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Emmanuel Macron: «Je veux apporter un regard neuf sur l’Algérie»

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  • #16
    Le candidat d'En marche !, actuel favori de la présidentielle selon les sondages, veut renforcer les liens dans l'éducation, avec au moins un second lycée français et plus d'échanges universitaires, citant la médecine et le journalisme.
    Trois domaines clés de la post colonisation de l'Algérie, culturelle et économique.

    Le développement de l'Algérie ne se fera , comme Abdelhamid MEHRI l'a soutenu qu'une fois que l'Algérie aura rompu tout lien avec l'ex métropole. Ceci dit sans aucune rancune ni haine envers Bariz.

    Volet médical, tout transfert de malades à l'étranger et le contrôle sévère des importations de médicaments ne sera que profitable aux Algériens et à l'avenir de leurs enfants.

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    • #17
      trés deçu!

      des jours sombres attendent les musulmans en France,le pen va gagner et va suivre les pas de trump dans le dénigrement de l'islam,je dis bien de l'islam car il faut pas se leurrer,pour trump terroriste n'est pas synonyme de jihadiste,mais belle et bien de musulmans.

      ce qui me désole le plus c'est quand je vois ses "soi-disant" musulmans et qui se disent progressistes car craignant pour leur confort matériel,qui essaient de s’aligner sur les thèses des non musulmans et se désolidarisent naïvement de leurs frères en religion,mal va leur en prendre car ils seront aussi dans parqués l'unique enclos que préparent les ennemis déclarés ou potentiels des musulmans.

      en regardant la carte des conflits du monde depuis 200 ans, ,je ne vois que les populations musulmanes qui sont des éternelles victimes,
      rien n'a changé,par le feu et le fer,elles sont tenues dans le dénuement et le sous développement,mais a cause surtout de l'ennemi intérieur au service de l’extérieur.
      Dernière modification par boussad, 14 février 2017, 17h58.

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      • #18
        Emmanuel Macron, candidat par défaut de l’Algérie


        Emmanuel Macron, candidat par défaut de l’Algérie

        tsa-algerie 17:38 mardi 14 février 2017

        Emmanuel Macron, ex-ministre français de l’Économie et candidat aux prochaines élections présidentielles en France, a achevé ce mardi sa visite de deux jours en Algérie. Il a été reçu par les autorités algériennes avec les honneurs et l’égard généralement réservé aux chefs d’États.Accueilli hier à l’aéroport par le ministre de l’Industrie Abdesselam Bouchouareb, Macron a d’abord été reçu par le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, qui a expliqué qu’« Emmanuel vient en ami ». Le leader du mouvement « En Marche ! » a par la suite été reçu par le Premier ministre Abdelmalek Sellal en personne au Palais du Gouvernement. Macron a également rencontré ce mardi le président du Forum des Chefs d’Entreprises (FCE), Ali Haddad.Emmanuel Macron n’a pas visité l’Algérie les mains vides. Il a en effet exposé sa vision de comment devrait s’articuler le partenariat entre l’Algérie et la France s’il venait à être élu président. Un partenariat qui s’articulerait autour de trois axes : l’éducation, la culture et bien entendu l’économie, aspect stratégique majeur pour la France dans ses rapports avec l’Algérie, notamment durant le quinquennat du président François Hollande.Le projet de Macron pour la relation franco-algérienne n’est pas particulièrement révolutionnaire. Bien qu’il mette le doigt sur deux aspects vitaux qui devraient être la priorité de l’Algérie, à savoir la formation et les énergies renouvelables, le projet d’Emmanuel Macron manque de mesures concrètes et se limite pour le moment à des déclarations d’intention. Surtout, rien n’indique à priori qu’il existe du côté des autorités algériennes une réelle volonté politique de mener à succès des projets communs avec la France. L’idée d’un illusoire partenariat « gagnant – gagnant » entre les deux pays n’est pas une invention du candidat Macron, et le pouvoir algérien n’a jamais semblé particulièrement dérangé par le déséquilibre flagrant au profit de la France des bénéfices tirés de la relation algéro-française. Pire : certains projets proposés par Emmanuel Macron, tel que l’ouverture de nouveaux établissements français en Algérie, risque de provoquer une levée de boucliers de la part de certaines franges de la population algérienne, qui y verraient là un exemple manifeste d’une politique néocolonialiste redynamisée. La rhétorique des islamistes à ce sujet est servie sur un plateau.Pourtant, Emmanuel Macron revêt une importance stratégique pour le pouvoir algérien. Dans une élection présidentielle française très incertaine, dérouler le tapis rouge aujourd’hui à l’ex-ministre de l’Économie permettra à n’en pas douter au pouvoir algérien de s’assurer de certaines garanties dans le cas où Macron venait à accéder demain au plus haut sommet de l’État français. C’est cette même logique d’entretenir d’excellents rapports avec François Hollande qui avait permis au pouvoir algérien de recevoir un retour d’ascenseur salutaire, et d’ajouter le mot « alacrité » à son vocabulaire, lorsque les doutes quant aux capacités du président Bouteflika avaient commencé à se faire entendre.Plus que l’importance stratégique qu’il revêt, Emmanuel Macron semble surtout être l’unique option du pouvoir algérien lors des prochaines présidentielles. Des trois favoris de la prochaine présidentielle (Le Pen, Macron et Fillon), c’est le seul qui semble disposer à se prêter au jeu de l’alliance avec l’Algérie. Plus qu’un choix, le soutien politique des dirigeants algériens à Macron a donc par défaut été imposé par les circonstances. Car quel que soit le futur président français, le pouvoir algérien actuel reste toujours tributaire du soutien de la France, qui représente plus que jamais la caution de légitimité d’un pouvoir à bout de souffle.



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        • #19
          Khore

          La popularité en hausse de Macron , surfaite ne traduit que la débandade de la gauche et les ennuis du représentant de la droite et du centre.

          L'ex ministre , en activité n'a pas suivi VALLS dans sa haine des musulmans , ce qui nous le rend plus sympathique sans nous assurer de sa victoire et du changement qu'il apporterait aux relations entre Bariz et Dzayer.
          Sa popularité n'est pas en hausse, seul les naifs et les amnésiques se laissent prendre à ce coup de communication alors qu'en novembre 2016 Macron disait : « Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie ». Venir en Algérie pour faire le buzz en disant que la France avait oublié de lire la déclaration de l'homme alors que lui a oublié ses déclarations qui sont pourtant récentes, c'est gonflé.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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