avant le Haraga était le jeune , seul, qui tente d'autres horizons car rien ne le retient vraiment à part le manque de ses parents, mais il était seul, il savait que ses décisions ne le consernent que lui, car lui seul allait assumer.
maintenant, quand j'ai entendu une vidéo hier, ça m'a déchiré le cœur, pour ces enfants là, haraga, morts dans le froid glacial de la mer, une mort lente , pénible, horrible, la mer avait des dents, oui le froid et la peur déchirent ,
comment un père de famille qui a quand meme l'argent pour payer gros cette façon tres dangereuse prenne cette décision ?, c'était un risque dépassant le 50 % de mort dans l'eau, une route pleine d'incertitude et danger, prend sa femme et son enfant avec lui dans cette décision, et apres quoi ? qu'il ait vu les haraga de la kabylie morts noyés ? qu'il ait vu leurs mamans les pleurant ?
ne me dites surtout pas la situation du pays, si c'était à refaire préférait t'il voir la mort atroce et lente à sa famille ou vivre dans un pays difficilement mais vivre, rire , manger , étudier quand meme ?
est ce que ça valait la peine de voir sa famille mourir ?
Les seuls que je comprends et qui prennent cette route en famille c'est les gens qui fuient la guerre et la famine, les autres, demandons nous, serions nous des gens qui ne remercions pas le Dieu pour le pain qu'on mange ? pour le soleil qui se leve chaque jour pour nous réchauffer, pourquoi au moment de désespoir on ne regarde pas celui qui est pire que nous, qui vit des situations plus précaires , et pourtant vivent satisfaits et heureux ?
maintenant, quand j'ai entendu une vidéo hier, ça m'a déchiré le cœur, pour ces enfants là, haraga, morts dans le froid glacial de la mer, une mort lente , pénible, horrible, la mer avait des dents, oui le froid et la peur déchirent ,
comment un père de famille qui a quand meme l'argent pour payer gros cette façon tres dangereuse prenne cette décision ?, c'était un risque dépassant le 50 % de mort dans l'eau, une route pleine d'incertitude et danger, prend sa femme et son enfant avec lui dans cette décision, et apres quoi ? qu'il ait vu les haraga de la kabylie morts noyés ? qu'il ait vu leurs mamans les pleurant ?
ne me dites surtout pas la situation du pays, si c'était à refaire préférait t'il voir la mort atroce et lente à sa famille ou vivre dans un pays difficilement mais vivre, rire , manger , étudier quand meme ?
est ce que ça valait la peine de voir sa famille mourir ?
Les seuls que je comprends et qui prennent cette route en famille c'est les gens qui fuient la guerre et la famine, les autres, demandons nous, serions nous des gens qui ne remercions pas le Dieu pour le pain qu'on mange ? pour le soleil qui se leve chaque jour pour nous réchauffer, pourquoi au moment de désespoir on ne regarde pas celui qui est pire que nous, qui vit des situations plus précaires , et pourtant vivent satisfaits et heureux ?
Commentaire