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« La mixité à l’école produit des exclus, des frustrés et des schizophrènes »

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  • #31
    Quelle médiocrité. aya ehechmou chuya ya 3bad ! bezzaf eww !!

    Envoyé par fortuna
    Je tierce !

    Oui, oui, le verbe existe.

    Du coup, c'est trop osé pour moi pour que je puisse quatrer
    Je compte sur vous pour deviner l'idée. un indice:
    Smail Boulbina, médecin, chercheur en sexologie
    ...
    Smaïl Boulbina, historien spécialisé dans l’histoire de la guerre d’Algérie.
    ...
    Smaïl Boulbina qui a voulu se présenter aux présidentielles
    Smaïl Boulbina qui s'est contenté d'une très espérée désignation sénatoriale
    ...
    Une reprise du film "RHB" ?

    Envoyé par okba
    Je ne sais pas ce qui anime le Dr Boulbina, données scientifiques ou religion, mais son discours va le sens des spécialistes occidentaux.
    Spécialistes qui citent:
    Un ami professeur de longue date m'expliquait que les ados (garçons) ne prenaient nullement une femme professeur au sérieux, majoritairement ils sont totalement désintéressés par ses dires et explications.
    "un copain à lui qui lui aurait raconté un jour...", sérieusement ? sans sourciller , en lieu et place d'un argument scientifiquement rigoureux et expérimentalement vérifiable ? Je n'arrive pas à l'avaler, je veux la source !

    excuse moi, mais tu es bien peu exigeant dans ton appréciation de "spécialiste". t'aurais chopé le virus qui fait qu'on donne du titre, du crédit et accessoirement un micro à tout bipède doué de talents linguistiques ?

    Boussâad:
    pourquoi tu juges ces propos de ramassis d’âneries,
    je n'ai pas envie de polémiquer,mais la mixité nous vient tout droit de l'occident dont les us et coutumes sont a des années lumières des nôtres.

    une des conséquences de cette mixité:dans les campus universitaires,ils ne manquent que des crèches soient construites a cotés.
    Vu que j'ai "quatré", j’estime que vous me pardonnerez d'y répondre même si ce ne m’était pas adressé directement:
    عن أبي هريرة رضي الله عنه أن رسول الله صلى الله عليه وسلم قال:" إنها ستأتي على الناس سنون خداعة يصدق فيها الكاذب ويكذب فيها الصادق ويؤتمن فيها الخائن ويخون فيها الأمين وينطق فيها الرويبضة قيل وما الرويبضة قال السفيه يتكلم في أمر العامة).
    médite Allah yehdik, en plus de ce charlatan, toi aussi tu t'es mis inconsciemment à faire l'echo des dires de soufahaâ en les présentant comme les tiennes:
    Envoyé par Boussâad
    une des conséquences de cette mixité:dans les campus universitaires,ils ne manquent que des crèches soient construites a cotés.
    Je dis bien qu'ils ne sont pas tes propres dires, car tu fais bien attention justement, de souligner juste avant cette bûche qui ne demande qu'à être allumée, que tu ne souhaitais pas polémiquer .
    Dernière modification par GLP, 13 mars 2017, 23h21.
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    • #32
      Intervenant hier à la Bibliothèque nationale à Alger, Dr Smaïl Boulbina, médecin et chercheur en sexologie, décrit l’école algérienne mixte comme un lieu de débauche, les filles comme des provocatrices et les garçons comme des truands.
      L’intitulé de sa conférence «La mixité sexuelle à l’école est la cause n°1 de la violence scolaire» en dit, d’ailleurs, long.
      Se noyant dans des considérations rétrogrades, il évoque également l’écart trop grand, à son avis, entre la puberté et l’âge légal du mariage (19 ans) en Algérie qui a créé une «bombe à retardement dans la société».
      Revenant à son sujet, Smaïl Boulbina rappelle le début de la mixité dans les écoles en Algérie qui remonte aux années 1970 d’abord dans les collèges puis généralisée dans les autres établissements scolaires. Catégorique, il affirme que la violence à l’école est le résultat direct de la mixité ou de cette «mixité sexuelle», selon sa propre définition. «Il n’y a aucun débat là-dessus, car cette conclusion découle de données scientifiques», soutient-il.
      Et de développer : «En 2009, le Cread (Centre de recherche en économie appliquée pour le développement) a réalisé une étude qui démontre que la mixité à l’école est à l’origine de la violence scolaire.»
      Toujours aussi approximatif, il cite les résultats du bac 2016 où 66,21 % des lauréats sont des filles. Pour lui, l’écart entre le taux de réussite des filles et celui des garçons s’accentue depuis six années.
      Quant au monde du travail, l’étude révèle que 70% des postes dans les secteurs de l’éducation, santé, justice et architecture sont occupés par des femmes. En 2025, assure-t-il encore, ces quatre secteurs seront «féminisés» à hauteur de 80%. «Il faut y remédier sinon nous risquons de frôler la catastrophe», dit-il avant d’expliquer que cette situation développe une rivalité chez l’homme.
      «La mixité entrave l’activité physique des filles dans les établissements scolaires et d’autres problèmes à l’école. Bref, la mixité est à l’origine de la violence et de l’échec scolaires», conclut-il.
      A la fin, il évoque le terme «traitement» au lieu de solution. Il plaide ainsi pour la non-mixité dans les écoles, une administration des établissements à 100% masculine ainsi que le retour graduel à l’uniforme.
      Présente parmi les invités, la présidente de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves, Khiar Djamila, l’a contredit sur toute la ligne. «La mixité n’a jamais été à l’origine de la frustration, au contraire, elle a créé de la complémentarité», précise-t-elle avant d’ajouter : «Nous n’avons pas de phénomène de violence scolaire, mais nous avons un problème de violence dans l’environnement scolaire.»
      Une situation qu’elle incombe, d’ailleurs, à l’absence de formateurs «dignes de ce nom».
      Et d’expliquer : «Durant les vingt années noires, le recrutement des enseignants a été fait d’une manière anarchique».
      Ry. N.
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #33
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        Malgré tout la femme s'appuie sur une science faite par l'homme !!!

        Les femmes n'ont pas de contributions scientifiques

        Les femmes toujours appellent l'aide de l'homme et des fois un homme sans études supérieur peut faire mieux qu'un physicienne

        Et l'intelligence ne se mesure pas par la note de l'examen, prenant le cas de Bill gate et une femme docteur en informatique ou en physique

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        • #34
          85 % des enseignants en Algérie sont des femmes !!! voilà pourquoi les garçons reculent dans leurs études

          l'algérien travaille depuis longtemps à faire aider les femmes a accéder au poste d'enseignant systématiquement

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          • #35
            Azul Platinum

            les filles comme des provocatrices et les garçons comme des truands.
            Tu as du rater ce passage dans l'analyse postée au dessus, ce qui réduit au néant ton affirmation selon laquelle 85 % des enseignants en Algérie seraient responsables de l'échec des garçons dans leurs études. Il est certain qu'il est plus facile de truander que de se creuser la cervelle et faire travailler ses neurones pour accéder aux responsabilités. Mais de là à affirmer que les femmes sont responsables du manque d'intérêt des hommes pour les études, je crois que c'est une insulte à notre intelligence.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

            Commentaire


            • #36
              je n'ai pas envie de polémiquer,mais la mixité nous vient tout droit de l'occident dont les us et coutumes sont a des années lumières des nôtres.
              C'est toujours la faute à quelqu'un d'autre, quand on n'a pas d'arguments .

              As-tu été dans une école coranique ?

              Pour ma part il y avait des filles avec nous et cela ne posait aucun probléme ni aux parents ni au taleb qui nous apprenait le coran .
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #37
                Des provocs ou des prostituées à payer ! et seuls les truands qui s'intéressent à elles

                Les garçons sont comme les filles ont besoins du "ROLE MODEL" une personne de meme sexe qui les influence

                Il faut dés maintenant inciter les nouveaux bacheliers à faire des études en science sociales et humains et les promettre de leur trouver du travail


                Nous ne voulons pas une femmes avec diplôme dans la main, mais une femme qui a les capacités , !

                Comment les femmes vont agir sans la présence de l'homme

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                • #38
                  Envoyé par Boussâad
                  une des conséquences de cette mixité:dans les campus universitaires,ils ne manquent que des crèches soient construites a cotés.
                  L'imberbe de l'ex-fis , avait déclaré en 1989 que l'universite produisait des ba...dts,, tu es le parfait suiveur de ce sinistre personnage .
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #39
                    to GLP, l'avis d'un spécialiste

                    "Il faut séparer les filles et garçons à la puberté. Les mélanger à cet âge-là est une absurdité."

                    Alice Dive

                    Philippe van Meerbeeck est neuropsychiatre, psychanalyste et professeur à la faculté de Médecine de l’Université catholique de Louvain (UCL).

                    En tant que spécialiste en psychiatrie juvénile, que pensez-vous de la mixité sexuelle obligatoire à l’école ?

                    Je pense que c’est une mauvaise chose, du moins au début de l’adolescence. Entre 12 et 15 ans, les filles et garçons n’ont pas intérêt à être en permanence ensemble. C’est un moment où il faut vraiment différencier le travail d’élaboration de transmission de formation. D’ailleurs, dans toutes les
                    cultures du monde, et on peut remonter à la Mésopotamie, quand les jeunes étaient pubères, on les enlevait à leurs familles et on les séparait. Ainsi, on donnait à chaque sexe une initiation spécifique parce que l’on savait qu’ils étaient totalement différents l’un de l’autre.

                    Justement, en quoi sont-ils si différents ?

                    Les jeunes filles acquièrent une maturité beaucoup plus tôt que leurs homologues masculins, c’est frappant. En réalité, il y a toujours un décalage d’au moins deux ans entre les filles et garçons. Les premières deviennent rapidement de petites femmes, rêvent exclusivement des grands de l’école et méprisent les garçons qui sont sur le même banc qu’elles. Quant aux seconds, encore gamins et boutonneux, ils grandissent de façon disharmonieuse et restent très émus par la féminité débutante de leurs camarades. Ils n’ont donc pas intérêt à être victimes de la moquerie des filles. Selon moi, on organise une espèce de misogynie, de guerre des sexes inutile entre les filles et garçons. C’est l’effet désastreux de cette mixité obligatoire.

                    Faut-il envisager un retour à la non-mixité d’antan, alors ?

                    Sûrement pas. Durant l’enfance et à partir de 15 ans et demi, je n’ai aucun souci avec la mixité. Pour moi, le problème réside entre 12 et 15 ans. Entrer dans un corps pubère est un avènement incroyable. Du jour au lendemain, le garçon ou la fille acquiert le pouvoir de donner la vie. Or, il s’agit d’une faculté d’adulte. C’est pourquoi, je pense qu’il est primordial de passer par une phase d’identification, d’intégration et d’harmonisation de soi-même.


                    L’école, une terre de neutralité sexuelle, donc ?

                    Non. L’école doit être période d’identification sexuelle, un temps initiant au cours duquel on "parle entre soi" avant d’être confronté à l’autre sexe. On se sexualise d’abord avec le même genre. Cela permet d’éviter un sentiment de mépris de l’un à l’égard de l’autre. Ils ont des territoires séparés, mais réciproques qui font que, progressivement, chacun peut commencer à rêver de vivre une histoire d’amour. Et cela, ça se passe vers 15 ans et demi, 16 ans.

                    Si vous pouviez changer les choses, que proposeriez-vous comme modèle de scolarité ?

                    L’idée serait de laisser la liberté aux parents et enfants d’opter pour une classe mixte ou non mixte et ce, durant les trois premières années d’humanités. Je pense que cela pourrait être bénéfique pour certains. Ils ne seraient pas habités par des idées parasites pendant le temps scolaire ou par des émotions ingérables. Ils pourraient se consacrer uniquement au travail, à la capacité de penser, de calculer et de connaître.

                    Un directeur a dit ceci : “Si on n’apprend pas aux jeunes à vivre ensemble, il y aura encore plus de femmes battues et d’incompréhension entre les sexes.” Votre réaction ?

                    C’est totalement le contraire ! Si l’on considère que la mixité est une façon prématurée d’induire une guerre des sexes, alors il y aura d’autant plus de femmes brutalisées par leur mari et inversement. Parce qu’on n’apprend pas aux adolescents à vivre ensemble, on les contraint à vivre ensemble ! Mais personne ne se préoccupe de leur expliquer comment y parvenir. On les parque dans des classes en commun, point à la ligne. Et dans le cas d’enfants pubères, c’est totalement absurde.

                    lalibre.be, publié le 30 janvier 2012
                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                    • #40
                      Tout pour former un bon citoyen

                      La société devient peu à peu mixte dans tous les lieux de socialisation et donc l’école aussi. Mais ce n’est sûrement pas un choix d’éducation comme le prônait l’Éducation Nouvelle au début du siècle.
                      Les adultes ont accepté l’idée de mixité pour les jeunes qu’ils éduquent et instruisent, mais ils ont rarement pris conscience de leur rôle pour faire vivre cette mixité dans le collectif.
                      Pourtant, comme le souligne Antoine Prost, historien et pédagogue, dans son livre Histoire de l’enseignement et de l’éducation : « De toutes les révolutions pédagogiques du siècle, la mixité est l’une des plus profondes. Elle oppose l’école de notre temps à celle de tous les siècles précédents. »

                      Extrait de ''Une histoire de la mixité'' dans cahiers-pedagogiques.com




                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                      • #41
                        Le sujet mixité sous entendu sexuelle peut séduire toujours autant surtout dans une société très conservatrice. C'est toujours la meme obsession sexuelle, comme pour "les kamikazes" qui revent des 72 vierges malgré la non mixité qu'ils souhaitent pratiquer en apparence.
                        Les charlatans religieux, à l'image de Madani et Belhadj, n'avaient pas réussi à convaincre. Il faut faire appel maintenant à d'autres charlatans auto proclamés "chercheurs non voilés" voir meme témoignages d'occidentaux.

                        L'école algérienne a produit très peu de volontaires pour "Raqqa", parait il.

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                        • #42
                          "les kamikazes" qui revent des 72 vierges
                          Donc le paradis se transformerait en b...el
                          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                          • #43
                            Ils peuvent m’accuser. Pour moi, il faut qu’il y ait des écoles de filles et des écoles de garçons séparées.
                            oui je pense aussi , quand j'étais à l'école primaire puis au Lycée dans les années 1958/1960/1970 , je peut vous dire qu'il n'y a jamais eu ce genre de problème car il y avait l'école des garçons et l'école des filles (Lycée des garçons et le Lycée des filles ) mais jamais de mixité surtout quand on sait que les enfants d'aujourd'hui (la majorité) ne sont pas bien éduqués comme avant dans le vieux temps.
                            Dernière modification par ACAPULCO, 14 mars 2017, 19h27.
                            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                            (Paul Eluard)

                            Commentaire


                            • #44
                              Mes enfant sont allés à l'école mixtes, pour eux séparer les filles des garçons est très rétrograde, je pense comme eux, ce serait rejeter la modernité!
                              Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

                              Commentaire


                              • #45
                                surtout quand on sait que les enfants d'aujourd'hui (la majorité) ne sont pas bien éduqués comme avant dans le vieux temps.
                                Et bien sur c'est la faute a la mixité?
                                L’éducation du vieux temps n’était pas du a la non mixité,mais au parents.

                                Commentaire

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