Par Aylan B -18 février 2019 à 16:19
Le chef de bureau de l’Agence France presse (AFP) à Alger aurait été sommé de quitter le territoire algérien avant le 28 février 2019, pour « son hostilité au pouvoir en place », selon des sources médiatiques.
Selon les informations recueillies, il est reproché au journaliste de « couvrir l’actualité algérienne, en particulier celle du Président de la République, d’une manière biaisée, voire hostile ».
Des observateurs pensent que les autorités algériennes cherchent à neutraliser cette agence française à la veille de l’élection présidentielle pour des raisons obscures. « Cette décision est un message à l’Élysée et au Quai d’Orsay qui tenteraient de s’immiscer dans la présidentielle d’avril prochain », nous déclare un journaliste indépendant.
Le chef de bureau de l’Agence France presse (AFP) à Alger aurait été sommé de quitter le territoire algérien avant le 28 février 2019, pour « son hostilité au pouvoir en place », selon des sources médiatiques.
Selon les informations recueillies, il est reproché au journaliste de « couvrir l’actualité algérienne, en particulier celle du Président de la République, d’une manière biaisée, voire hostile ».
Des observateurs pensent que les autorités algériennes cherchent à neutraliser cette agence française à la veille de l’élection présidentielle pour des raisons obscures. « Cette décision est un message à l’Élysée et au Quai d’Orsay qui tenteraient de s’immiscer dans la présidentielle d’avril prochain », nous déclare un journaliste indépendant.
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