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«Refusez tamazight, nous refuserons l’arabe !»

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  • Ammar NEGADI est l'un des fondateurs de l'académie Berbère, ce que tu postes est une intox sur laquelle il s'était expliqué :

    06/03/2002

    Salut à vous tous,
    En effet, c’est moi qui ai ouvert la première librairie amazigh à Paris « ADLIS AMAZIGH », rue Léon Frot, dans le 11è, c’est également moi qui ai fondé quelques temps plus tard l’Union du peuple amazigh (UPA) et lancé le bulletin Asaghen/Lien, sis rue Neuve des Boulets, comme le premier calendrier avec la nouvelle date amazighe, ainsi que les premières listes de prénoms imazighen, toujours dans le 11è.

    Les anciens d’Agraw Imazighen me connaissent, me sont toujours restés fidèles, tout comme je connaissais assez bien les membres du Groupe d’Etudes et de recherches berbères GERB de Vincennes, Imedyazen, les débuts de l’ACB et j’en passe...

    Veuillez tous rectifier l’erreur et vos jugements hâtifs et blessants qui m’ont beaucoup peinés, surtout venant de frères auxquels tout me lie et qui ont été indûment induits en erreur.
    Vive Tamazgha libre, unie, amazigh.
    Vive Tamazgha où aucun amazigh n’opprime ni domine ni méprise l’autre parce qu’il n’est pas de son bord ou de sa région.
    Vive Tamazgha dans l’honneur, l’honnête et la propreté au sens propre comme au sens figuré
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • De même pour massinissa qui s'est révélé en fin de compte être un traitre, un harki, un collaborateur des romains qui a livré son concitoyen syphax aux étrangers, de l'autre bord de la méditerranée.
      Bonjour leftissi,

      Massinissa traître comme tu dis ou simple énieme propagande venant de l'autre bord de la méditerranée ?

      Il faut quand même rendre hommage à Massinissa d’avoir construit une nation qui fait origine à l’Algérie moderne.
      Ne serais-ce que pour répondre aux incultes qui disent que l’Algérie n’existe que depuis l’arrivé des français.

      Les grands chefs algériens ( de l'antiquité jusqu'au 1er novembre ) ont tous leurs part d’ombre.
      L'émir Abdelkader par exemple est devenu "l’Ami des Français" pendant que les algériens se faisaient massacrer.
      Pourtant certains l’appellent fondateur de l’état algérien.

      D'après ce disent les historiens européens:

      Massinissa a été chassé de chez lui par le roi du "Maroc" à 28ans. Il a été aidé par les romains pour reconcquerir son royaume...simple pragmatisme( réalpolitik ) ou simple retour d'ascenseur...?!
      Dernière modification par Najib2006, 01 novembre 2018, 18h19.
      J'ai appris que le courage n 'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre. Nelson Mandela

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      • il faut quand même rendre hommage à Massinissa d’avoir construit une nation qui fait origine à l’Algérie moderne.
        il faut pas oublier cependant qu'il s'est rangé du coté des romains contre le royaume de carthage qui était un royaume local. qui a capturé syphax et l'a livré aux romains qui l'ont liquidé ?


        Massinissa a été chassé de chez lui par le roi du "Maroc" à 28ans. Il a été aidé par les romains pour reconcquerir son royaume...simple pragmatisme( réalpolitik ) ou simple retour d'ascenseur...?!
        tu parles de massinissa ou de l'émir abdelkader ? au temps de massinissa i y avait ni maroc ni sultan de maroc.

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        • Ammar NEGADI est l'un des fondateurs de l'académie Berbère, ce que tu postes est une intox sur laquelle il s'était expliqué :
          et qu'est ce qu'il a dit, amar el-chaoui, pour s'expliquer ? j'ai lu son blog où il parlait de ses démélées et disputes violentes avec mohand arab benssaou et les autres membres de l'académie berbere de paris qui usaient (dit-il) de racisme contre lui, le seul non-kabyle du groupe. il disait qu'ils l'accusaient, pour le discrediter, d'etre un agent de la sm. il révélait beaucouip de secrets de l'académie, notamment le role de jacques benet, agent (sioniste) de la dst française dans le fonctionnement de l'académie.

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          • Il faut quand même rendre hommage à Massinissa d’avoir construit une nation qui fait origine à l’Algérie moderne.
            Ne serais-ce que pour répondre aux incultes qui disent que l’Algérie n’existe que depuis l’arrivé des français.
            En attendant la gloire, le mérite revient injustement à l' Émir Abdelkader, alors qu'il est le premier à appeler à la partition de l'Algérie par le traité dit de la Tafna en 1836 bien avant Ferhat M'HNI comme chacun peut le constater à travers des documents qu'il est loisibles de consulter.
            Dernière modification par infinite1, 01 novembre 2018, 20h41.

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            • l'Emir Abdelkader a mené une guerre de résistance acharnée de 17 ans contre les agresseurs envahisseurs colonialistes français de 1830 à 1847. ton mentor mehenni a franchement et clairement déclaré sa haine et sa rancoeur contre 85% des algériens et a rassuré la france qu'il sera son collaborateur servile et la garantie de son maintien et la pérennité de son influence en afrique du nord et partant de toute l'afrique francophone. il a aussi promis des relations normales et amicales avec isra-hell.
              Faut pas comparer l'Or et l'étain (qazdir).

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              • Amar NEGADI ne fait pas parti des fondateurs de l’académie Berbère.

                L’Académie berbère (en KABYLE Agraw imaziɣen) est une association d'apparence culturelle fondée à Paris et vouée aux cultures berbères.

                Le fondateur principale est Bessaoud Mohand Arabe, alors que le président officiel est le pharmacien Mohand Said Hanouz (à ma connaissance le seul encore survivant) .
                Jaques Bénet (un ami des Kabyles et de la Kabylie était d'un grand apport lors de la création de cette académie pour les questions administratives).

                Mohand Amokrane Khelifati, Taous Amrouche, Youcef Achour (ancien sénateur et sous préfet), ainsi que Mme Mina Charette et Hamici Hamid (dit Hamid radio Paris).

                Maintenant que Mr NEGADI soit militant comme nous tous Berbères: Kabyles, Chaouis,Mozabite,Chenoui etc ... je n'en disconvient pas, mais comme fondateur surement pas !...

                Et puis pour plus de précision cette académie est dissoute en 1978 alors que l'auteur du post lefissi parle des années 80, ce qui est évidemment archi-faut.

                leftissi comme toujours :
                La confusion entre chechnoque et yennaïer est l’œuvre d’un contemporain amar negadi dit amar le chaoui, militant et activiste de l’académie berbere de paris qui a inventé ce fake en 1980 avec les erreurs et errements que peut commettre un c.e.péiste qui s’autoproclame historien, linguiste et sociologue. Et çà donne ce canular burlesque.
                Dernière modification par infinite1, 01 novembre 2018, 20h37.

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                • l'Emir Abdelkader a mené une guerre de résistance acharnée de 17
                  Juste après 6 ans d'une soit disant résistance il avait signer la partition de l'Algérie par ce traité, donc il était prés à cesser la résistance pourvu-qu'on lui le laisse maitre de son douar de l’Ouest...

                  il a aussi promis des relations normales et amicales avec isra-hell.
                  Une initiative des plus prometteuses... En quelle langue faut-il le dire et l'écrire pour se faire comprendre que la Kabylie n'a aucun contentieux avec l’État Hébreux ? ...

                  Faut pas comparer l'Or et l'étain (qazdir).
                  Voici mon analyse sur Abdelkader qui date déjà d'une dizaines d'années:

                  Ces derniers temps, la télévision de l’État s’est attelée à s’étaler sur la « légende » d’Abdelkader et de son pedigree, cette nécessité impérieuse s’inscrit peut-être dans la suite de la frénésie exaltante du nationalisme orchestré suite à la qualification de l’Algérie à la coupe du monde. Pourtant en fouillant dans les archives de l’histoire cette année 2010 ne se rapporte et ne se rattache à aucune date repère de la vie de ce résistant emblématique pendant une certaine période à la colonisation française dans l’ouest du pays.
                  De tout temps et partout, la mémoire a toujours été utilisée pour instituer des dates et des lieux symboliques ainsi que pour officialiser et redonner vie aux événements d’un passé. Parfois aussi, pour marquer des joies et des deuils dans la vie d’une nation. Il est clair que la mémoire qui sert à glorifier des événements ou des personnages historiques ne peut se confondre ou se substituer à l’histoire. A cet égard une posture critique, voir méfiante, vis-à-vis d’une commémoration officielle imposée est de mise. Les débats de représentation des faits historiques par des intellectuels sur commande ou de ceux qui se prétendent comme tels parce qu’affiliés au pouvoir sont souvent au cœur et sujets aux enjeux politiques et idéologiques du moment et de l’image qu’on cherche à transmettre. La vérité résulte et jaillit toujours des confrontations des faits et des documents alors que la mémoire officielle est le résultat d’un tri sélectif de la postérité faite de glorifications construites ou d’occultations et d’amnésies.
                  Pour utiliser tout cela, le personnage Abdelkader est un exemple manifeste. La période de sa résistance à l’envahisseur français de 1832 à 1847 à toujours été distinguée en combat séculaire, elle fut glorifié et voir même sacralisé. L’Algérie officielle a créée une imposture dévolue tandis que les pages sombres du transfuge de sa vie faites de complaisance, de reniement voir même de collaboration avec la nature coloniale est toujours occultée. Les faits sont là et vérifiables. On ne peut toujours entretenir des amalgames et travestir à jamais une vérité. Faut-il rappeler que l’émir avait présenté sa soumission au général Lamoricière en 1847 suite à la prise de sa smala par le Duc d’Aumale en 1843 alors qu’il avait déjà accepté la scission du pays dans le traité de la Tafna en 1837 pour continuer à régner sur sa province. Des faits que l’on a toujours égarés dans les tréfonds de l’histoire, il est tout de même curieux et stupéfiant que de tous les "résistancialistes" seul les héritiers d’Abdelkader continuent à percevoir des indemnités de l’ancienne puissance française.
                  Quitte a démolir le mythe, décidément, sauf pour ceux qui ne savent pas ou ceux qui ne veulent pas savoir, malgré ses statues équestres et son portrait en filigrane sur tous nos billets de banque, Abdelkader n’a pas sa place dans le panthéon de l’histoire.

                  Arezki HAMOUDI
                  Détenu de la cause berbère des années 70
                  Dernière modification par infinite1, 01 novembre 2018, 20h57.

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                  • Un jour du mois de mai 1978, dans une rue de paris, un algérien du nom de saib (je crois ?) courait frissonnant de peur, en criant "au secours ! au secours ! il veut me tuer" au secours ! la police présente sur les lieux intervient immédiatement et arrete l'assaillant et la prétendue victime. au poste de police, devant les enqueteurs, il s'avéra que l'assaillant portait dans sa poche un révolver chargé et le plaignant mort de peur, affirma à la police que son agresseur qui se nommait .......mohand arab bessaoud, responsable de l'académie berbere de paris le menaçait de mort s'il ne payait pas l'impot révolutionaire pour la cause berbere et que l'agresseur avait l'habitude d'user de menaces pour contraindre les kabyles de paris à payer pour financer le fonctionnement de son établissement. c'est alors que l'affaire fut déferée devant la justice qui condamna mohand arab bessaoud à 2 ans de prison ferme pour extorsion de fonds et tentative de meurtre. c'est alors qu'un certain jacques benet entra en scène et intevient auprès du ministre de la justice et garde des sceaux, alain peyreffite en faveur du condamné.

                    mohand arab bessaoud fut libéré et depuis ses activités dans l'académie cessèrent et l'académie tomba dans les oubliettes.

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                    • Voici mon analyse sur Abdelkader qui date déjà d'une dizaines d'années:
                      Une analyse signé : arezki hamoudi, ancien détenu et militant de la cause berbere et père-fondateur du mcb.

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                      • mohand arab bessaoud fut libéré et depuis ses activités dans l'académie cessèrent et l'académie tomba dans les oubliettes.
                        Donc une fois de plus leftissi tu te goure dans tes fabulations et NGADI ne pouvait pas être fondateur et encore moins apporter un témoignage sur un événement d' une académie dissoute à la date qu'il prétend (1980) .

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                        • Quoi qu'il en soit et n'en déplaise aux mentors de la division et du séparatisme, l'Emir Abdelkader est et demeurera (pour l'éternité) un monument, une figure emblematique de l'historigraphie nationale algérienne. tous le reste est blabla et bavardage sans effet et sans influence sur la masse des algériens.

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                          • Une analyse signé : arezki hamoudi, ancien détenu et militant de la cause berbere et père-fondateur du mcb.
                            On ne le répéterait jamais assez... , parce qu'à l'époque ceux qui défiés l'autoritarisme de Boumediene, et les tenants à leur identité n'étaient pas vraiment nombreux (1972 création du MCB 1976 incarcération dans des geôles secrètes de Boum)...il est facile de pérorer quand on a pas vécus les affres de la répression ! ...

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                            • Donc une fois de plus leftissi tu te goure dans tes fabulations et NGADI ne pouvait pas être fondateur et encore moins apporter un témoignage sur un événement d' une académie dissoute à la date qu'il prétend (1980)
                              montre moi où j'ai dit qu'il est fondateur de l'académie berbere de paris et je corrigerais. tu n'y trouveras pas trace de ce que je n'ai jamais dit, écrit ou prétendu. par contre ammar negadi est inventeur du canular du pharaon berbere (sic) chechnaque et ses exploits, du calendrier berbere (950 ans avant jc) et de la confusion entre yenaier et chechnaq. j'ai lu son blog daté de 2008, avant sa mort et il parlait de ses années dans l'académie berbere, ses démelées et bagarres violentes avec les autres membres, notamment avec mohand arab bessaoud, ses apports et contributions.

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                              • Quoi qu'il en soit et n'en déplaise aux mentors de la division et du séparatisme, l'Emir Abdelkader est et demeurera (pour l'éternité) un monument, une figure emblematique de l'historigraphie nationale algérienne. tous le reste est blabla et bavardage sans effet et sans influence sur la masse des algériens.
                                Une histoire d'un pays bâtis sur du faut, qui, pour pérenniser cette fausseté est obligé à présent de faire dans la fausse monnaie ! ...

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