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la Ministre israélienne qui avait remis Boumediène à sa place

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  • #16
    Pour l'organisation du 1er novembre 1954 il n'était pas en prison.

    À moins qu'il y ait une information scoop.

    Le comité des six en charge des opérations était composé de Krim Belkacem, Mostefa Ben Boulaïd, Larbi Ben M’Hidi, Rabah Bitat, Mohamed Boudiaf et Mourad Didouche.
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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    • #17
      Ah si c'est Driassa qui le chante dans un nachid fumeux....

      Quelle belle source, la pompom girl du pouvoir fln.

      La chitta la plus célèbre de l'histoire algérienne.

      Trop drôle.

      Et chachnaq, c'est un contemporain de bourourou ? Je ne vois pas ce qu'il vient faire ici.

      Quant à mes propos injurieux concernant un criminel, ils sont moins graves que l'assassinat d'algeriens. Non ?

      J'aime bien ceux qui sont choqué à géométrie variable.

      Et les enfants qui crèvent de cancers dans le sud algérien parcequ'un traitre a laissé un colonisateur faire des expériences militaires.

      Alors que des hommes et des femmes sont morts pour éviter ce genre d'horreur.

      Oui ça, ça me choque.

      Ces enfants du sud ne sont pas des kabyles, ce dont mes compatriotes.

      Pourquoi vous ne prononcez pas un petit mot pour eux ?

      Bourourou vous a appris à rejeter les régions différentes de la vôtre ?

      Pour tuer et diviser les algériens, là était son savoir faire.

      On le retrouve dans les haines régionalistes exprimées ici.

      Je n'ai jamais souhaité de mal à aucun algérien sauf les terroristes, et autres criminels à casquette ou pas à partir du moment où ils ont du sang algérien sur les mains.

      Les terroristes et bourourou de malheur ont du sang algérien sur les mains.

      Du sang algérien du nord, sud, ouest, est, centre.
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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      • #18
        Boumediene était aussi un kabyle originaire du village de Bounda Tamoqrant à 20 kms d'Ighil Ali. Ses aïeux quittèrent la Kabylie après la défaite de cheikh Mohamed El Mokrani en 1871 et se réfugièrent dans la commune d'Héliopolis (Guelma) où Boukharouba Mohamed dit Houari Boumediène vit le jour.
        ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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        • #19
          Boumediene était aussi un kabyle originaire du village de Bounda Tamoqrant à 20 kms d'Ighil Ali. Ses aïeux quittèrent la Kabylie après la défaite de cheikh Mohamed El Mokrani en 1871 et se réfugièrent dans la commune d'Héliopolis (Guelma) où Boukharouba Mohamed dit Houari Boumediène vit le jour.
          JE CONFIRME
          PAPA QUI ETAIT AMI AVEC SON FRERE (qui na pas eu un milliardieme (en verite il avait zero pour ne pas le faire chanter) par rapport au vizir said)me l avait toujours dit ...il me parlait des beni mekideche enfin je pense que c dans la meme sphere geographique
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #20
            cela etant dit

            Les agissements du Boumdienne

            Je m'appelle Mokrane Djaoumi, je vis à Berkeley, en Californie. Si je vous écris aujourd'hui, c'est suite à votre billet du 11-03-2012 en hommage à Saïd Sadi... Justement à la fin, vous m’avez choqué avec l'adjectif «boumedieniste». Le respect que je vous dois l'a emporté sur la haine que j'ai pour Boumediène. A cet effet, je préfère ne pas exposer ma «beurkitude »et poster seulement la chronologie de son règne.

            3 juillet 1962 : indépendance de l'Algérie.

            25 juillet 1962 : l'armée des frontières aidée d'éléments de la Wilaya I s'empare des villes de Constantine, Annaba et Skikda : 50 morts. Plus de 100 citoyens sont arrêtés.

            30 juillet 1962 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre du GPRA, est arrêté à M'sila par des militaires de la Wilaya I, agissant pour le compte de l'armée des frontières.

            20 août 1962 : des hommes armés à la solde de l'armée des frontières tirent sur des maquisards de la Wilaya IV à Alger : nombreux morts et blessés.

            29 août 1962 : violents accrochages entre éléments infiltrés de l'armée des frontières et maquisards de la Wilaya IV à Alger : plus d'une dizaine de morts.

            30 août 1962 : l'armée des frontières attaque les maquisards de l'ALN sur plusieurs fronts : Boghari, Masséna, Sour El Ghozlane et Sidi Aïssa. A l'aide de leur armement lourd, ils provoquent un véritable carnage dans les rangs des maquisards et de la population. Des témoins locaux parlent d'un millier de morts.

            1er septembre 1962 : violents affrontements entre l'armée des frontières et les maquisards de la Wilaya IV à Boghari : plusieurs dizaines de morts et de blessés.

            4 septembre 1962 : violents combats entre l'armée des frontières et des maquisards à El Asnam : 75 morts

            7 septembre 1962 : violents accrochages entre l'armée des frontières et des maquisards de l'ALN dans la vallée du Chélif (Chlef) : plus de 120 morts.

            9 septembre 1962 : l'armée des frontières fait son entrée à Alger après plus de deux mois de combats et plus de 1 500 morts.

            11 avril 1963 : Mohamed Khemisti, ministre des Affaires étrangères de Ben Bella, est tué par balle près du siège de l'Assemblée nationale par un homme traité de «malade mental». Ce «fou» sera «suicidé» quelque temps après dans sa cellule. Bouteflika, l'un des hommes-clés de Boukharouba, prend alors le portefeuille des Affaires étrangères.

            13 juin 1963 : Mansour Youcef, secrétaire général de l'Organisme saharien, est kidnappé par des hommes armés de la police politique au café Le Strasbourg d'Alger.

            21 juin 1963 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre d'Etat du GPRA, est kidnappé au pont d'Hydra par des hommes armés de la police politique. Il sera déporté à Tsabit, dans l'extrême-sud, durant près de cinq mois.

            14 août 1963 : le pouvoir d'Alger annonce l'arrestation d'un groupe armé de tendance marxiste constitué d'une trentaine de citoyens dans les maquis de Draâ El Mizan (Tizi-Ouzou). Ces malheureux opposants seront horriblement torturés. Le «ministre» de l'information de Ben Bella accuse... Israël d'être à l'origine de ce complot.

            3 septembre 1963 : création par Ben Bella de milices «populaires» qui arrêtent, emprisonnent et torturent en toute impunité les opposants au pouvoir.

            29 septembre 1963 : Hocine Aït Ahmed et d'anciens maquisards de la guerre de Libération nationale de l'Algérois, de la Kabylie et du Constantinois créent le Front des forces socialistes (FFS) et décident d'une lutte armée contre la dictature de Ben Bella et de Boukharouba. L'armée des frontières occupe plus particulièrement la Kabylie, où une impitoyable répression s'abat sur la population. Elle fera en moins de deux années plus de 400 morts et plusieurs centaines de prisonniers. Saïd Gherib, député à l'Assemblée constituante, suspecté de sympathie au FFS, est kidnappé par la police politique et meurt sur la table de torture.

            6 - 7 janvier 1964 : manifestations de citoyens chômeurs à Oran. Violente répression avec de nombreux blessés et des dizaines d'arrestations. Le pouvoir décide de créer les «cours révolutionnaires » (tribunaux d'exception) pour juger les «contre-révolutionnaires».

            Avril 1964 : campagne de terreur contre les populations de Kabylie. Des centaines de citoyens soupçonnés de sympathie au FFS sont arrêtés et torturés.

            16 mai 1964 : Cheikh Mohamed El Bachir El Ibrahimi, président de l'association des Ouléma, adresse une lettre ouverte au pouvoir militaro-policier d'Alger pour attirer son attention sur ces dérives du régime et les germes de guerre civile. Malgré son âge (76 ans) et son état de santé, il sera assigné à résidence où il mourra une année plus tard (20 mai 1965).

            7 juillet 1964 : arrestation de Abderrahmane Farès, ancien président de l'exécutif provisoire et député à l'Assemblée constituante. Il sera séquestré dans un centre de torture d'El Biar avant d'être déporté vers Béchar.

            19 août 1964 : Ferhat Abbas, 65 ans, ancien président du 1erGPRA et ancien président de l'Assemblée constituante de l'Algérie indépendante, est arrêté à son domicile par la police et déporté à Adrar dans le Sud algérien durant dix mois.

            1er septembre 1964 : cinq militants du FFS dont Chemmame Moh Chérif, ancien officier de la guerre de Libération nationale, sont fusillés.

            3 septembre 1964 : le colonel Chabani, plus jeune officier supérieur de l'Armée de libération nationale et ancien chef de la Wilaya VI, est fusillé, après une parodie de procès, par l'armée des frontières.

            Octobre 1964 : des dizaines de citoyens sympathisants du FFS sont torturés par la SM au centre de torture du chemin Poirson (El Biar). D'autres opposants subissent les mêmes supplices à la clinique psychiatrique de Notre-Dame d'Afrique, sur les hauteurs d'Alger.

            12 avril 1965 : Aït Ahmed, membre fondateur du FLN et ex-député de l'Assemblée constituante, est condamné à mort par un tribunal d'exception. Sa peine sera commuée in extremis en perpétuité par Ben Bella, alors que certains officiers de l'état-major des frontières voulaient son exécution.

            19 juin 1965 : coup d'Etat du colonel Boukharouba contre Ben Bella. Certains citoyens se hasardent à manifester dans l'Est algérien : 40 morts. Ben Bella sera séquestré durant 14 années sans jugement. On ne lui permettra même pas d'assister à l'enterrement de sa vieille mère.

            15 mars 1966 : vaste campagne de répression contre les militants et sympathisants du FFS. Des dizaines de citoyens seront arrêtés et torturés par la sécurité militaire.

            Octobre 1966 : nombreuses arrestations au sein de l'organisation des étudiants (UNEA) dominée par le PAGS.

            4 janvier 1967 : Mohamed Khider, membre fondateur du FLN, est assassiné par la sinistre police politique à Madrid (…)

            14 décembre 1967 : tentative de coup d'Etat du colonel Zbiri contre le colonel Boukharouba. De violents accrochages ont lieu à El Affroun. Des Migs pilotés par des Soviétiques bombardent les colonnes blindées des putschistes. Près d'un millier de morts dont de très nombreux civils. Ceux qui dirigeaient les troupes du colonel Boukharouba ne seraient autres que d'anciens sous-officiers déserteurs de l'armée française, selon Tahar Z'biri.

            16 décembre 1967 : le colonel Saïd Abid est «suicidé» dans son quartier général de Blida. Des rumeurs font état de son élimination par deux ex-sousofficiers de l'armée française.

            Janvier 1968 : le colonel Abbès meurt mystérieusement sur la route Cherchell-Alger. Des rumeurs font état de sa liquidation suite au coup d'Etat manqué de Zbiri.

            27 avril 1968 : tentative d'assassinat du colonel Boukharouba au Palais du gouvernement. L'attentat est perpétré par d'anciens compagnons du colonel Zbiri.

            7 avril 1969 : la Cour «révolutionnaire » d'Oran (tribunal d'exception) condamne à mort par contumace Krim Belkacem, membre fondateur du FL N.
            18 octobre 1970 : Krim Belkacem, membre fondateur du FLN, est étranglé dans un hôtel de Francfort (Allemagne) par des tueurs à gages de la sinistre police politique d'Alger (…)

            1971 : Youcef Dakhmouche, ancien membre du MALG, impliqué par certains opposants politiques dans l'assassinat de Mohamed Khider à Madrid, est arrêté et emprisonné à El Harrach par la SM. Il sera porté «disparu» depuis cette date.

            Juin 1974 : affrontements entre gendarmes et population à Larbaâ-Nath- Irathen, suite à l'interdiction de chanteurs kabyles de se produire sur scène : 3 morts.

            25 décembre 1975 : une machination orchestrée par la police politique (affaire des bombes d' El Moudjahid) aboutira à l'arrestation d'opposants au pouvoir. Parmi eux se trouvaient Medjeber Mohamed Ousmaïl et Mohamed Haroun, fils de martyr de la guerre de Libération. Ils seront accusés d'activités «berbéristes» et subiront les affres de la torture. Medjeber et Haroun seront condamnés le 4 mars 1976 par la Cours de sûreté de l'Etat (tribunal d'exception) respectivement à la peine capitale et à la réclusion perpétuelle. Ils seront incarcérés à la prison de Lambèse. Mohamed Haroun sera soumis à un «traitement psychiatrique». Ils seront graciés en 1987 et 1988.

            Janvier 1976 : Ouarab Madjid, militant pour la culture amazighe, est kidnappé par des éléments de la sécurité militaire. Il sera porté disparu jusqu'en 1977, où son cadavre, en état de décomposition avancée, sera découvert.

            10 mars 1976 : Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Hocine Lahouel et Mohamed Kheireddine sont mis en résidence surveillée et leurs biens confisqués par le colonel Boukharouba pour avoir publié un manifeste dénonçant le pouvoir personnel et les risques de guerre fratricide avec les Marocains. Ils y resteront jusqu'au 13 juin 1977.

            Juillet 1976 : plus d'une centaine de jeunes citoyens de la région de Larbaâ- Nath-Irathen sont arrêtés suite à la découverte de textes sur la culture amazighe.

            Décembre 1978 : la sécurité militaire infiltre et pilote un parachutage d'armes organisé par des opposants (Benyahia) en Kabylie (affaire du Cap Sigli). De nombreux opposants seront arrêtés et torturés.

            A la fin, j'aimerais avec votre permission, conclure à la Mamarienne mon long billet
            Si je me trompe corrigez-moi…
            «Vous pouvez mentir à tout le monde un certain temps, vous pouvez mentir à un petit nombre de gens tout le temps, mais vous ne pouvez mentir à tout le monde tout le temps.» Abraham Lincoln.
            Mokrane Djaoumi, TTS Coordinator (Muscat)
            __________________
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              dans le contexte de l epoque qui n aurait pas fait pareil
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #22
                Cette affaires d'enfants du sud, cancereux suite aux essais nuclaires français au Sahara algérien est une autre fable hallucinante montée en épingle par ces berberistes mythomanes calomniateurs. ni l'ONU, ni l'OMS, ni l'UNICEF, ni la societé civile algérienne ou meme de pays hostiles (france, maroc, usa) n'en font ni mention ni allusion.

                Et ces hurluberlus berberistes (en supposant que leurs fables soient vraies) rendent exclusivement et intégralement boumediene responsable (alors que ces essais français étaient prévus dans les accords d'évian signés par leurs propres mentors, krim belkacem entre autres), alors qu'ils ne disent pas un mot sur fafa. çà prouve qu'ils gardent une haine et une rancoeur diabolique et maladive contre boumediene.


                pour chechnaq, ces memes hurluberistes, tentent de faire croire à leurs mythes au point qu'ils s'exclament ici meme de temps en temps, "notre aieul chechnaq !" c'est comme si un enfants de l'atlas marocain, dans 2 millénaires, s'écrie "mon aieul zinedine zidane qui nous a fait gagner la coupe du monde de football en 1998 en france en marquant deux buts du match final".

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                • #23
                  4 septembre 1962 : violents combats entre l'armée des frontières et des maquisards à El Asnam : 75 morts

                  7 septembre 1962 : violents accrochages entre l'armée des frontières et des maquisards de l'ALN dans la vallée du Chélif (Chlef) : plus de 120 morts.
                  c'est bizarre 2 noms différents pour la meme ville..les historiens de la mémoire ..l'une de ces villes n'existait pas a cette epoque là..voir aucune des deux..le nom était Orleanville pour les européens..Lasnam pour les indigenes. ces affrontements avaient fait beaucoup plus de victimes d'apres le souvenir des anciens ..a la tete de cette armee de salon qui avait fait la guerre pour la premiere fois et contre ses freres ..se trouvait Bouteflika

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                  • #24
                    Boumédième ou le départ à reculons de l'Algérie.
                    Mais bon, l'Algérie en ses débuts ne pouvaient prétendre à mieux que ce médiocre personnage.
                    50 ans après, elle vit sous les ordres d'un autre médiocre que ce même Boumédiène a mis au monde.
                    L'Algérie est pas dans médiocrité actuelle pour rien.
                    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                    Commentaire


                    • #25
                      L'Algérie est pas dans médiocrité actuelle pour rien.
                      C'est le prix à payer pour la félonie et le silence devant l'infamie .
                      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                      • #26
                        J'ai toujours trouvé ca zinzin et maso qu'un Égyptien pleure Nasser, qu'un Marocain pleure H2, qu'un Irakien pleure Saddam ou qu'un Algérien pleure Boumédiène.
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                        Commentaire


                        • #27
                          le culte du chef surement .
                          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                          Commentaire


                          • #28
                            Citation:
                            Boumediene était aussi un kabyle originaire du village de Bounda Tamoqrant à 20 kms d'Ighil Ali. Ses aïeux quittèrent la Kabylie après la défaite de cheikh Mohamed El Mokrani en 1871 et se réfugièrent dans la commune d'Héliopolis (Guelma) où Boukharouba Mohamed dit Houari Boumediène vit le jour.
                            JE CONFIRME
                            PAPA QUI ETAIT AMI AVEC SON FRERE (qui na pas eu un milliardieme (en verite il avait zero pour ne pas le faire chanter) par rapport au vizir said)me l avait toujours dit ...il me parlait des beni mekideche enfin je pense que c dans la meme sphere geographique
                            --------
                            J'ai un doute sur ses origines kabyles .

                            Mais si c'est vrai, cela reste un criminel et un traître assassin.

                            Je ne suis ni sectaire ni régionaliste et je n'ai aucune haine vis à vis des autres régions. Je ne suis pas tombé dans son piège d'arriéré sanguinaire.

                            Certains ont plongé dedans et se persuadent faussement qu'il a uniquement tué des berbéristes. Ce qui est un haut fait d'arme pour eux.

                            Vous imaginez le niveau et ça se prétend patriote et nationaliste.

                            Ce que j'apprécie chez les marocains c'est qu'ils se protègent et se défendent entre marocains quelle que soit leur région.

                            Chez nous on a des nationalistes séparatistes. Un nouveau concept .

                            On en revient toujours à l'école de la haine.

                            Je suis triste de lire des compatriotes résignés disant que l'on ne pouvait pas faire mieux et dans le contexte de l'époque : si on pouvait faire mieux, des algériens sont morts pour ça.

                            Je suis d'accord avec certains, il y a cette propension à croire en l'homme prividentiel même si c'est un dictateur de la pire espèce. (Même au pays des za3ma-droits de l'homme, les gens admirent Napoléon).

                            Merci encore pour les derniers messages constructifs où il n'est pas question toutes les 2 lignes de se venger sur telle région, de berbéristes, de harkis et autre joyeuseté .

                            Même si les avis sont différents, une écrasante majorité de nos compatriotes n'a pas d'oeillères ni de boules quies pour regarder et entendre les choses en face avec discernement.

                            Surtout lorsque ces choses font mal.

                            NB : par contre, c'est avec un certain plaisir que je mets une petite cartouche de temps en temps à leftissi dans la plus belle tradition algérienne.
                            “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                            Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                            Commentaire


                            • #29
                              par contre, c'est avec un certain plaisir que je mets une petite cartouche de temps en temps à leftissi dans la plus belle tradition algérienne.
                              Et lui, il te dit, avec ton langage ordurier, grossier haissable, cause toujours, khachache klouf, tu m'interesses.

                              Commentaire


                              • #30
                                Moi aussi je t'aime.
                                “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                                Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                                Commentaire

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