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Algérie : décès de deux militaires dans un crash d’hélicoptère

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  • #16
    L’appareil, un Su-24MR portant le matricule KG-93, s’est écrasé hier en milieu de soirée dans un champs près de la commune de Rechaïga dans la Wilaya de Tiaret. Dans une région se trouvant quasiment à équidistance entre le chef lieu de la wilaya et la base d’attache du chasseur bombardier, qui est Ain Ouessara.
    Le crash a fait malheureusement deux victimes qui n’ont pas pu s’éjecter. Quant aux causes de l’accident elles ne sont pas connues. Etant donné le caractère spécifique de l’avion qui ne porte pas de munition et l’heure tardive de la mission d’entrainement deux hypothèses sont privilégiées: l’explosion d’un ou des moteurs qui n’aurait laissé aucune chance aux pilotes de s’éjecter. Seconde hypothèse, du fait de la nuit, le pilote aurait pu souffrir d’un problème de désorientation spatiale qui aurait pu être aggravé ou provoqué par une défaillance des instruments de vol.
    Pour le moment une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l’accident. Le dernier crash de ce type d’appareils avait eu lieu en octobre 2014, à Hassi Bahbah, et avait concerné un SU-24 MK2 bombardier.

    Le SU-24 MRK2 qui a été perdu hier faisais partie du la 525e escadron de reconnaissance et de guerre électronique appartenant à la 5e escadre du même nom, basé à Ain Ouessara au Sud d’Alger

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    • #17
      Code HTML:
      Cette machine est d'une conception ancienne, premier vol en 1969,
      chapeau chapeau chouan

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      • #18
        Le Su-24MK était la variante du Su-24M destinée à l'exportation, avec des capacités réduites. Il fut produit de 1988 à 1992 et vendu à l'Algérie, l'Irak, la Libye et la Syrie. L'Iran récupéra les appareils irakiens en 1991 et acheta 14 appareils supplémentaires, venant de Biélorussie ou de Russie.



        le f 16 américain doit dater de 1970/1971


        il existe plusieurs variantes et upgrade pour les anciens appareils avec 1 nouvelle avionique ,

        donc chouan faut attendre la fin de l'enquête et si il a été abattu par des térros ???
        ,

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        • #19
          chouan


          Code HTML:
          Quoiqu'il en soit le vol de nuit à très basse altitude est dangereux et seuls quelques pilotes très expérimentés sont capables de le faire

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          • #20
            Rabi yarhamhoum
            « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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            • #21
              Rabi yarhamhoum w isbar malihoum

              dz(0000/1111)dz

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              • #22
                JE ne suis pas pilote mais il me semble que << probablement < il manquerait quelque chose de technique .
                Cette chose chose technique pourrait etre une << coordination entre une cartographie GPS(satellite station ) + Une identification par avion dite de reconaissance éléctronique ) a AJOUTER AVANT UN PLAN DE VOL

                actuellement il ya des logiciels GPS GEOGRAPHIQUES SUR LES CREUX ET LES MONTS UTILISES POUR LES PLANS DE VOLS DES TOMAHOWKS QUI VOLENT A TRES BASSE ALTITUDE .....

                taches pas faciles mais que les PUISSANCES MAITRISENT PAR UPGRADE CONTINUEL

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                • #23
                  M1111

                  Tu as raison, de nuit ou par faible visibilité, on pilote aux instruments, donc à mon avis, c'est une défaillance brutale d'un réacteur ou un problème électronique, mais je ne pense pas que le pilote soit responsable.
                  Le vol rasant de nuit est stressant car la moindre défaillance moteur et tu es plaqué au sol et je pense que c'est ce qui est arrivé car ils n'ont même pas eu le temps de s'éjecter.
                  Ce sont les risques de ce métier!
                  Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                  • #24
                    Le vol rasant de nuit est stressant car la moindre défaillance moteur et tu es plaqué au sol et je pense que c'est ce qui est arrivé
                    Je ne pense pas à cette explication vu que le SU-24 est un biréacteur et que la perte de l'un deux est compensée partiellement par une augmentation de puissance sur celui qui reste et une prise immédiate d'altitude.

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                    • #25
                      Alibigoud, tu te trompes!
                      Sur un bi-moteurs ou un bi-réacteur, au moment précis de la mise en drapeau ou de l’arrêt d'un réacteur, la machine perd de l'altitude, si tu est à cent mètres, ce n'est pas grave, tu compense, mais si tu es en rase-motte, tu touches le sol et à mon avis, c'est ce qui est arrivé!
                      En instruction, sur un mono-moteur on te fait couper à 400 mètres pour voir tes réactions, c'est impressionnant, la perte d'altitude est immédiate!
                      Sur un bi-moteur, c'est moins brutale. Sur un bi-réacteur je ne sais pas, je ne suis pas breveté et je n'en ai jamais piloté.
                      Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                      • #26
                        Sur un bi-moteur, c'est moins brutale. Sur un bi-réacteur je ne sais pas, je ne suis pas breveté et je n'en ai jamais piloté.
                        Sur un bimoteur à hélice, une panne moteur se traduit par une perte de puissance immédiate, l'hélice au pas de la vitesse de croisière agit comme un frein et il faut la mettre en drapeau immédiatement.
                        Sur un réacteur, la panne entraine un "dévissage" de la turbine de façon plus progressive et conjugué à la vitesse et à l'inertie d'un avion de combat, la perte d'altitude n'est pas immédiate et elle est compensée aussitôt soit par les automatismes soit par le pilote lui même.
                        J'ai eu l'occasion de faire un exercice de panne sur un Fouga Magister et j'ai pu constater qu'il faut de longues secondes avant que l'on ne perçoive un ralentissement qui est compensé aussitôt par une augmentation de puissance sur le réacteur restant.
                        Dernière modification par alibigoud, 22 février 2019, 16h41.

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                        • #27
                          L'un des deux pilotes était originaire de Constantine. Allah yerhamhoum.

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                          • #28
                            C'est pourquoi je t'ai précisé n'avoir jamais piloté de bi-réacteurs, je ne connais donc pas ces réactions.
                            Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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