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Les généraux algeriens séjournaient en cachette dans un hôtel d'une connaissance en Suisse
@Iska: " Relis tes précédents post et dis moi ou se trouve le sigle : FLN , moi je lis : FNL et égomis aussi ."
Je peine à accéder à votre calembredaine!
- L’article paru dans le journal El Watan "Du Trésor du FLN aux "casinos" de Sonatrach", bien documenté, nous permet d'apprendre les aboutissants d'une ancienne affaire qui a défrayé les chroniques de l’époque-.
@Iska et Egomis: C'est suite à une querelle entre la fille de Mohamed Khider (marié à un diplomate tunisien) et une femme qui avait hébergé à Lausanne des militants algériens (notamment Aït-Ahmed) que j'apprendrai la vérité du détournement d'argent plausible par Mohamed Khider.
Par ailleurs, ce fait apparaît lors du procès au Tribunal fédéral suisse relatif
à l'affaire du "Trésor du FLN".
En revanche, il est vrai que la plus haute Cour helvétique n'a jamais nommé un quelconque nom.
-Sa bonne fortune n’est d’ailleurs pas due au passage de Khelifa Laroussi au MALG. “Ce sont des racontars. Mon père était communiste, il n’avait pas d’argent. Il n’avait ni le trésor du FLN ni rien”. Pour mieux étayer son propos, RAK dira que sa défunte mère lui a conseillé de quitter le pays quand Abdelaziz Bouteflika est arrivé au pouvoir. Oubliant de fait que le chef de l’État était quand même l’enfant chéri de l’Algérie dans les années 70 et qu’il était au cœur du pouvoir de l’époque.
Son “opposition” n’est pas due à une soi-disant appartenance à un quelconque clan opposé du pouvoir algérien, ni un éventuel courant de l’armée. “Je représente le peuple algérien, les gens qui ont cru en moi… Je travaille économiquement”. Il dira connaître tout le monde. “Tous, de Bouteflika aux ministres et les généraux.. Khalifa était une société publique qui travaille pour tout le pays”. Première nouvelle, une société privée est en fin de compte une société “nationale et publique”-.
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