Les élections présidentielles de 2019 devraient se tenir comme prévu, en avril prochain. L’option du report semble être écartée du débat après que le clan « Said Bouteflika – Amar Ghoul – Mokri » ait échoué dans sa stratégie.
Nouvelle année, nouvelle ère. Le 1er janvier, Amar Ghoul, président du parti Rassemblement de l’Espoir de l’Algérie (TAJ), a déclaré qu’« il n’y aura ni report du scrutin, ni prolongation du mandat actuel du chef de l’État ». Ce changement radical de discours survient au lendemain de la mise au point du chef d’État-major de l’armée, Ahmed Gaid Salah.
Rappelons que l’ancien ministre Amar Ghoul a longtemps appelé à l’organisation d’une conférence nationale de consensus pour une révision constitutionnelle et un report des présidentielles. Son idylle semble désormais bien loin.
D’autres hommes politiques n’avaient pas attendu Amar Ghoul pour tenir cette nouvelle position. En effet, le président de l’Assemblée populaire nationale, Mouad Bouchareb et le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, s’étaient exprimés contre le report de cette échéance.
L’élection présidentielle se tiendra donc au mois d’avril, comme prévue. Et à cet effet, le corps électoral se réunira durant les prochains jours, conformément aux dispositions de la loi électorale. Sachant que tous les scrutins se déroulent les jeudis, le corps électoral devrait lui aussi être convoqué le 10, 17 ou 24 janvier en cours pour que les élections aient lieu le 11, 18 ou 25 avril 2019. Il ne resterait alors qu’à définir les candidats à ce vote.
Bouteflika se prépare
Selon le quotidien Al-Charq Al-Awsat, « les autorités politiques auraient ordonné l’accélération des travaux de réalisation de la salle de prière principale de la Grande mosquée, pour programmer la visite du chef de l’État ». Selon la même source, « l’apparition du Président est attendue avant le 25 janvier ». Cette sortie serait une occasion pour Abdelazziz Bouteflika d’annoncer sa candidature aux présidentielles de 2019.
Le quotidien a écrit : « La visite du Président à la Grande mosquée serait un signal fort quant à son désir de rester au pouvoir. Cela devrait se faire prochainement, parce qu’on s’approche des délais réglementaires pour la convocation du corps électoral ».
observalgerie
Nouvelle année, nouvelle ère. Le 1er janvier, Amar Ghoul, président du parti Rassemblement de l’Espoir de l’Algérie (TAJ), a déclaré qu’« il n’y aura ni report du scrutin, ni prolongation du mandat actuel du chef de l’État ». Ce changement radical de discours survient au lendemain de la mise au point du chef d’État-major de l’armée, Ahmed Gaid Salah.
Rappelons que l’ancien ministre Amar Ghoul a longtemps appelé à l’organisation d’une conférence nationale de consensus pour une révision constitutionnelle et un report des présidentielles. Son idylle semble désormais bien loin.
D’autres hommes politiques n’avaient pas attendu Amar Ghoul pour tenir cette nouvelle position. En effet, le président de l’Assemblée populaire nationale, Mouad Bouchareb et le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, s’étaient exprimés contre le report de cette échéance.
L’élection présidentielle se tiendra donc au mois d’avril, comme prévue. Et à cet effet, le corps électoral se réunira durant les prochains jours, conformément aux dispositions de la loi électorale. Sachant que tous les scrutins se déroulent les jeudis, le corps électoral devrait lui aussi être convoqué le 10, 17 ou 24 janvier en cours pour que les élections aient lieu le 11, 18 ou 25 avril 2019. Il ne resterait alors qu’à définir les candidats à ce vote.
Bouteflika se prépare
Selon le quotidien Al-Charq Al-Awsat, « les autorités politiques auraient ordonné l’accélération des travaux de réalisation de la salle de prière principale de la Grande mosquée, pour programmer la visite du chef de l’État ». Selon la même source, « l’apparition du Président est attendue avant le 25 janvier ». Cette sortie serait une occasion pour Abdelazziz Bouteflika d’annoncer sa candidature aux présidentielles de 2019.
Le quotidien a écrit : « La visite du Président à la Grande mosquée serait un signal fort quant à son désir de rester au pouvoir. Cela devrait se faire prochainement, parce qu’on s’approche des délais réglementaires pour la convocation du corps électoral ».
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