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Une base militaire secrète française en Algérie?

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  • #16
    C du pipo...il reuseraient des tunnels pour y atterir???
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

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    • #17
      J'y crois pas .
      Les français ont toutes les bases qu'ils veulent au tchad et au mali,ils n'ont pas besoin d'en avoir en Algérie pour intervenir au sahel.
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #18
        Peu etre que Holland est notre president et on ne le sait pas.
        Si FH est notre président, on va le démonter vite fait bien fait, l'Algérie mérite mieux que ça
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #19
          De plus, divulguer une secret d'Etat algérien conduit directement au peleton d'exécution (malheureusement)
          Ou a un poste de PDG.

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          • #20
            Azul Annabi

            Ou a un poste de PDG.
            Si c'est le but de l'auteur de cette soi disant révélation alors le poste de PDG est pour moi
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #21
              bonjour zwina,

              Tout est possible.
              Maintenant parler de base et surtout reprocher a l’Algérie d'avoir ouvert son ciel a des avions qu'aucuns algériens n'a vu passer pour aller combattre des gens a la place de l’armée l’algérienne suffit a faire que l'article ressemble plus a un torchon qu'autre chose.

              Que ceux qui passe leur temps a reprocher a l’Algérie d'avoir ouvert son ciel aux avions français devraient répondre a cette question:
              Si la France n’était pas intervenue au Mali,dans quel état se trouverai le sud algerien et surtout l'armée algerienne?

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              • #22
                Si la France n’était pas intervenue au Mali,dans quel état se trouverai le sud algerien et surtout l'armée algerienne?
                Super on a mama frança pour nous protèger!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #23
                  Inutile de polémiquer c'est l'ambassadeur de Tunisie à l'Unesco qui nous explique qui est Naoufel Brahimi :

                  Dois-je d’ailleurs rappeler à M. Brahimi El-Mili qu’au moment où il jouait l’hymne à la joie de la «révolution libyenne» chez Jean-Jacques Bourdin (BFM-TV) et qu’il stigmatisait le colonel Kadhafi, je dénonçais chez le même Bourdin l’offensive néocoloniale en terre arabe ? A ce moment-là, il était plus proche des envolées lyriques de Bernard Henri-Lévy – que j’ai appelé dans mon livre le nouveau Lawrence de Libye – que de mon analyse «complotiste».
                  Rien qu'en lisant le passage de cet interview où il accuse Abderhamane Farès d'avoir transmis des informations à la France, on comprend qui est visé et pourquoi le furoncle en fait la pub :

                  La proximité réelle de Abderrahmane Farès, président de l’Exécutif provisoire, avec Jeanneney, ambassadeur de France en Algérie, informé par le premier de tout, constituait-elle le prélude au «parti de la France» ou tout au moins de la connivence avérée entre certains responsables algériens et français et que vous expliquez tout au long de votre ouvrage ?
                  Le parti de la France, tout comme le «cabinet noir» qui défraie la chronique de la présidentielle française actuelle, n’existent pas. Ce dont il s’agissait, c’est la défense des intérêts français après l’indépendance de l’Algérie.
                  Dresser un portrait élogieux de Chevallier et désigner Farès comme collaborateur tout en affirmant que le cabinet noir français n'existe pas, il fallait oser. Comme disait Audiard : "les cons ça ose tout et c'est à ça qu'on les reconnait"
                  Dernière modification par zwina, 08 avril 2017, 22h43.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Azul BrahimBou

                    À moins que les cons ne soient celles et ceux qui croient dans le mythe de l'indépendance de l'Algérie.
                    Ce n'est pas un mythe par contre il est réel que les anciens caids et les nostalgiques de l'Algérie française n'ont jamais perdu l'espoir de reprendre les rênes de l'Algérie.

                    Il s'est donc rendu au consulat pour leur demander des contacts parmi les algériens de ladite ville. On ne lui a donné qu'un seul nom: celui du fils d'un harki.
                    Un algérien en France va rarement dans un consulat pour demander des contacts, il a généralement une famille ou des amis pour le guider dans sa nouvelle vie. Quelle est cette ville ?
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #25
                      @zwina: " Un algérien en France va rarement dans un consulat pour demander des contacts, il a généralement une famille ou des amis pour le guider dans sa nouvelle vie. Quelle est cette ville ?"

                      Cette histoire est impossible. Même lors d'une recheche d'un membre familial, les consultats ou ambassades algériens vous exigeront une demande écrite munie de divers renseignements sur votre personne.

                      Suite à cela, ils (consulats ou amabssades) expédient un courrier à la personne recherchée en lui laissant liberté de contacter son "recherchant".

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                      • #26
                        Comme disait Audiard : "les cons ça ose tout et c'est à ça qu'on les reconnait" Zwina

                        On le remarque tous les jours dans ce forum!

                        Si cette base est secrète, comment le savoir?
                        Les responsables algériens gèrent le pays comme ils le géraient pendant la révolution. Le père ne savait pas ce que faisait le fils et réciproquement. Personne ne sait, ou connaît les capacités de l'Algérie. Les algériens, vaccinés et avec rappel, ne peuvent se fier à ce panier de crabes (et surtout le panier d'aspics arabe). Donc, personne ne sait rien et tout le monde sait tout!!

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                        • #27
                          Super on a mama frança pour nous protèger
                          Voila le drame de ceux qui ne veulent pas essayer de comprendre une situation.
                          La France n'a pas protéger l’Algérie mais ses intérêts(uranium etc...).

                          Mais imaginons qu'elle ce soit abstenue d'intervenir au Mali,d’après toi qui aurait été obligé de combattre ces terroristes qui ne se seraient pas contenter de rester au Mali?

                          Tu es sur que les satellites français américains ne sont pas entrain de tourner au dessus de ta tete(si tu te trouve en Algérie)?

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                          • #28
                            BrahimBou

                            Le nom de la ville n'est pas important. C'est un individu qui s'est trouvé dans une autre région que la sienne et qui avait besoin de trouver des repères rapidement car il devait embaucher du personnel pour conduire un projet.
                            Et il s'adresse au consulat plutôt qu'à Pole emploi ou à la chambre de commerce ? Difficile de croire qu'un porteur de projet ne fasse pas des études et des recherches avant d'investir et de se déplacer.

                            Mais en y repensant aujourd'hui, cela ne m'étonne pas. Le sujet des harka est un sujet tabou même parmi les algériens. Les français ont reproduits le modèle colonial dans leurs quartiers et les enfants de harki sont naturellement les nouveaux caïds.
                            Ce n'est pas un tabou en France, nous savons très exactement qui est harki ou pas, c'est la France qui essaie de mélanger les cartes en ne reconnaissant pas les descendants d'harkis et en expulsant certains en Algérie feignant de ne pas savoir.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #29
                              Azul Tariqlr

                              Si cette base est secrète, comment le savoir?
                              Les responsables algériens gèrent le pays comme ils le géraient pendant la révolution. Le père ne savait pas ce que faisait le fils et réciproquement. Personne ne sait, ou connaît les capacités de l'Algérie. Les algériens, vaccinés et avec rappel, ne peuvent se fier à ce panier de crabes (et surtout le panier d'aspics arabe). Donc, personne ne sait rien et tout le monde sait tout!!
                              Tu oublies que c'est la frontière libyenne, Khadafi n'aurait pas raté une telle base à sa frontière, pas plus que les nombreux frontaliers puisque cette base avait suscité du remous lors de la guerre d'Algérie.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                              • #30
                                L’historique de cette base remonte à 1935, quant les militaires français ont choisis un plateau calcaire du Sahara algérien. « Bordé à l’est et au nord par les hautes falaises de Oued Namous» pour la création le centre d’expérimentation de Béni-Ounif. Appelé plus tard –B2-Namous. Dans cette base le colonialisme français en Algérie a produit, des armes chimiques, essentiellement à base de gaz moutarde et de phosgène. Selon le dossier secret que la France a fait ressortir et que le GPRA nie avoir pris connaissance, en 1962, lors des négociations d’Evian, les représentants de l’armée française avaient insisté pour garder encore pour cinq années, les quatre bases situées au Sahara avec : B2-Namous, (Reggane, En-Ekker, Colomb-Bechar et Hammaguir).Selon le côté français toujours cet arrangement a l’objet d’une annexe secrète aux accords d’Evian. Alors aussi M. Benyoucef Benkhedda, de son vivant avait démenti, toutes closes secrètes négociées.
                                Ceux de Colomb Bechar serait passé à côté d'une base militaire française ? Vous remarquerez que c'est côté français que l'on insiste sur l'existence de ces bases après 1962. C'est Debré qui a géré le dossier du Sahara, bizarrement il n'est jamais cité.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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