PAR ALGÉRIE MONDE INFOS15 JUILLET 2018
L’affaire « Kamel El Bouchi » et les sept quintaux de cocaïne saisis au port d’Oran suscite un débat passionné dans la société et alimente la polémique sur le rôle des pouvoirs publics dans la lutte contre la corruption. Plusieurs partis politiques tentent des lectures. Si leurs points du vues convergent sur la gravité de l’affaire et ses répercussions sur la sécurité nationale, les divergences sur la volonté des pouvoirs publics de lutter contre le fléau sont réelles.
Dans un communiqué sanctionnant les travaux de la réunion de son bureau national rendu public hier, le parti d’Ali Benflis affirme que cette affaire « a mis à nu un système qui se dit pourtant engagé dans la lutte contre la corruption ». Selon lui, cette affaire confirme pour la énième fois que « la corruption gangrène les institutions de l’Etat. » Pour le parti Talay El Hourayet « la corruption, le trafic d’influence et l’argent sale constituent une menace pour la sécurité nationale et la stabilité du pays. »
Pour sa part, le Front de libération nationale (FLN) juge, par la voix de Djamel Ould Abbès que « personne n’a le droit de s’exprimer sur le sujet du moment que l’affaire suit son cours en justice.» Le secrétaire général du FLN a même assuré récemment, lors d’une conférence de presse, que « cette affaire révèle la volonté de l’Etat algérien de lutter contre la criminalité et la corruption. »
De son côté, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, juge nécessaire de « dire la vérité » au peuple algérien concernant l’affaire « El Bouchi. » Pour lui, « il est inadmissible de noyer l’affaire de la cocaïne et de détourner le procès vers une affaire d’immobilier », ajoutant que l’affaire « El bouchi reflète l’image d’un pays qui agonise sous l poids de la corruption. »
A.B.
L’affaire « Kamel El Bouchi » et les sept quintaux de cocaïne saisis au port d’Oran suscite un débat passionné dans la société et alimente la polémique sur le rôle des pouvoirs publics dans la lutte contre la corruption. Plusieurs partis politiques tentent des lectures. Si leurs points du vues convergent sur la gravité de l’affaire et ses répercussions sur la sécurité nationale, les divergences sur la volonté des pouvoirs publics de lutter contre le fléau sont réelles.
Dans un communiqué sanctionnant les travaux de la réunion de son bureau national rendu public hier, le parti d’Ali Benflis affirme que cette affaire « a mis à nu un système qui se dit pourtant engagé dans la lutte contre la corruption ». Selon lui, cette affaire confirme pour la énième fois que « la corruption gangrène les institutions de l’Etat. » Pour le parti Talay El Hourayet « la corruption, le trafic d’influence et l’argent sale constituent une menace pour la sécurité nationale et la stabilité du pays. »
Pour sa part, le Front de libération nationale (FLN) juge, par la voix de Djamel Ould Abbès que « personne n’a le droit de s’exprimer sur le sujet du moment que l’affaire suit son cours en justice.» Le secrétaire général du FLN a même assuré récemment, lors d’une conférence de presse, que « cette affaire révèle la volonté de l’Etat algérien de lutter contre la criminalité et la corruption. »
De son côté, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, juge nécessaire de « dire la vérité » au peuple algérien concernant l’affaire « El Bouchi. » Pour lui, « il est inadmissible de noyer l’affaire de la cocaïne et de détourner le procès vers une affaire d’immobilier », ajoutant que l’affaire « El bouchi reflète l’image d’un pays qui agonise sous l poids de la corruption. »
A.B.
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