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l'Association des Oulémas appelle Bouteflika à la raison

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  • #16
    l'Association des Oulémas
    Une association de planqués rétrogrades restés figés au VII ieme siècle se la ramène? Des faiseurs de fatwa qui devraient disparaître au XXI ieme siècle.

    =====================
    L’Association des oulémas musulmans algériens multiplie les faux pas et les dérapages en s’attaquant aux fondements et à la cohésion nationale. Pour la deuxième année consécutive, cette association décrète la célébration de Yennayer «haram». Cette association, qui cherche à s’imposer comme la véritable autorité religieuse nationale devant le Haut Conseil islamique, a actionné l’«illuminé» Al-Abidine Ben Hanafia, président de la commission des fatwas, pour cette campagne contre une fête ancrée dans la société algérienne depuis des millénaires.

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    • #17
      Salut Benam

      Le nom de Bouchachi tourne,
      Mais attendons, les réjouissances qui n'en sont qu'aux préparatifs.

      Perso j'ai un souci avec ces visions "leaders" "zaïm" et "rabat el bayet"


      @Xenon :

      Tout dépend de l'heure, mais bon l'option Semsem n'est pas à écarter


      Je trouve ironique que la coquille vide des "Oulemas" (sic) l'ouvre ! Mais bon même avec plusieurs siècles en retard, pourquoi pas


      ../..
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #18
        @benam
        L'association des oulémas veut prendre le train en marche effectivement comme en 54.
        Ils ont été toujours avec le puissant...(pas allah )
        J'ai appris que le courage n 'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre. Nelson Mandela

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        • #19
          Le nom de Bouchachi tourne
          Quand c'est Bouchachi qui le dit.. ça passe mieux



          Dans un entretien avec "Maghreb Emergent" en 2011

          Me Mustapha BOUCHACHI, la CNCD et LES CONCEPTIONS DU CHANGEMENT EN ALGERIE


          Quel contenu donnez-vous au changement pour lequel vous militez ? Vous dites qu’il n’y aura pas de révolution à l’égyptienne ou à la tunisienne, quelle est donc la voie algérienne telle que vous l’envisagez ?

          Je pense qu’il faut être pragmatique : c’est un changement qui peut se faire avec le pouvoir.

          Il faut d’abord que cesse la démocratie de façade, les militaires et les services de sécurité qui gèrent le pays par téléphone il faut que cela cesse d’abord.

          Ensuite, nous savons tous que personne ne souhaite de vacance de pouvoir dans ce pays, nous savons tous à quel point c’est dangereux, surtout dans un pays comme l’Algérie, cela peut nous mener tout droit vers une situation à la libyenne.

          Il faut éviter une vacance du pouvoir dans un pays aussi grand, avec une classe politique non unifiée, un pouvoir qui a travaillé pendant des années sur le principe de diviser pour mieux régner, sans parler de l’avidité des uns et des autres.

          On peut envisager la mise en place d’un gouvernement de coalition nationale qui organise de vraies élections dans lesquelles tout le monde participera.
          Cela peut nous mener vers la démocratie et le départ du système de manière contrôlé.

          C’est la seule vraie sortie.

          Une révolution à la tunisienne, à l’égyptienne ou libyenne je pense que ce n’est pas ce qu’il nous faut, c’est porteur de trop grands dangers.

          Vous voulez donc un nouveau calendrier électoral, avec quelles échéances ?

          Je pense qu’il ne faut pas se précipiter et se donner une année pour le faire. Il nous faut un gouvernement de coalition nationale à la tête duquel un homme ou une femme qui rassemble les Algériens, c’est très important.

          Sans exiger la démission de Abdelaziz Bouteflika ?

          Oui, cela n’est pas nécessaire à mon avis, à partir du moment où il accepte cet accord.

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