HuffPost Algérie
La roue a-t-elle tourné pour le premier ministre Abdelmadjid Tebboune? Tout porte à le croire. Le ton de l'instruction présidentielle dont le HuffPost Algérie détient une copie dénote d'un "courroux" certain du chef de l'Etat quant aux initiatives prises par le gouvernement Tebboune depuis son installation.
Dans ce texte où tout ce qui a été entrepris par le gouvernement Tebboune est remis en cause, le chef de l'Etat qualifie les "initiatives" de son premier ministre et de certaines membres de son gouvernement et des administrations sous leurs autorités de "provocation réelle" contre les opérateurs économiques nationaux.
Le gouvernement Tebboune aurait, selon le même texte, dépêché des équipes, composées des ministères du Commerce et des Finances, pour "des visites d’inspection inopinées" , "des gels de crédits octroyés" ou des enquêtes sur "des terrains octroyés à des opérateurs par les pouvoirs publics pour les verser dans les programmes LPP". Une démarche qui relève de la "provocation" et du "harcèlement économique" et qui donne une apparence d'une "campagne décidée contre les opérateurs" alors "qu"'il n'en est rien".
De ce fait, le chef de l'Etat somme Tebboune d'ordonner à ses subordonnés de "cesser immédiatement ce véritable harcèlement économique".
Rappelant que la rencontre du 30 juillet où Tebboune a réuni " sous les directives" de la présidence de la République, les "partenaires sociaux et économiques du gouvernement" était un "début de retour à un climat de sérénité", l'instruction de Bouteflika ordonne au premier ministre "de ne ménager aucun effort pour consolider cette tendance positive".
Dans ce sillage, Bouteflika rappelle au chef de l’exécutif que "toute violation de la loi ou de la réglementation" doit être traitée dans "le cadre des textes législatifs" et "sans publicité inutile".
Le président a, également, ordonné au ministre des finances de débloquer les produits au niveau des ports et dont la date d'importation était antérieure à celle de l'interdiction d'importation.
Il y a encore quelques jours certains observateurs de la scène politique nationale pariaient que Tebboune partira après les élections locales prévues en novembre. Avec une telle remise en cause, il n’est pas certain du tout qu’il organise ces élections.
La roue a-t-elle tourné pour le premier ministre Abdelmadjid Tebboune? Tout porte à le croire. Le ton de l'instruction présidentielle dont le HuffPost Algérie détient une copie dénote d'un "courroux" certain du chef de l'Etat quant aux initiatives prises par le gouvernement Tebboune depuis son installation.
Dans ce texte où tout ce qui a été entrepris par le gouvernement Tebboune est remis en cause, le chef de l'Etat qualifie les "initiatives" de son premier ministre et de certaines membres de son gouvernement et des administrations sous leurs autorités de "provocation réelle" contre les opérateurs économiques nationaux.
Le gouvernement Tebboune aurait, selon le même texte, dépêché des équipes, composées des ministères du Commerce et des Finances, pour "des visites d’inspection inopinées" , "des gels de crédits octroyés" ou des enquêtes sur "des terrains octroyés à des opérateurs par les pouvoirs publics pour les verser dans les programmes LPP". Une démarche qui relève de la "provocation" et du "harcèlement économique" et qui donne une apparence d'une "campagne décidée contre les opérateurs" alors "qu"'il n'en est rien".
De ce fait, le chef de l'Etat somme Tebboune d'ordonner à ses subordonnés de "cesser immédiatement ce véritable harcèlement économique".
Rappelant que la rencontre du 30 juillet où Tebboune a réuni " sous les directives" de la présidence de la République, les "partenaires sociaux et économiques du gouvernement" était un "début de retour à un climat de sérénité", l'instruction de Bouteflika ordonne au premier ministre "de ne ménager aucun effort pour consolider cette tendance positive".
Dans ce sillage, Bouteflika rappelle au chef de l’exécutif que "toute violation de la loi ou de la réglementation" doit être traitée dans "le cadre des textes législatifs" et "sans publicité inutile".
Le président a, également, ordonné au ministre des finances de débloquer les produits au niveau des ports et dont la date d'importation était antérieure à celle de l'interdiction d'importation.
Il y a encore quelques jours certains observateurs de la scène politique nationale pariaient que Tebboune partira après les élections locales prévues en novembre. Avec une telle remise en cause, il n’est pas certain du tout qu’il organise ces élections.
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