Par Karim B. – Les islamistes algériens du MSP, téléguidés à partir d’Ankara par l’AKP du dictateur Erdogan, cachent de moins en moins leur allégeance à une puissance étrangère hostile aux intérêts de l’Algérie. C’est à partir de la ville frontalière de Maghnia, à l’extrême-ouest du pays, qu’Abdelmadjid Menasra a applaudi le lancement par le Makhzen de son satellite dont la mission essentielle est d’espionner l’Algérie pour le compte du Maroc, mais aussi de la France et d’Israël dont les services secrets activent déjà à nos frontières ouest.
Le président du MSP, qui emboîte le pas à son prédécesseur Abderrezak Mokri, a appelé à l’ouverture de la frontière terrestre fermée depuis 1994 suite aux graves accusations proférées par Hassan II contre notre pays et, surtout, la complicité avérée du régime monarchique avec les groupes islamistes armés qui commettaient des massacres grâce à l’appui d’officines étrangères, dont celles du Makhzen complice du GIA.
En tenant de tels propos, Abdelmadjid Menasra et son parti islamiste veulent annihiler les efforts titanesques consentis par notre armée aux frontières pour contrer la narco-guerre imposée par le régime de Rabat. Cet islamiste, qui a occupé le poste de ministre un certain temps, dévoile ainsi toute la perfidie de la filiale algérienne de la secte des Frères musulmans, en plaçant les intérêts de l’internationale islamiste au-dessus de ceux de l’Algérie.
Algerie.patriotique a de tout temps dénoncé les accointances avérées de cette mouvance avec des puissances étrangères, au premier rang desquelles la Turquie, dont le président, nostalgique de l’empire ottoman, entretient des visées expansionnistes – qui ont commencé par la destruction de la Syrie – et œuvre à étendre son influence tentaculaire jusqu’en Algérie à travers ses relais islamistes du MSP.
Le discours de Menasra à Maghnia confirme la menace que représente cette mouvance dont les porte-voix – le député Hassan Aribi, entre autres – se comptent sur les doigts d’une main, mais dont l’agitation médiatique et l’activisme politique donnent l’impression d’une présence importante et d’une influence considérable dans la société.
Jusqu’à quand va-t-on laisser cette cinquième colonne agir impunément ?
K. B.
Le président du MSP, qui emboîte le pas à son prédécesseur Abderrezak Mokri, a appelé à l’ouverture de la frontière terrestre fermée depuis 1994 suite aux graves accusations proférées par Hassan II contre notre pays et, surtout, la complicité avérée du régime monarchique avec les groupes islamistes armés qui commettaient des massacres grâce à l’appui d’officines étrangères, dont celles du Makhzen complice du GIA.
En tenant de tels propos, Abdelmadjid Menasra et son parti islamiste veulent annihiler les efforts titanesques consentis par notre armée aux frontières pour contrer la narco-guerre imposée par le régime de Rabat. Cet islamiste, qui a occupé le poste de ministre un certain temps, dévoile ainsi toute la perfidie de la filiale algérienne de la secte des Frères musulmans, en plaçant les intérêts de l’internationale islamiste au-dessus de ceux de l’Algérie.
Algerie.patriotique a de tout temps dénoncé les accointances avérées de cette mouvance avec des puissances étrangères, au premier rang desquelles la Turquie, dont le président, nostalgique de l’empire ottoman, entretient des visées expansionnistes – qui ont commencé par la destruction de la Syrie – et œuvre à étendre son influence tentaculaire jusqu’en Algérie à travers ses relais islamistes du MSP.
Le discours de Menasra à Maghnia confirme la menace que représente cette mouvance dont les porte-voix – le député Hassan Aribi, entre autres – se comptent sur les doigts d’une main, mais dont l’agitation médiatique et l’activisme politique donnent l’impression d’une présence importante et d’une influence considérable dans la société.
Jusqu’à quand va-t-on laisser cette cinquième colonne agir impunément ?
K. B.
Commentaire