Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La torture pour lutter contre le terrorisme ?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    @Brise.marine

    Oui je crois qu'on ne peux pas sortir d'une guerre sans avoir les mains sale, ou bien taché de sang innocent...
    j'ai fait la guerre et j'ai pas les mains tachés de sang des innocents mais pas du tout, j'ai fais ce que je devrais faire et je ne regrette absolument rien...

    @sous commandant

    les derives d une guerre,des policiers ou militaires qui veulent venger un collegue,
    lorsque tu sais que celui qui est entre tes mains a egorgé ton collegue qui a mangé avec toi dans la meme assiette, marché avec toi la nuit lorsque tous le monde se cachent , parlé avec toi sur ses soucis de ne pas rentrer chez lui depuis un an et demi sans voir sa femme et ses enfants par peur d'etre abatu et lorsqu'il a passé a l'acte tu entendras qu'il a ete non seulement egorgé mais il s ont jouis de son corps a ce moment la est ce que tu restera indeffirent de ce que tu tiens devant toi ?

    aprés l"arrivé de boutef, il a vite fait ordonne de stoper la torture en Algerie, on nous a obligés de voir une cassette video du DGSN, Ali tounsi qui declaRe ne pas prendre aucune responsabilité de n'importe quelle derive et chaque element abuse de certaine exploition(on appelés la torture comme ca) sera jugé, depuis ce temps la toute forme de torture a éte arrete par ordre du president d'etat..
    oui, il y'avait la torture en Algerie, et lorsque j'ai vu ca pour la premiére fois de ma vie, j'ai commencé a rier tellement je ne savais pas quoi faire...

    Commentaire


    • #17
      IL Y A DOUZE ANS, L’ATTENTAT DU BOULEVARD AMIROUCHE
      Quand Haddam revendiquait le crime
      30 janvier 2007 - Page : 6

      C’était, tout d’abord, la nuit du mois sacré de Ramadhan et, ensuite, une journée qui marquera à jamais la mémoire des Algériens.

      Qui pourrait oublier le lâche attentat terroriste, perpétré il y a douze ans, jour pour jour, contre le commissariat central du boulevard Amirouche? Un lundi pas comme les autres. C’était, tout d’abord, la nuit du mois sacré de Ramadhan et, ensuite, une journée qui marquera à jamais la mémoire des Algériens ayant combattu l’intégrisme terroriste à huis clos pendant plusieurs années.
      Il y a douze ans déjà, depuis ce lundi 30 janvier 1995. L’attentat des plus terribles et effroyables du boulevard Amirouche a fait 40 morts et 286 blessés. Une nouvelle liste d’innoncents sacrifiés dans la lutte contre les ennemis de la République.
      Ces derniers, le doigt à la gâchette, ont tenté, des années durant, de mettre l’Algérie à genoux. Mais, en dépit des énormes sacrifices, le pays est resté debout, grâce à tous ceux ayant résisté, dans le sang et le feu, contre l’islamisme aveugle
      . Il était 15h30, la rue était bondée de monde. Des automobilistes, des piétons, mais surtout, un bus «bourré» de voyageurs qui livra les premiers martyrs du lâche attentat de ce 30 janvier 1995 lorsqu’un qu’un jeune, à bord d’une voiture, fonça droit sur le commissariat central et se fit exploser. C’était l’horreur! Le sang partout, des corps carbonisés, l’odeur de chair brûlée, feu géant et fumée noire, véhicules embrasés. Quelques heures plus tard, et alors que le sang des victimes n’avait pas encore séché, Anouar Haddam, revendique l’attentat à partir des Etats-Unis d’Amérique. Douze ans après le lâche attentat, le sieur Haddam retrouve la nostalgie du pays, voulant profiter des avantages de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.
      Il feint d’oublier que cette «charte» exclut les commanditaires, les violeurs et tous ceux ayant les mains entachées du sang des Algériens, ainsi que les personnes à l’origine de la crise.
      La zone rouge de la «charte» ne peut être franchie au détriment de la mémoire et au détriment des martyrs d’Amirouche, de Djelfa, de Blida et de toute l’Algérie. Car, cette même «charte» a clairement prôné le devoir de mémoire que ces terroristes tentent d’enterrer. Ces derniers ont tenté aussi de caresser le rêve de retrouver les tribunes politiques. Une requête que ni les victimes et encore moins le peuple algérien ne sont en mesure de cautionner. Un nouvel hommage à rendre, une nouvelle larme à verser dans cette affligeante journée et une prière du souvenir. Il y a douze ans, les martyrs du boulevard Amirouche ont retrouvé leurs compagnons de la première heure.

      Commentaire


      • #18
        Tous les services de sécurité de la planète ne l'avouent pas, mais beaucoup pratiquent la torture, qui selon eux, est un moyen efficace pour lutter contre le terrorisme
        torturer est aussi un acte terroriste selon moi
        on ne peut pas vaincre le terrorisme avec un acte terroriste
        je suis contre la torture
        Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

        Commentaire


        • #19
          Envoyé par tarek ben ziad
          Mais nassim, tu devrais plutot mettre :
          J'ai choisi le cas où l'on est sûr que le suspect détient l'information clé, pour expliciter le sujet.

          Même dans ce cas, la convention de Genève interdit la torture. Comment trouver l'équilibre entre l'exigence de sauver des centaines de vies et celle de respecter la dignité humaine, même lorsqu'il s'agit d'un terroriste ?

          Peut-on ignorer totalement les méthodes d'interrogatoires poussées sachant qu'un individu poussé à bout (breaking point) peut fournir l'information capitale que l'on cherche pour sauver des vies ?

          Un terroriste engagé prêt à mourir pour sa cause dira probablement : "hey, la convention de Genève me protège, je veux mon avocat!"

          Commentaire


          • #20
            Nour islam

            Je me souviens trés bien de l'horreure qu'a vecu l'algérie, je ne peux pas oublier c'est gravé dans ma mémoire pour le restant de ma vie...
            Il reste que torturer est un moyen inhumain dont on ne peux être fière, mais je peux comprendre le désarois et la terreure que les brigades anti-terrorisme subissaient tout les jours, une guerre, une bien sale guerre fratricide qui n'aurai jamais due exsiter..
            Je peux comprendre que lorsqu'on découvre chaque jour des cadavres décapités, des femmes et enfants tuer cruellement la torture devient un jeu d'enfants....mais si tu te retires du passé et tu regardes la torture bien en face tu te rendras compte que tout de même c'est une pratique horrible à faire disparaitre
            "La vision de la justice est le plaisir de dieu seul"

            Commentaire


            • #21
              C'est un cas rare en fait et le justifier c'est aussi justifier le principe ... Etre sûr que quelqu'un détient un renseignement clé est déjà une hypothèse sur ce qu'il sait. La torture effectuée systématiquement (comme l'on fait par exemple les militaires français en Algérie : au minimum des coups, puis électricité ou baignoire) pour obtenir le maximum d'aveux n'a pas beaucoup d'efficacité militaire. Sous la torture la plupart des suppliciés disent ce que le bourreau veut entendre. Ils parlent certes, mais il est difficile d'évaluer la qualité du renseignement donné, s'il n'est pas inventé, soufflé par les bourreaux, approximatif, de Nème main, etc. Les militaires ont donc une liste "d'aveux" peu sûrs. Vont-ils engager des moyens pour les vérifier une à une ? Non ou +- au hasard, ça ne leur sert donc pratiquement à rien.

              Voici ce qu'en dit sur ce sujet un journaliste de "La Croix" http://www.aidh.org/faits_documents/.../express1.html:

              Il était très rare d'avoir entre les mains un dépositaire de bombes, ou un homme qui "savait". Sous la torture, en outre, les gens avouaient n'importe quoi pour échapper, ne serait-ce qu'un instant, à l'insupportable douleur. Mustapha X, dont je parlais, m'a dit après sa libération: "S'ils avaient voulu, je leur aurais dit que j'avais chez moi un sous-marin."
              Un grand nombre de ces tortures n'avaient d'ailleurs pas pour but la recherche du renseignement immédiat. On torturait par routine - ou par sadisme, sale maladie qui s'attrape vite - des suspects à peine suspects, avant tout interrogatoire. Où on les plaçait dans des postures humiliantes, les femmes surtout, des postures qui n'étaient absolument pas nécessaires pour obtenir de quelconques aveux, la souffrance physique y suffisant amplement.
              Peut être que ceci répond plus précisément à ta question :
              L'efficacité policière immédiate fut relative, je viens de le dire. Le résultat politique fut lamentable. […] Les médiocres victoires sur le terrain entraînèrent une grave défaite politique.
              Dans la majorité des cas la torture n'a pas de but de renseignement. On met en avant ce but "rationnel" qui la justifie mais c'est autre chose que la torture permet : la torture pratiquée partout sur Terre sur toutes sortes de civils, par la police, des milices, des escadrons de la mort, l'armée, n'a pas pour fonction d'obtenir des renseignements. Et quels seraient ses renseignements si importants ou si urgents qu'elle justifierait de torturer quelqu'un, manqueraient-il à ces types ? La torture est pratiquée dans des pays où la population est déjà quadrillée.

              Sous Staline, cette justification atteignit la caricature : la population était à genoux, le régime était sans aucun ennemi intérieur, et pourtant on torturait. Il n'y avait strictement aucun renseignement à la clé. De même au Cambodge sous Pol Pot

              La torture est donc quasiment toujours politique, plus exactement elle se situe à la limite de la politique et de la force. Elle sert à terroriser une population, une opposition, à montrer qui est le maître, à avilir, à transformer les humains en chose.

              Bref la torture servirait plutôt à faire taire qu'à faire parler. http://www.gisti.org/doc/plein-droit/18-19/torture.html :

              Faire parler pour faire taire

              La torture porte atteinte à l'intégrité de la personne, intégrité physique, psychosociale et relationnelle.

              Oser parler ou écrire sur la torture, c'est prendre le risque de trahir ceux qui l'ont subie. On ne peut jamais communiquer une expérience de l'horreur. Il n'est pas question ici de parler à la place de ceux qui sont passés par le creuset de la souffrance, mais, beaucoup plus modestement, de tenter de transmettre quelque chose en leur nom.

              La torture se pratique de façon habituelle dans plus de la moitié des pays du monde. Soit elle est tolérée par les gouvernements qui veulent ignorer ce que fait leur police ou leur armée ; soit elle est utilisée comme technique de répression organisée. Elle devient alors l'expression d'une pathologie aiguë du pouvoir.

              De plus, la torture, classiquement admise pour faire parler, vise essentiellement à faire taire. Dans une contagion progressive de silence, elle finit par faire taire tous les régulateurs sociaux, journalistes, médecins, juristes... .

              […]

              La torture c'est la honte sur le visage, qui vient définitivement souiller la mémoire. L'aveu symbolise le non-retour de la victime, acculée à vivre le fait de parler comme la seule issue possible. L'aveu renforce l'emprise du tortionnaire sur la victime.
              Dernière modification par Alain, 30 janvier 2007, 13h00.

              Commentaire


              • #22
                Je suis pas pour la torture physique (c'est pas humain), mais bon un petit sejour a Regane sous 50*C, ca va vraiment leur faire reflechir a ses ajite's, je ne suis pas contre.

                Commentaire


                • #23
                  @Brise marine

                  Je me souviens trés bien de l'horreure qu'a vecu l'algérie, je ne peux pas oublier c'est gravé dans ma mémoire pour le restant de ma vie...
                  Chaque Algerien ne peux oublié ce qu'il c'est passé en Algerie mais que diront ceux qui etaient au front..

                  l reste que torturer est un moyen inhumain dont on ne peux être fière
                  je suis fier de servir mon pays et je detestais ceux qui abusés par leur pouvoir d'etre policier ou militaire pour torturer des gens pour une cause inconnue.

                  mais je peux comprendre le désarois et la terreure que les brigades anti-terrorisme subissaient tout les jours, une guerre, une bien sale guerre fratricide qui n'aurai jamais due exsiter..
                  je te le jure c'est pire qu'une guerre

                  e peux comprendre que lorsqu'on découvre chaque jour des cadavres décapités, des femmes et enfants tuer cruellement la torture devient un jeu d'enfants
                  ils ont meme arrivés a mettre des gens morts dans des trous et en dessous des bombes mais tu vois seulement que sa tete et lorsque tu approches de lui en voulant le tiré de son trou, elle explose??? combien de sapeur pompiers ont vu leur bras ou leur doigts ou completement leur vie pour sortir ses gens la et j'en passe ma Chére.

                  mais si tu te retires du passé et tu regardes la torture bien en face tu te rendras compte que tout de même c'est une pratique horrible à faire disparaitre
                  je vais te raconter une histoire,

                  dans un simple barrage de police, ( pardonne moi mais je te dirais pas ou) les elements de la circulation ont arretés un camion avec une assurance experié, morte comme en dit chez nous, il a éte conduit vers le poste( pour ne pas indiquer ou je travaillais), apres une enquete il c'est avére que le camion a été volé depuis 1995, le dossier m'a éte chargé de suivre les traces, j'ai trouvé qu'ils(il etaient trois complices) rackattés les gens de 3 wilayas dans le centre de l'Algerie, ils ont gagnés des milliards et des milliards de centimes la ou ils ce presentés comme des terroristes mais en faite ce sont des patriotes...

                  Maintenant moi je m'appelle Brie marine et toi tu t'appelle Nour islam , dit moi qu'est ce que tu va faire aprés?

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X