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Kamel Daoud défie le commissaire du Salon International du Livre d’Alger

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  • #16
    Donc il pense juste, et c'est d'ailleurs la raison de sa mise à l’écart dans ce salon de guignoles! ...

    non je trouve plutôt qu'il est en contradiction avec ses déclarations et la tienne aussi


    Le SILA est la propriété des algériens
    il veut dire les déchets sur quoi ils craché jours et nuit pour combler de satisfaction ses parains d'élysé


    Cet espace, la littérature algérienne, le livre, ne sont pas des espaces d’égo, de fonctionnaires apparatchiks qui décident des listes d’invités ou d’exclus, des territoires privatisés, mais des occasions de rencontres, de liberté et d’enrichissement
    en quoi une littérature des guignoles peut être enrichissante?
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

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    • #17
      @Infinite1 :" Donc il pense juste, et c'est d'ailleurs la raison de sa mise à l’écart dans ce salon de guignoles!"

      Est-ce que Kamel Daoud pense juste? Il s'agit d'une question qui mériterait un examen.

      Kamel Daoud- de ses propres aveux- avaient épousé les thèses des islamistes algériens, mais s'en est effectivement ravisé plus tard?

      D'où l'interrogation aisée certes: " pourquoi a-t-il été fou Kamel??"

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      • #18
        Kamel Daoud- de ses propres aveux- avaient épousé les thèses des islamistes algériens, mais s'en est effectivement ravisé plus tard?
        C'est dans la logique des choses pour pouvoir dénoncer les tares ...ce qu'il s' atèle à faire à présent, et c'est tout à son honneur; dommage que les lucides comme Kamel DAVID sont peut nombreux ! ...
        Dernière modification par infinite1, 29 septembre 2018, 20h02.

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        • #19
          C'est dans la logique des choses à fin de pouvoir dénoncer les tares ...c'est ce qu'il s’attèle à faire à présent
          De mieux en mieux.
          Moi, j'ai appris de ne pas critiquer ceux qui me dépassent.

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          • #20
            Moi, j'ai appris de ne pas critiquer ceux qui me dépassent.
            Dans ce cas pourquoi tu te mord la queue à justifier l'injustifiable ? ...

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            • #21
              23E SALON INTERNATIONAL DU LIVRE D' ALGER "Kamel Daoud et tous les écrivains sont les bienvenus..."

              Par O. HIND - Mardi 23 Octobre 2018
              Placé sous le slogan le «livre ensemble», le prochain Sila dont l'invité d'honneur est la Chine, sera inauguré le 29 du mois et s'étalera jusqu'au 10 novembre.

              Hamidou Messaoudi, commissaire du Salon international du livre d' Alger, a animé hier matin, un point de presse à la Bibliothèque nationale d' El Hamma, afin de dévoiler le programme qui se tiendra au niveau du Palais des expositions des Pins maritimes avec comme invité d'honneur la République populaire de Chine. Un choix qui n'est pas fortuit, car la Chine et l'Algérie célèbrent, cette année, le 60e anniversaire de leurs relations diplomatiques. Hamidou Messaoudi était accompagné de Xue Yz yang, l'attaché culturel auprès de l'ambassade de Chine en Algérie. Aussi, un riche programme a tracé ce pays qui comportera plus de 150 invités, une délégation qui comptera en son sein, notamment le prix Nobel de littérature de l'année 2012, Mo Yan. Ce dernier animera une conférence, avant d'assister à un hommage qui lui sera rendu par le commissariat du Salon, dans une cérémonie prévue en son honneur. La Chine sera en effet en force avec 2500 titres et plus de 41 éditeurs et des livres qui seront traduits en partie en arabe et d'autres en français.
              Outre des activités littéraires qui occuperont une bonne place, une grande exposition sur la beauté de la Chine, dont le vernissage aura lieu le 28 octobre, se tiendra au niveau de la BN d'El Hamma ainsi qu'un concert de musique. Hamidou Messaoudi notera aussi la journée arabo-chinoise qui sera dédiée aux échanges, droits d'auteur et les problèmes de tradition. Parmi les invités, Hamidou Messaoudi relèvera le nom du réalisateur Costa Gavras qui présentera à Alger, 50 ans après sa sortie, son film Z et dont nous avions eu la chance de visionner la copie restaurée, il y a deux ans, au Festival de Cannes. Côté chiffres, nous apprenons que le nombre d'exposants est de 1015(+6,2 par rapport à 2016), dont 279 éditeurs nationaux contre 290, l'année dernière, un chiffre qui a baissé en raison de la dissolution de 19 maisons d'éditions pour des raisons financières. Au total, prennent part au 23e Sila, 47 pays issus de quatre continents. Au menu également, 17 estrades ou rencontres avec auteurs. Parmi eux, Jaber Asfour d'Egypte, Maïssa d'Algérie, Dimitriou Stavroula de Grèce, Yahia Yekhlef de Palestine, des auteurs cubains, etc. Au programme aussi, sept portraits d'auteurs(historiens Mahfoud Keddache et Abou El Kacem Saâdallah, Abdallah Cheriet et Taos Amrouche mais aussi Amin Zaoui, Merzak Bagtache, etc), trois rencontres thématiques: «Roman et histoire», «Sahara je t'écris», «prix littéraires: consécration ou tremplins»...six conférences: «Science et rationalité», «le vivre ensemble», «culture et mondialisation»). Le pavillon Esprit Panaf sera reconduit et son espace permanent animé et sera marqué entre autres par la rencontre «Chemins d'exil, pistes d'écritures» (les migrations dans la littérature africaine).
              Enfin, notons aussi que la 10e Rencontre des écrivains euro-maghrébins sur le thème «Souvenirs, souvenirs!» organisé par la délégation de l'Union européenne à Alger, se tiendra également au cours du Sila. Notons que le coût du m2 carré du stand, est passé de 2000 DA à 3000 DA et à 6000 DA pour le stand aménagé. 20 maisons d'éditions arabes, nous informe-t-on, ont été exclues cette année du Sila pour non-respect du règlement intérieur. Sur 3000 livres, des réserves ont été émises sur 45 livres sur 130 l'année dernière. «Aucun livre algérien n'a été exclu cette année», a fait savoir le commissaire du Sila qui note: «Les éditeurs ont compris au fil des années la nature des livres que l'Algérie ne souhaiterait pas avoir et se sont mis eux -mêmes à ne pas les envoyer, malgré leur entêtement du début.» A propos de la célébration du 1er novembre Hamidou Messadoui fera remarquer qu'un programme a été tracé pour ce faire et notamment via l'organisation d'une table ronde dédiée au GPRA qui sera animée entre autres par Djameleddine Merdaci, Mohamed Abbès, une conférence sur Maurice Audin, sans oublier une conférence sur les relations algéro-chinoises de 1954 à nos jours ou encore la présentation par l'Anep d'un livre sur les footballeurs du FLN et autre livre lié à l'histoire du football par l'entraîneur Bessol, en présence du joueur Dahleb. Organisée par l'Anep, cette rencontre se tiendra le 4 novembre à la salle D*******. A propos du budget, Hamidou Messaoudi dira qu'il a encore diminué en passant à six milliards de centimes. Faisant taire les rumeurs sur l'exclusion de Kamel Daoud du salon, le commissaire du Sila dira, estomaqué: «Qui suis-je pour dire à Kamel Daoud en tant qu'écrivain lui et ses livres de ne pas rentrer au Salon, ou à n'importe quel autre auteur? Kamel Daoud est le bienvenu. J'ai animé un point de presse au journal El Chaâb et je n'ai jamais dit que Kamel Daoud n'était pas le bienvenu.» A propos de Waciny Laâredj et son prétendu boycott du Sila, Hamidou Messaoudi réfutera ces allégations en faisant remarquer q'il a réussi même à convaincre Wassiny Laâredj de présenter en avant-première son livre le deuxième tome sur l'Emir Abdelkader alors qu'il devait sortir au préalable au Salon du livre, de Beyrouth. «Je l'ai contacté et insisté pour qu'on ait la primeur de son livre.» A propos du Palais des expositions, Hamidou Messaoudi a réitéré encore cette année son appel aux pouvoirs publics pour trouver un autre lieu plus spacieux pour accueillir tout le flux des visiteurs, sachant que le nombre de la population a augmenté considérablement depuis 1969, date de l'inauguration de la Safex par feu le président Boumediene. Aussi a-t-il annoncé qu'un sondage sera effectué sur 1000 personnes pour connaître ce qu'elles lisent et achètent durant le Sila. Ironie du sort, notons, enfin, qu'une mauvaise nouvelle est venue marquer, hier matin, la tenue de cette conférence, à savoir la mort de la grande écrivaine algérienne, madame Fatima-Zohra Bouzina-Oufriha....
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #22
                Le SILA est une Organisation privée, elle vend des stands á des exposants.
                Dans ce cas les éditions Barzak acquéreur d'un stand a le droit d'exposé et de vendre des livres des auteurs de son choix .

                Si c'est en tant que citoyen lambda, personne ne peut l'empêcher, mais s'il pense qu'il a droit au tapis rouge, aux flashs des photographes, des bousculades pour une selfie avec lui, ect..., c'est autre chose.
                Kamel DAOUD ne peut exiger d'avoir droit au tapis rouge, pour ce qui est des selfie, des flashs et des interviews des photographe et journalistes c'est un droit dont il peut librement usé pour peu qu'il ne crée pas un désordre sur un espace publique ...

                On ne peut absolument pas empêcher un citoyen de prendre une photo avec cette sommité et encore moins un journaliste des médias privés (je dis bien privé, sinon un journaliste des médias publics risque les sanctions de sa tutelle) de faire son travail de journalisme en tout lieu du territoire national ouvert au public.
                Dernière modification par infinite1, 24 octobre 2018, 08h53.

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