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Miss Algérie 2019 face au racisme et au sexisme

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  • Miss Algérie 2019 face au racisme et au sexisme




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    Par Zahra Chenaoui Afrique-Monde 11-01-19


    Khadidja Benhamou, à la peau plus foncée que la plupart des autres candidates, a subi de nombreux commentaires discriminatoires depuis son élection.
    « Il n’y a pas de différence entre les couleurs de peau et il ne faut pas juger une personne avant de la connaître ». Couronne brillante sur la tête, Khadidja Benhamou fait le tour des plateaux de télévision et répète le même message, sourire aux lèvres. Vendredi 4 janvier, cette Algérienne 26 ans a été élue Miss Algérie 2019. A peine diffusées sur les réseaux sociaux, les premières photographies de la gagnante, en longue robe de soirée dorée, lui valent de nombreuses insultes racistes.

    Khadidja Benhamou vient d’Adrar, une région du sud du pays. Elle a la peau plus foncée et les cheveux plus crépus que la plupart des autres candidates du concours de beauté. Dans la journée du samedi 5 janvier, des journalistes dénoncent les commentaires discriminatoires. Le buzz gagne alors les réseaux sociaux algériens mais, cette fois, ce sont des milliers de messages de solidarité qui soulignent la beauté de la jeune femme ainsi que l’africanité de l’Algérienne qui sont publiés.

    « Un racisme décomplexé »

    « Certains commentaires, qui suggéraient de mettre la Miss dans une machine à laver pour la blanchir, étaient révoltants. Mais ce n’est que l’exemple d’un racisme décomplexé sur les réseaux sociaux de certains Algériens, analyse Redha Menassel, journaliste de la radio Alger chaîne 3. Il faut que l’on arrive à ce que les Algériens acceptent la différence. »


    Lundi 7 janvier, l’organisation de Miss Algérie publie les photos officielles de la gagnante et déplore « le comportement et les commentaires racistes de plusieurs personnes suite à des publications de photos dévalorisantes et retouchées ». Khadidja Benhanmou n’est pas la première femme à subir des critiques racistes. « Les insultes et les remarques désobligeantes sur ma couleur de peau sont régulières, explique Amina Hamouine, 33 ans, mannequin algérienne à la peau noire. Cela se produit dans la rue, alors que je me promène avec mes parents, mais aussi lorsque les photos de mes shooting sont publiées. Sur Internet, le harcèlement est systématiquement lié à mon physique et à ma couleur de peau ». En 2016, une photo d’elle portant une robe traditionnelle de Kabylie conduit même à un déferlement d’insultes et à une décision définitive : « Depuis, j’évite de lire les commentaires ».


    La majorité des commentaires après l’élection de Khadidja Benhamou concernait le physique de l’élue. « Faire l’objet de commentaires désobligeants est le lot quotidien des concours de beauté », relativise Rym Amari, 24 ans. Elue Miss Algérie en 2013, elle s’était vue reprocher d’avoir une beauté « trop européenne ».

    « Cyberharcèlement »

    Au-delà des élections de Miss, la présence des femmes algériennes sur les réseaux sociaux les expose particulièrement au harcèlement. Imène Shetea, 26 ans, a lancé une chaîne YouTube en 2013. La jeune femme, voilée, y présente des tutoriels de maquillage, des astuces pour couvrir ses cheveux et parle de ses voyages. « J’ai reçu beaucoup d’insultes sur mon physique, ma façon de parler, le fait que j’utilisais la langue anglaise. Plus mon nombre d’abonnés augmentait, plus il y avait d’insultes et plus elles étaient vulgaires ».

    Elle évoque aussi le harcèlement sexuel, « des messages au contenu pornographique » envoyés par des hommes comme des femmes. Elle raconte n’avoir eu que « très peu » de soutien à l’époque. Aujourd’hui, elle tente de sensibiliser : « Le cyberharcèlement et le body shaming sont pris à la légère dans notre société, ils sont même normalisés alors que ça ne devrait pas. »

    Pourtant, selon les professionnels de la mode, la situation s’améliore. « Lorsque j’ai commencé en 2004, les gens considéraient le mannequinat comme de la prostitution de luxe », se souvient Naim Soltani, directeur général du magazine féminin Dzeriet. A l’époque, il invite systématiquement les parents des mannequins aux séances de photo et aux défilés pour déconstruire l’idée qu’ils s’en font. En 2011, lorsqu’il organise l’élection de Miss Université, le catalogue qui présente les photographies des candidates est détourné et le mot « candidate » est remplacé par « **** ». « Aujourd’hui, nous publions des photos de mannequins tous les mois. Et si les critiques sont très sévères, c’est désormais à propos des vêtements », tempère Naim Soltani.

  • #2
    Une symbiose de beaute et de charme a` vous paralyser. Cette femme est extremement belle et je suis sur aussi intelligente.


    Ces traits sont l incarnation meme du physique nord africain.


    Felicitations mademoiselle!


    M.
    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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    • #3
      LepontAfrique.fr 12 01 2019

      "Ce que nous dit la polémique autour de Miss Algérie

      SOCIÉTÉ. Au-delà du racisme sous-jacent, la réaction de certains Algériens à l'élection de Khadidja Benhamou révèle combien la diversité et la complexité même de la société algérienne peuvent être mal maîtrisées.

      PAR HADJER GUENANFA, À ALGER

      Tout est donc parti de l'élection de Miss Algérie le 4 janvier dernier. Il s'est trouvé que l'élue, Khadidja Benhamou, est originaire d'une ville du sud algérien, Adrar. Âgée de 19 ans, elle a la peau foncée et les cheveux noirs bouclés : des signes évidents de présence parmi ses ascendants de personnes d'origine subsaharienne. Il n'en reste pas moins que Khadija Benhamou est bien algérienne. Comme les autres Algériens, elle porte les caractéristiques de sa région d'origine à part que les siennes se voient plus facilement sur son physique. Il n'en a cependant pas fallu plus pour que son titre de Miss Algérie déchaîne des commentaires peu amènes, notamment sur les réseaux sociaux. « Didier Drogba, arrête de faire le con ! » dit cet internaute. « Je fais un cauchemar ou c'est la réalité ? C'est elle Miss Algérie 2019 ? » s'interroge cet autre. De quoi donner le ton à une affaire qui a attiré l'attention, en Algérie et ailleurs dans le monde, sur le rapport des Algériens avec la composante noire de la population.

      Le vécu de Salima, maman d'un enfant noir

      Salima s'est réinstallée dans le pays depuis quelques années avec un enfant de six ans, Adem. Et les premières semaines à l'école de son garçon n'ont pas été évidentes à vivre en raison notamment d'allusions fréquentes de ses camarades à la couleur de sa peau. « Des camarades l'appelaient kahlouche », dit Salima qui explique que son fils lui a demandé ce que cela signifiait exactement. Et de constater aussi que des voisins décourageaient leurs enfants de jouer avec lui. « Certes, Adem a une très forte personnalité malgré son jeune âge, mais il ne comprenait pas. Il se demandait naturellement pourquoi il n'avait pas la même couleur de peau que ses cousins. En fait, c'est seulement un enfant », relate cette jeune maman.

      Attention à l'amalgame

      Cela dit, la question est complexe et mérite beaucoup de mesure. Ainsi, parmi les détracteurs de la nouvelle Miss Algérie, certains dénoncent un « amalgame ».« Je ne vous dirai pas qu'il n'y a pas du tout de racisme. Moi, j'ai critiqué Khadidja Benhamou sans l'insulter. Je ne suis pas pour autant raciste ! Je n'ai pas aimé cette candidate et ce n'est pas à cause de sa couleur de peau que je vais m'empêcher de le dire. Il y a un grand amalgame », estime Nadjat, une jeune entrepreneuse de 31 ans qui vit à Alger. « J'ai suivi les réactions sur les réseaux sociaux. Il y avait quelques conneries comme d'habitude. Mais tous les commentaires n'étaient pas racistes. Je ne comprends pas ce buzz », ajoute la jeune femme qui rappelle les moqueries dont a fait l'objet Miss Algérie 2018. « On l'avait traité de tous les noms. Elle n'avait pourtant pas la peau foncée », dit-elle.

      Un signe de la persévérance des intégristes

      Quant à Cherifa Kheddar, une militante féministe, elle y voit l'œuvre de personnes « intégristes ». « L'année dernière, ces gens contestaient l'existence même de ce concours de beauté. Comme leur mobilisation n'a pas donné les résultats escomptés et que le concours n'a pas été annulé, ils se sont attaqués au physique de la personne qui se trouve être, cette fois-ci, une fille du Sud », estime-t-elle. D'ailleurs, poursuit-elle, ce sont les mêmes individus qui se sont acharnés sur Houari Manar décédé récemment lors d'une opération à Alger. Figure du raï en Algérie et de la communauté LGBT, Houari Manar, de son vrai nom Houari Madani, est décédé d'une crise cardiaque dans une clinique privée à Alger où il devait subir une opération de chirurgie esthétique. « Personne ne se gêne pour donner des avis religieux sur ce genre de sujets. Après le décès de Houari Manar, certains se demandaient s'il devait être lavé [avant l'enterrement, NDLR] par un homme ou par une femme. Vous imaginez jusqu'où ils peuvent aller ? D'autres estimaient qu'il ne fallait pas tenir la prière funéraire le concernant », regrette Cherifa Kheddar.

      Un problème de tolérance et de conscience de sa diversité ?

      Dans sa chronique sur El Watan, Chawki Amari résume ainsi les dernières polémiques : « Il y a des destins peu communs, souvent associés par un fait d'armes et rassemblés par l'actualité, les réseaux sociaux ou la rumeur. Adlène Mellah, journaliste, est en prison et son état de santé se dégrade. Khadija Benhamou est Miss Algérie, mais on se moque d'elle parce qu'on trouve qu'elle ressemble à un acteur américain. Houari Manar, chanteur de raï, vient de mourir mais on l'insulte encore. » « Le premier est un homme, la deuxième une femme et le troisième entre les deux, ce qui lui a valu une bonne dose de haine, lui qui a revendiqué ouvertement son homosexualité. Ce qui ne les rapproche pas, à part cette logique du groupe contre l'individu, dans une société où tout le monde doit être un homme, même les femmes », ajoute-t-il.

      Pour Nacer Djabi, les violentes réactions enregistrées après l'élection de Miss Algérie, comme à la suite du décès de Houari Manar, mettent la lumière sur un problème de « diversité » au sein de la société. « Les Algériens ne se connaissent pas assez et, donc, ils ne s'aiment pas parfois. L'Algérien ne vit pas dans les grandes villes cosmopolites. Il vit encore comme dans un « village » d'où parfois il ne sort jamais. Il ne se déplace même pas vers les autres villes du pays », explique le sociologue qui cite l'exemple des entreprises privées. « Prenez le cas de certaines sociétés privées en Algérie. Il suffit de demander à l'agent de sécurité la ville d'où il est originaire pour savoir d'où viennent le patron et tous ses employés », avance-t-il.

      « Les Algériens pas plus racistes que d'autres »

      Nacer Djabi ne nie pas l'existence de racisme au sein de la société. « Sauf que la société algérienne n'est pas plus raciste que d'autres sociétés à travers le monde », assure-t-il malgré les commentaires parfois haineux que l'on trouve sur les réseaux sociaux à l'occasion d'une polémique. « Sous couvert de l'anonymat, les internautes se lâchent et disent n'importe quoi. C'est le cas sur Facebook par exemple qui n'est pas représentatif de ce que peut être une société aujourd'hui », assure notre interlocuteur. De quoi relativiser la vraie signification de tous les mots et maux détectés à l'occasion de la polémique autour de Khadija Benhamou plus Miss Algérie que jamais."

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      • #4
        « Sauf que la société algérienne n'est pas plus raciste que d'autres sociétés à travers le monde »
        je ne suis pas d'accord.
        Je ne connais pas de plus raciste que le monde arabe.
        Le pourquoi?
        L'ignorance. On craint ce qu'on ne connait pas. Puis on le méprise ..
        L'Algérien ne vit pas dans les grandes villes cosmopolites. Il vit encore comme dans un « village »d'où parfois il ne sort jamais. Il ne se déplace même pas vers les autres villes du pays »,
        ca explique beaucoup de comportements primitifs comme le racisme et l'étroitesse d'esprit.

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        • #5
          En 2016, une photo d’elle portant une robe traditionnelle de Kabylie conduit même à un déferlement d’insultes et à une décision définitive : « Depuis, j’évite de lire les commentaires »
          la pauvre...elle a dû avoir affaire à un boule3ress ...!


          ...............
          Dernière modification par etudiant, 12 janvier 2019, 16h11.

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          • #6
            Miss Algérie et les racistes - La drôle d'humeur d'Alexis le Rossignol



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            • #7
              Dr Mohamed Saïb Musette. Sociologue : Nous sommes bien devant un phénomène de racisme avéré en Algérie

              RYMA MARIA BENYAKOUB 11 JANVIER 2019 À 11 H 00 MIN 1600


              Que pensez-vous de la polémique qui a éclaté suite à l’élection de Miss Algérie 2019 ?

              Toute élection provoque, de manière ouverte ou cachée, des réactions et souvent des contestations.

              La polémique en soi n’est pas nouvelle en ce qui concerne Miss Algérie, car il s’agit dans ce type de concours d’un choix selon différents critères devant permettre d’évaluer «la beauté d’une femme», qui symboliserait l’Algérienne à un moment donné.

              Les candidates sont informées et s’y préparent, souvent avec des «coaches». Quels que soient les critères retenus, il y a un processus de sélection à la fin par une commission qui validera l’heureuse élue.

              L’opinion publique compte aussi et s’organise parfois – car c’est elle qui va donner la dimension médiatique, nationale et internationale de l’événement. Voilà en ce qui concerne le processus de l’élection de Miss un peu partout dans le monde.

              Cette fois, l’heureuse élue provient d’une partie de l’Algérie (le Sud), très peu présente sur la scène médiatique. Cette scène est généralement occupée par les Algériens du Nord.

              Il y a dans la formation sociale algérienne une «diversité de couleurs» qui font la beauté de l’unicité de l’Algérie. La beauté du Sud est généralement présentée lors des événements folkloriques, c’est dommage.

              La polémique qui a éclatée sur ce choix a fait ressurgir à la surface – donc de manière ouverte – des perceptions à la limite du racisme Noir/Blanc et des contrastes Sud/Nord.

              Ces formes de discriminations ne sont pas nouvelles, elles sont enfouies dans les différences culturelles, bien que notre culture partagée soit celle de l’unicité de la nation et de son territoire, avec des spécificités plurielles.

              Nous avons l’impression que les Algériens ne sont pas conscients des différentes composantes de la société. Quel est votre avis ?

              L’Algérie, comme je disais, est une société plurielle mais notre perception est formatée par la dominance ou la suprématie d’un seul modèle de référence. La coexistence des différents modèles (vestimentaire, culinaire, langagier…) n’est pas une donnée naturelle…

              Cette coexistence repose beaucoup sur l’éducation fondamentale (familiale, scolaire, religieuse…), comme celle de la culture du «vivre-ensemble» avec l’autre et avec la nature.

              Tout Algérien sait pertinemment, bien que l’Algérie est composée d’une diversité culturelle, ce qui représente aussi notre fierté au reste du monde.

              Y a-t-il des études autour du racisme en Algérie ?

              Le racisme est un phénomène social qui existe partout dans le monde. Il existe une riche littérature sur ce phénomène ; des Etats ont été constitués sur ces discriminations en fonction de la couleur da la peau, bien que scientifiquement il n’existe pas de suprématie d’une race par rapport à une autre.

              C’est une idéologie qui semble ressurgir dans les discours «politiques» ces derniers temps un peu partout dans le monde, elle est portée notamment par des courants de l’extrême droite dans certaines sociétés.

              A l’échelle mondiale, il me semble que la lutte antiraciste s’est essoufflée… on pensait que ce phénomène allait mourir tout seul. L’éradication n’est pas totale. En Algérie, j’ai eu à observer ce phénomène dans les études sur les migrations internationales.

              L’étude de la perception des Chinois et des Subsahariens (2008) dans leurs rapports aux Algériens indique l’existence d’une discrimination vécue au quotidien fondée sur la race et la couleur de la peau notamment dans le discours langagier, avec des expressions récurrentes blessantes quant à l’intégrité et la dignité de l’Autre.

              Une récente étude sur les migrations estudiantines (2018) indique la permanence de ce phénomène : les étudiants étrangers en Algérie, tout comme les étudiants algériens à l’étranger, affirment qu’ils sont victimes régulièrement des discriminations et de racisme.

              Nous sommes dans quel état d’esprit ? Sommes-nous vraiment dans le racisme ou dans le régionalisme ou autre ?

              Nous sommes bien devant un phénomène de racisme avéré en Algérie. Nous avons souffert de ce racisme contre l’Algérien durant la longue période coloniale. La diversité culturelle de l’Algérie post-indépendance n’était pas pourtant un acquis.

              Il a fallu une longue lutte pour que la culture amazighe soit admise comme élément constituant de l’identité algérienne. Le concept de «vivre-ensemble» a été aussi mis à rude épreuve récemment dans le M’zab.

              Nous avons porté ce concept aux Nations unies. Et pourtant, il y a des relents de racisme qui sont observés quotidiennement en Algérie. La lutte contre le racisme doit être permanente, car nous entrons dans une nouvelle ère où les idéologies racistes sont ravivées par des courants de pensée qu’on croyait d’un autre âge.

              L’Algérien n’est pas à l’abri de ces tentations, de la reprise de ces discours qui se banalisent actuellement par les NTIC qui entrent dans nos maisons, dans nos têtes.
              ..................

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              • #8
                je suis vraiment choque ou ont est la cette jeune fille est algérienne peut importe sa couleur l ignorance de certains algeriens me terrifie le racisme doit être
                combattue à tous les niveaux cette miss algerie à tout mon respect

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                • #9
                  meme pas surpris par autant de racisme ............. que l'on n'hesiterais pas à vilipender s'ils venait d'un européen .
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                  • #10
                    Tout est bon pour cracher sur l'Algérie.

                    Cette affaire est une fausse polémique, il y a eu sans doute des messages insultant et sans étonnement car les réseaux sociaux sont des repères à cas sociaux.

                    Mais pas de racisme.

                    En réalité pour les Social Justice Warrior, toute insulte contre un noir est synonyme de racisme. Ils voient du racisme partout.

                    Si elle a été insulté par quelques imbéciles, ce n'est pas pour sa couleur de peau mais juste parce que ces frustrés et surtout ces frustrées avaient envie d'insulter.

                    En plus cela a été relayé par AJ +, un relai médiatique du Qatar qui défend tout et son contraire. En faveur du progrès social en Occident, mais conservateur dans le monde Arabe.

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                    • #11
                      Tout est bon pour cracher sur l'Algérie
                      C'est le genre de réflexion qui maintient vivant l'âtre de la médiocrité, pourtant sur ce dossier internet foisonne de propos denigrants envers cette fille, comment ne pas reconnaître qu'une large frange de la population algérienne eprouve une répulsion ancestrale envers les gens de couleur noire, dans les montagnes de kabylie le noir de peau est une '' denrée rare '', des kabyles peuvent en témoigner fièrement, et je pense que ça doit être la même chose dans d'autre régions de l'Algérie.

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