Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Exclusif. Création d’une société de trading en partenariat avec un géant mondial : le méga-projet secret de Sonatrach

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Exclusif. Création d’une société de trading en partenariat avec un géant mondial : le méga-projet secret de Sonatrach

    Exclusif. Création d’une société de trading en partenariat avec un géant mondial : le méga-projet secret de Sonatrach


    Algerie Part - Par Abdou Semmar - 18/09/20185207 0


    C’est une véritable révolution qui est en train de s’opérer secrètement dans les coulisses de la direction générale du groupe Sonatrach. La société nationale des hydrocarbures travaille en ce moment sur un important méga-projet qui permettra d’augmenter, dans un premier temps, les revenus en devises de l’Algérie d’au moins 10 %, a-t-on appris suite à ses investigations.

    Ce méga-projet consiste en la création d’une société de trading en partenariat avec un géant mondial. Il s’agit d’une joint-venture, à savoir une coentreprise, que la direction générale Sonatrach est en train de négocier la création avec plusieurs groupes pétroliers mondiaux dont le but est de commercialiser une partie des hydrocarbures produits par notre pays dans de nouveaux marchés internationaux. En clair, il s’agira d’une nouvelle société détenue en moitié par Sonatrach, et l’autre moitié par un groupe international, qui développera de nouvelles activités de commerciales.

    Le but de cette future nouvelle filiale est de vendre du pétrole et gaz algérien à travers les réseaux commerciaux et les traders d’une grande société internationale. De cette manière, Sonatrach augmentera ses gains et fera gagner de nouvelles sommes en devises pour le trésor public. Par ailleurs, cette future filiale permettra à l’Algérie d’éviter les limitations imposées par les quotas de l’OPEP puisque ce n’est pas elle directement qui sera chargée de distribuer et de commercialiser une partie supplémentaire du pétrole algérien sur le marché mondial.

    D’autre part, cette nouvelle “coentreprise” ou “joint-venture” rapportera à Sonatrach une synergie supplémentaire sur le marché international et une ouverture sur les champs pétroliers et gaziers détenus et possédés par son partenaire étranger. Les premières prévisions du plan stratégique de Sonatrach tablent sur une augmentation des revenus du groupe public de 10 %. Mais dans un futur proche, Sonatrach pourrait engranger des bénéfices nettement plus conséquents si elle négocie un partenariat gagnant-gagnant dans tous les sens.

    Soulignons enfin que, pour l’heure, les italiens d’ENI et les anglais de BP ont formulé d’ores et déjà des propositions concrètes pour lancer cette nouvelle joint-venture de trading avec Sonatrach. ENI, par exemple, a proposé à Sonatrach une ouverture sur plusieurs de ses puits pétroliers et marchés de distribution au Mozambique, en Angola, au Ghana, au Gabon, au Congo et en Égypte. Une association Sonatrach-ENI dans le trading serait donc une force de frappe très puissante à l’avenir. Algérie Part suit toujours de près ce dossier et révélera bientôt de nouveaux détails.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Un partenariat, si les italiens jouent le jeu sérieusement a la dimension de l'œuvre D'Enrico Mattei et de son soutien à l'indépendance de l'Algérie, assassiné par les Français...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      : le méga-projet secret de Sonatrach
      C’est une véritable révolution qui est en train de s’opérer secrètement dans les coulisses

      il est ou le secret du coup???

      Commentaire


      • #4
        C'est le style de Abdou Semmar...
        Othmane BENZAGHOU

        Commentaire


        • #5
          bon courage et bonne chance pour la sonatrach...

          Commentaire


          • #6
            Merci, il y a moyen que cette chance s'étende au delà et que certains puissent enfin comprendre l'intérêt d'une vision d'avenir harmonieuse...
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              dans la mesure ou la sonatrach peine a répondre à la demande du fait de la baisse continue de sa production, je me demande ou va t-elle chercher le surplus destiné à être commercialisé ?
              en fait c'est du "spot", et rien de plus.

              Commentaire


              • #8
                Le gaz sera vendu de plus en plus sous la forme de contrats spots et à terme, actuellement passablement avec la Snam sous contrats long termes. D'autre part, l'intérêt du réduire les coûts de couverture évalué par l'article sommairement à 10%, en mutualisant le risque de marché entre consommateur et producteur, est une idée proposée par Scaroni en 2009... Il n'est jamais trop tard pour bien faire...

                Il Sole 24 ore - 25 gennaio 2009

                Petrolio, Scaroni propone new deal per domanda stabile




                L'industria petrolifera ha «bisogno di cooperazione, nell'interesse di una stabilità dei prezzi di cui beneficeranno produttori e consumatori». Così l'amministratore delegato dell'Eni, Paolo Scaroni, a Riyadh, capitale dell'Arabia Saudita, per partecipare al Global Competitiveness Forum.

                «Così come i consumatori hanno bisogno di stabilità nell' offerta - ha spiegato il numero uno del cane a sei zampe - i produttori necessitano di una domanda stabile. E tutto il mondo ha bisogno di assicurare un uso razionale ed efficiente del petrolio». Scaroni ha ricordato come il settore petrolifero oggi, «con il petrolio che ha raddoppiato il suo valore nei 9 mesi fino a luglio 2008 (a 147 dollari al barile, ndr) e ne ha perso i 2/3 nei successivi 6 mesi, sta vivendo una turbolenza senza precedenti».

                Tormentata da tre diversi fattori che l'hanno destabilizzata negli ultimi tempi (complice la scarsa qualità dei dati, la ricorrenza delle teorie sull'esaurimento delle scorte, la speculazione), l'industria petrolifera necessita oggi - ha sottolineato l'ad di Eni - di una nuova forma di cooperazione: l'idea, ha detto, «potrebbe essere quella di lavorare verso un nuovo ambito contrattuale in grado di assicurare ai produttori di poter contare su una domanda stabile per il loro petrolio, che li porti quindi ad avere entrate stabili. Forse prendendo spunto dalle strutture contrattuali take-or-pay, piuttosto comuni nel mercato del gas».

                Una soluzione del genere, ha spiegato ancora Scaroni, «darebbe ai produttori incentivi ragionevoli per investire nella capacità di esplorazione e produzione per il beneficio dei consumatori, senza la paura di essere presi in contropiede dal ribasso dei mercati e assistere così al crollo del rendimento sugli investimenti. Su questa linea - ha aggiunto Scaroni - avrebbe anche senso escogitare qualche sorta di remunerazione per la capacità in eccesso, seguendo l'esempio di ciò che accade nel mercato elettrico».

                La forma e la natura esatte di un nuovo modello per l'industria petrolifera, ha concluso l'ad dell'Eni, «avrebbe bisogno di essere discussa molto attentamente. Ma è nell'interesse di tutti rinunciare ai propri interessi di breve periodo e lavorare a un compromesso. Così come i consumatori hanno bisogno di stabilità dell'offerta, i produttori necessitano di una domanda stabile».

                25 gennaio 2009
                Dernière modification par ott, 19 septembre 2018, 15h54.
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire

                Chargement...
                X