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Boudjedra au CPP (El cadi Ihsane): Echange sous haute tension

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  • #46
    Je vous ai à l’œil, tapez sur la société algérienne, ses constantes, son Histoire .. et vous me trouverez sur votre chemin. Essayer de plaire au gawri sur le dos de l'Algérie, no way !
    signé : Boudjedra, la conscience algérienne.
    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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    • #47
      elle est authentique cette citation ?

      Le cas échéant, cela prouve encore davantage combien il est creux.

      Quand on me parle constantes algériennes, je pense à Boumédiène, je pense à Chadli et à tous ses dictateurs. Je ne sais pourquoi cela me fait penser aussi à Staline et à Hitler.
      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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      • #48
        Bof !

        Boudjedra a toujours été comme ça : c'est à prendre ou à laisser. On ne se refait pas à 75 berges !

        Je peux comprendre que quelques lecteurs puissent être gênés par la personnalité de l'auteur qu'ils admirent, mais je persiste à soutenir la nécessité de séparer l'auteur de son oeuvre. Vouloir faire plein de procès (idéologiques, moraux ou autres) à un auteur, juste parce que certains de ses actes et paroles ne correspondraient pas forcément à l'idée qu'on s'en était faite à partir de notre lecture de son oeuvre, me semble complètement absurde...
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #49
          Bachi
          Le cas échéant, cela prouve encore davantage combien il est creux.

          Quand on me parle constantes algériennes, je pense à Boumédiène, je pense à Chadli et à tous ses dictateurs. Je ne sais pourquoi cela me fait penser aussi à Staline et à Hitler.
          sans oublier, les chambre à gaz, et les bombes Hiroshima et Nagasaki !

          tout çà, parce que Boujedra a osé critiqué à son ami DAOUD !

          Tu as entièrement raison Bachi : personne n'a pas le droit de critiquer DAOUD et SANSAL oeilfermé !
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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          • #50
            Allô fortuna,

            c'est l'auteur Boujedra qui fait les procès.
            Sabrina lectrice de Boujedra, peut-être l'enseigne-t-elle aussi, est déçue de cet auteur et elle le lui dit.

            mais je persiste à soutenir la nécessité de séparer l'auteur de son oeuvre.
            ce n'est pas du tout aussi facile que ca.
            J'aimais beaucoup lire Céline avant de savoir son antisémitisme crasse, je ne parvenais plus à le lire de la même façon.
            Dernière modification par Bachi, 30 novembre 2017, 16h48.
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #51
              Pomaria
              tout çà, parce que Boujedra a osé critiqué à son ami DAOUD !
              Plus tu pédales moins fort, moins tu avances plus vite.
              La question est: à quelle heure arriveras-tu au plus bas?
              Dernière modification par Bachi, 30 novembre 2017, 16h47.
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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              • #52
                Bachi
                La question est: à quelle heure arriveras-tu au plus bas?
                chui au plus bas niveau des océans et je creuse encore et encore ! et ce comme tous les algériens. Alors, t'es content maintenant ?!

                une autre question Bachi ?
                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                • #53
                  Hello Bachi

                  c'est l'auteur Boujedra qui fait les procès.
                  Je parlais, bien sûr, du Boudjedra romancier et non du pamphlétiste. Pour moi, le pamphlétiste traduit plus ou moins les points de vue de la personnalité de l'auteur.

                  Or, cette distinction ne semble pas transparaître chez la lectrice critique.

                  L'exemple de Céline est effectivement assez illustraif de cette dichotomie. L'oeuvre artistique peut être éternelle, tandis que les visions politico-idéologiques de l'auteur peuvent changer pour x raisons.
                  Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                  • #54
                    Pomaria

                    Je t'avais averti pour Bachi !
                    Tu touches à KD.. i'get3ek

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                    • #55
                      Fortuna

                      Pour moi, le pamphlétiste traduit plus ou moins les points de vue de la personnalité de l'auteur.

                      Boujedra qui écrit et Boujedra qui insulte durant les interviews sont deux ?

                      Difficile à admettre mais ca reste possible.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                      • #56
                        Vu la taille du soleil artificiel sous lequel il fait des UV gratos ,daoud bénéficie de protecteurs très puissants
                        Boudjerdra a eu lui l'immense privilégie de voir Saïd bouteflika himself descendre de son trône pour lui serrer la main dans une micro manifestation façon "univers parallèles"

                        Me viens une question ,y aurait il de l'eau dans le gaz entre les laïcs nationalistes et les laïcs atlantistes ??

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                        • #57
                          Perfectionniste Boudjedra

                          Le taquin gardien du fort,

                          il mène la vie dure à un auteur qui se faisait passer pour une femme (pas mal tordu), un autre qui en veut à toute la société car né dans un b-ordel, au jeunot ancien membre des GIA harrag en attente de régularisation de papier, au missionné de M6 dans les milieux académiques français, à la bâtonnière féministe qui s'est trompé de société ...


                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                          • #58
                            un auteur qui se faisait passer pour une femme (pas mal tordu),
                            tu dois parler de Yasmina Khadra.
                            Quand on prend comme pseudo le prénom de sa femme. on ne cherche pas à passer pour une femme.

                            être un Algérien, avec tout le côté machiste que cela comporte, cela demande beaucoup d'audace pour prendre comme pseudo, un prénom féminin.
                            C'est tout à l'honneur de Khadra.
                            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                            Commentaire


                            • #59
                              Envoyé par fortuna
                              Je parlais, bien sûr, du Boudjedra romancier et non du pamphlétiste. Pour moi, le pamphlétiste traduit plus ou moins les points de vue de la personnalité de l'auteur.

                              Or, cette distinction ne semble pas transparaître chez la lectrice critique.
                              L'auteure de la lettre énonce clairement cette distinction en faisant un détour par "Contre Sainte-Beuve" de Marcel Proust:
                              Envoyé par Sabrina Zouagui
                              Vous savez, votre situation me prouve, on ne peut mieux, la pertinence de la théorie de Marcel Proust développée dans son célèbre Contre Sainte-Beuve (1954) sur la distinction entre le Moi Social de l’écrivain et son Moi Profond !

                              Cette citation s’applique admirablement à votre cas : «L’homme qui fait des vers et qui cause dans un salon n’est pas la même personne». Comme il a raison finalement ce grand Proust !! Votre Moi Social si détestable et dont le discours patauge dans la fange n’a rien à voir avec votre Moi Profond créateur et virtuose du Verbe !
                              [...]
                              L’expérience a prouvé que votre Moi Social ne fait que des dégâts. Qu’il se taise !

                              Seul votre Moi Profond vous sauvera cher écrivain ! Qu’il s’exprime donc !

                              Malgré toutes les horreurs que vous avez lues, sachez que c’est avec une grande sincérité et un profond respect que je vous les ai écrites.

                              Et vous êtes libre de me croire ou pas…

                              Mon respect à l’Écrivain que vous êtes.
                              "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                              • #60
                                Hello benam

                                L'auteure de la lettre énonce clairement cette distinction
                                Elle l'énonce peut-être, mais elle ne semble pas l'adopter. En tout cas, la confusion est permise entre le procès fait à l'homme Boudjedra pour ses positions (lesquelles n'ont pas l'air d'emporter l'adhésion de notre lectrice) et l'admiration vouée au romancier tout au début de la lettre :
                                Oui je m’arroge ce droit de vous le dire car je suis votre lectrice assidue, et je fais partie de ce public auquel vous vous adressez et à qui vous devez rendre des comptes de vos dérapages.
                                Pour ma part, j'ai toujours estimé que le lecteur, en tant que lecteur, n'a pour seul droit que de critiquer l'oeuvre. S'il veut critiquer l'auteur, à tort ou à raison, il doit justement se départir de son statut de lecteur et non pas s'en revendiquer. C'est là où se situe l'amalgame, de mon point de vue.
                                Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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