au 4 mars, date butoir de dépôt des candidatures, pour trancher la question. Du côté du mouvement populaire algérien (MPA), on ne verra pas non plus le président du parti, Amara Benyounès, dans la liste électorale de sa formation.Le choix de la tête de liste dans la capitale n’est toujours pas définitif, mais deux noms sortent du lot : il s’agit de Idir Benyounès et de Djamel Maâfa. Les deux sont journalistes de profession le premier est directeur de La Dépêche de Kabylie et le second de Dzaïr News et font figure, avec l’actuel président de l’APC d’Alger, Abdelhakim Bettache, de personnalités les plus en vue dans la capitale.Seule certitude Djamel Maâfa va bientôt quitter son poste de directeur de la chaîne de l’homme d’affaires Ali Haddad, pour se consacrer à la campagne électorale. Et le parti n’aura pas de difficultés à présenter sa liste puisqu’il dispose de suffisamment d’élus qui lui permettent de dépasser l’écueil des parrainages.Chez les islamistes, les alliances qui se sont tissées récemment ont chamboulé les rapports de force. Dans l’alliance qui lie le MSP au Front du changement (FC), il semble qu’aucun des deux dirigeants, à savoir Abderrezak Makri et Abdelmadjid Menasra, ne veut briguer un mandat de député. Les deux formations ont approché, jusque-là, deux personnalités pour conduire leur liste commune dans la capitale. L’ancien premier ministre, Ahmed Benbitour, et l’expert des TIC, Younès Guerar, ont décliné l’offre. A la recherche de l’oiseau rare, les deux partis islamistes semblent plonger dans une friction. Mais l’alliance qui reconstitue l’ancien hamas n’est pas forcément au bord de l’éclatement.
                              Des personnalités non partisanes chez les islamistes
                              Le plus radical des islamistes qui active légalement sur la scène politique, Abdallah Djaballah, ne sera pas non plus candidat de son parti, le FJD, aux législatives. Les dirigeants de ce parti, qui ont signé récemment une fusion avec Ennahda, semblent porter leur choix sur Youcef Khebaba, un ancien proche de Djaballah resté à Ennahda après la mise à l’écart du prédicateur. Mais comme leurs «frères» de l’ancien Hamas, ces responsables n’arrivent pas à trouver un consensus autour d’une figure capable de porter leur programme lors des législatives.Si la question ne se pose pas au RCD où Mohcine Belabbas, le président, semble bien parti pour piloter les listes de son parti, la question est moins évidente chez le Front des forces socialistes. L’ancien premier secrétaire national, Mohamed Nebbou, est cité avec insistance comme tête de liste de son parti lors des législatives à Alger ; mais le choix est contesté par d’autres cadres. Au siège du parti, les noms des quatre membres du présidium ne circulent pas comme possibles candidats à Alger. C’est également le cas du premier secrétaire national, Abdelmalek Bouchafa, qui mènera la liste du FFS à Constantine. A ce rythme, les élections législatives perdront de plus en plus de leur attrait !

                              Ali Boukhlef
                              El Watan

                              Commentaire


                              • #30
                                Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN) Djamel Ould Abbès a annoncé hier à Alger que huit ministres, membres du parti ont présenté leurs dossiers de candidature aux élections législatives du 4 mai .
                                M. Ould Abbès a précisé dans une conférence de presse à l’issue de l’installation de la commission nationale du parti du FLN chargée de l’étude des dossiers de candidature, que «huit ministres du gouvernement actuel qui sont également des responsables au sein du parti», ont déposé leurs dossiers de candidature aux prochaines élections législatives dans leurs wilayas», soulignant que le nombre «est appelé à augmenter dans les prochains jours». Il s’agit, a-t-il indiqué, du ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjemaa Talai, du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, de la ministre des Relations avec le Parlement, Ghania Eddalia, du ministre de l’Aménagement territorial, du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelouahab Nouri, du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdeslam Chelghoum, du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, du ministre des Ressources en eau et de l’Environnement Abdelkader Ouali et de la ministre déléguée auprès du ministre du Tourisme et de l’artisanat Aicha Tagabou. Concernant les rumeurs qui circulent sur la candidature du Premier ministre Abdelmalek Sellal en tête de liste du parti pour la wilaya d’Alger, M. Ould Abbès a précisé que «M. Sellal n’a pas présenté sa candidature jusque là, mais il est le bienvenu s’il se porte candidat sur la liste du FLN».
                                «La responsabilité du Premier ministre est liée à l’autorité suprême du pays représentée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika», a-t-il encore précisé. M. Ould Abbès a rappelé que le FLN a enregistré jusque là «6.228 candidats dans 48 wilayas». «Nous n’accepterons pas le blanchiment d’argent ou l’argent sale qui avait terni l’image du parti», a-t-il dit ajoutant que la commission des candidatures «sélectionnera les candidats dans la transparence et la démocratie». «Nous n’accepterons pas, au sein du FLN, la candidature de ceux qui ont porté atteinte au Président de la République Abdelaziz Bouteflika», a-t-il martelé. Après avoir affirmé que le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections M. Abdelouahab Derbal était «un homme sincère et rigoureux dans son travail», M. Ould Abbès a appelé les partis politiques qui comptent participer aux prochaines législatives «à charger leurs militants et leurs élus de surveiller l’opération électorale au niveau des bureaux de vote».
                                La commission de l’étude des dossiers de candidature du FLN qui compte 25 membres, achèvera son travail le 21 février, les listes définitives des candidats du parti devant être connues le 6 mars prochain.
                                (APS)
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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