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Un quantitative easing pour quel qualitative easing?

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  • #16
    Favoriser d abord la production nationale , réduire l importation et encourager la production nationale avec la loi 51/49 avec transfert de technologie et du savoir faire

    L Etat , en a assez d être un Bazars pour la France et l Europe ..
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #17
      Favoriser une production nationale sans lui donner la possibilité de son envol, et de la condamner à une mort certaine... Ça permet entre temps à certains de se remplir les poches et endormir par quelques slogans en vogue sur la réalité des choix en cours... Pour atteindre la Corée, pays qui inspire beaucoup de nos énarques et de leur mentors, il faut être capable de produire pour l'exportation, épaule par un allié américain qui a ouvert financement et marché... Es tu pret a des alliances stratégiques? J'en doute...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        Ott,

        n'y a t'il pas un problème de mentalité en nous même ?
        Peut-être suis je mal placé pour émettre un avis car né et grandis en France, mais parfois j'ai l'impression que nous sommes de grands théoriciens mais que nous ne sommes pas des faiseurs et des finisseurs.
        Je trouve que l'on a un blocage avec le pilotage de projets et les livrables.
        J'aime surfer sur la vague du chaos.

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        • #19
          HMIDA

          Manque les comptants pour gérer pour une économie adéquate et adaptée pour le pays

          Y a trop de charognards qu ils veulent vite s enrichir au détriment d état et les banques ..
          *Anarchie sauvage , une désorganisation organisée
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #20
            Houari,

            il se peut qu'on ai eu un peu le même phénomène que l'époque de l'émergence des oligarques voraces qui sont apparu dans tous les pays ex socialistes.
            J'aime surfer sur la vague du chaos.

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            • #21
              Hello Hmida,

              En effet, ton constat est bien vrai. Le penchant d'une certaine élite pour les débats intellectuels, idéologiques, theoriques selon les vues, peut etre du au fait que la génération d'indépendance a été marquée par le système colonial, et qu'elle a voulu penser un système autre. L'écrasante majorité des leaders etaient de gauche, avec cet idéal d'un nouveau monde plus juste. Penser cet idéal, veut dire dynamiter les conservatismes, et asseoir de nouvelles réalités et une nouvelle ambition collective.

              Ces débats existent encore aujourd'hui dans d'autres contrés, mais a des degrés moindre dans des pays qui a vu une quasi disparition des discours révolutionnaires, et une monté des idéologies libérales et néo libérales, dans un débat politique apaisé par les 30 glorieuses, et les dividendes qui a bénéficié a beaucoup de monde... C'est en période de crise, que les débats de systèmes se posent, ce que les américains appellent, les crises systémiques ou les changements de paradigmes... En Algérie, on est en crise systémique depuis l'indépendance

              En management, on parle de conduite du changement et de plans stratégiques... Dans la conduite d'une nation, il y a des instruments bien plus complexes...
              Dernière modification par ott, 28 août 2018, 16h16.
              Othmane BENZAGHOU

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              • #22
                Melonchon proposait la nationalisation des banques face à la faillite du système financier mondial, voir faire racheter directement la dette des états par la banque centrale, ce que l'Algérie fait... Ce n'etait peut être pas la solution la plus viable. A défaut, il a fallu injecter des liquidités et racheter des actifs. Le bilan des banques centrales ne s'en sort pas si mal, et la régulation a par contre contracté certains risques...
                Dernière modification par ott, 31 août 2018, 20h46.
                Othmane BENZAGHOU

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