Le Dr. Bekat Mohamed Berkani, Président du Conseil National de la Doyenneté des Médecins, a révélé l’existence de près de 3 mille médecins Algériens travaillant dans des hôpitaux Français dans des conditions difficiles. Il a reproché cela au ministère de la Santé qui est selon lui « obligé de traiter les dossiers de ces médecins dans le cadre des accords entre les deux pays ».
M. Bekat a indiqué, lors d’une conférence de presse animée avant-hier à Msila, à l’occasion du lancement des travaux de la journée nationale de la déontologie de la médecine, que l’Etat doit s’occuper de cette question qui reflète l’humiliation à la quelle font face les médecins Algériens en dehors du pays, au moment où la voie a été ouverte à des médecins étrangers qui travaillent dans des cliniques privées, agrées par la tutelle sans passer par des cadres légaux qui régissent la gestion des dossiers des étrangers.
Il a attribué l’anarchie à la « complicité au niveau des ministères et des directions de la santé et autre », ajoutant que « le conseil de la déontologie de la médecine considère l’activité de ces étrangers dans le pays comme non-conforme aux lois, car d’une part l’ensemble de ces médecins ne sont pas inscrits sur les listes des assemblées régionales et d’une autre part ils ne sont même pas inscrits sur les listes de l’inspection du travail et des bureaux de réglementation de gestion des dossiers des étrangers.
Dans un cadre connexe, le Docteur a affirmé que la tutelle aurait due penser à traiter les dossiers de plus de mille autres médecins chômeurs et ceux qui travaillent en France au milieu de rudes conditions, c’est pour cela que des accords doivent être signés pour préserver leurs droits et penser à la manière d’augmenter les domaines de formation des médecins eu lieu de ramener des médecins étrangers qui ne remplissent pas les conditions de résidence légale.
- AlKhabar
M. Bekat a indiqué, lors d’une conférence de presse animée avant-hier à Msila, à l’occasion du lancement des travaux de la journée nationale de la déontologie de la médecine, que l’Etat doit s’occuper de cette question qui reflète l’humiliation à la quelle font face les médecins Algériens en dehors du pays, au moment où la voie a été ouverte à des médecins étrangers qui travaillent dans des cliniques privées, agrées par la tutelle sans passer par des cadres légaux qui régissent la gestion des dossiers des étrangers.
Il a attribué l’anarchie à la « complicité au niveau des ministères et des directions de la santé et autre », ajoutant que « le conseil de la déontologie de la médecine considère l’activité de ces étrangers dans le pays comme non-conforme aux lois, car d’une part l’ensemble de ces médecins ne sont pas inscrits sur les listes des assemblées régionales et d’une autre part ils ne sont même pas inscrits sur les listes de l’inspection du travail et des bureaux de réglementation de gestion des dossiers des étrangers.
Dans un cadre connexe, le Docteur a affirmé que la tutelle aurait due penser à traiter les dossiers de plus de mille autres médecins chômeurs et ceux qui travaillent en France au milieu de rudes conditions, c’est pour cela que des accords doivent être signés pour préserver leurs droits et penser à la manière d’augmenter les domaines de formation des médecins eu lieu de ramener des médecins étrangers qui ne remplissent pas les conditions de résidence légale.
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