Responsables ayant déposé des fonds chez Khalifa Bank
400 de leurs enfants ont bénéficié d’un stage de pilote
Le chiffre a été révélé, hier, par la présidente du tribunal près la cour de Blida : 400 enfants de responsables d’entreprises et institutions publiques ont bénéficié d’un stage de pilote à Khalifa Airways, à l’étranger, notamment à l’université d’Oxford. Ces 400 bénéficiaires ont tous un point en commun : leurs pères ont déposé auprès de Khalifa Bank, des sommes d’argent des entreprises et institutions publiques qu’ils dirigeaient. La magistrate cite un exemple, celui des cinq caisses sociales. «Nous avons compris, à travers l’étude de dossiers et des auditions, que les caisses sociales sont au nombre de cinq et que 11 directeurs comptent parmi les dirigeants de ces caisses. Les fils de six parmi ces 11 directeurs ont bénéficié d’une formation de pilote à l’étranger», lance-t-elle. La présidente du tribunal avait prononcé ces propos au moment où elle auditionnait, en tant qu’accusé, Mahrez Aït Belkacem, directeur général de la Caisse nationale d’assurances sociales pour travailleurs non salariés (Casnos), dont le fils a bénéficié d’un stage de formation de pilote en Angleterre, en Espagne, puis en Jordanie. Il a répondu qu’il n’a pas aidé son fils à en bénéficier et qu’il s’est présenté de son plein gré aux tests organisé par Khalifa Airways pour la sélection. Le procureur général a lancé à l’adresse de cet accusé que son fils a bénéficié de ce stage après qu’il eut déposé les fonds de la Casnos chez Khalifa Bank. Il ajoute, en s’adressant toujours à cet accusé, qu’il a bénéficié de carte de gratuité Khalifa Airways, d’une validité d’une année, et d’une carte de thalassothérapie après le dépôt de cet argent dans la banque du milliardaire en fuite.
M. A.
400 de leurs enfants ont bénéficié d’un stage de pilote
Le chiffre a été révélé, hier, par la présidente du tribunal près la cour de Blida : 400 enfants de responsables d’entreprises et institutions publiques ont bénéficié d’un stage de pilote à Khalifa Airways, à l’étranger, notamment à l’université d’Oxford. Ces 400 bénéficiaires ont tous un point en commun : leurs pères ont déposé auprès de Khalifa Bank, des sommes d’argent des entreprises et institutions publiques qu’ils dirigeaient. La magistrate cite un exemple, celui des cinq caisses sociales. «Nous avons compris, à travers l’étude de dossiers et des auditions, que les caisses sociales sont au nombre de cinq et que 11 directeurs comptent parmi les dirigeants de ces caisses. Les fils de six parmi ces 11 directeurs ont bénéficié d’une formation de pilote à l’étranger», lance-t-elle. La présidente du tribunal avait prononcé ces propos au moment où elle auditionnait, en tant qu’accusé, Mahrez Aït Belkacem, directeur général de la Caisse nationale d’assurances sociales pour travailleurs non salariés (Casnos), dont le fils a bénéficié d’un stage de formation de pilote en Angleterre, en Espagne, puis en Jordanie. Il a répondu qu’il n’a pas aidé son fils à en bénéficier et qu’il s’est présenté de son plein gré aux tests organisé par Khalifa Airways pour la sélection. Le procureur général a lancé à l’adresse de cet accusé que son fils a bénéficié de ce stage après qu’il eut déposé les fonds de la Casnos chez Khalifa Bank. Il ajoute, en s’adressant toujours à cet accusé, qu’il a bénéficié de carte de gratuité Khalifa Airways, d’une validité d’une année, et d’une carte de thalassothérapie après le dépôt de cet argent dans la banque du milliardaire en fuite.
M. A.
Commentaire