Sept ministères algériens ne déclarent pas leurs salariés à la Caisse Nationale des Assurances Sociales des Travailleurs Salariés (CNAS), selon ce que révèle le député Messaoud Amraoui dans un poste facebook, le 25 du mois en cours. Il laisse entendre que ces fonds même sont détournés par les responsables du gouvernement.
Le député d’obédience islamiste Messoud Amraoui a lancé un pavé dans la mare en révélant un scandale impliquant sept ministères du gouvernement de Ahmed Ouyahia. A savoir le ministère de Travail, de la Santé, de la Solidarité, de l’information et de la Communication, la Culture, la jeunesse et des Sports et des Moudjahidines.
Ainsi, les employés des sept ministères sus-cités travaillent en «noir» et ne bénéficient pas de couverture sociale. Les fonds destinés à la CNAS sont, selon le député, prélevé du budget mais n’arrivent jamais dans les caisses des assurances. Il accuse implicitement les sept ministres à la tête de ces tutelles de détournement de fonds publics.
En effet, Messaoud Amraoui incombe la responsabilité des énormes difficultés menaçant la pérennité de la Caisse Nationale des Retraites (CNR) aux sept ministères. Le CNR rappelons le, souffre d’un déficit estimé à 300 milliards de Dinars Algériens (DA) en 2017.
Le député accuse le gouvernement de couvrir ses agissements illégaux en pénalisant les employés algériens. Le déséquilibre de la Caisse Nationale des Retraites est dû, selon lui, à l’évasion sociale de ces sept ministères au détriment des autres employés qui se sont vus privés de leur droit d’une retraite anticipée.
Le député s’interroge sur le sort des fonds destinés à la Caisse Nationale des Assurances Sociales des Travailleurs Salariés (CNAS). «Ce qui est certain, c’est que les fiches de paie des employés mentionnent les prélèvements sociaux» écrit-t-il avant de rajouter :« Si les cotisations n’arrivent pas dans les caisses de la CNAS, pourquoi ce silence et comment peut-on garantir une couverture sociale à ces employés ?».
Le gouvernement n’a pas réagi à ces accusations
Ces accusations très graves n’ont pas fait réagir le gouvernement ni son coordinateur et premier ministre Ahmed Ouyahia. Les septs ministères mis en cause n’ont pas non plus réagit ni démenti les révélations scandaleuses du député.
ObserverAlgérie
Le député d’obédience islamiste Messoud Amraoui a lancé un pavé dans la mare en révélant un scandale impliquant sept ministères du gouvernement de Ahmed Ouyahia. A savoir le ministère de Travail, de la Santé, de la Solidarité, de l’information et de la Communication, la Culture, la jeunesse et des Sports et des Moudjahidines.
Ainsi, les employés des sept ministères sus-cités travaillent en «noir» et ne bénéficient pas de couverture sociale. Les fonds destinés à la CNAS sont, selon le député, prélevé du budget mais n’arrivent jamais dans les caisses des assurances. Il accuse implicitement les sept ministres à la tête de ces tutelles de détournement de fonds publics.
En effet, Messaoud Amraoui incombe la responsabilité des énormes difficultés menaçant la pérennité de la Caisse Nationale des Retraites (CNR) aux sept ministères. Le CNR rappelons le, souffre d’un déficit estimé à 300 milliards de Dinars Algériens (DA) en 2017.
Le député accuse le gouvernement de couvrir ses agissements illégaux en pénalisant les employés algériens. Le déséquilibre de la Caisse Nationale des Retraites est dû, selon lui, à l’évasion sociale de ces sept ministères au détriment des autres employés qui se sont vus privés de leur droit d’une retraite anticipée.
Le député s’interroge sur le sort des fonds destinés à la Caisse Nationale des Assurances Sociales des Travailleurs Salariés (CNAS). «Ce qui est certain, c’est que les fiches de paie des employés mentionnent les prélèvements sociaux» écrit-t-il avant de rajouter :« Si les cotisations n’arrivent pas dans les caisses de la CNAS, pourquoi ce silence et comment peut-on garantir une couverture sociale à ces employés ?».
Le gouvernement n’a pas réagi à ces accusations
Ces accusations très graves n’ont pas fait réagir le gouvernement ni son coordinateur et premier ministre Ahmed Ouyahia. Les septs ministères mis en cause n’ont pas non plus réagit ni démenti les révélations scandaleuses du député.
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