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Zaalane dément la dégradation de la santé de Bouteflika

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  • Zaalane dément la dégradation de la santé de Bouteflika

    Abdelaghani Zaalane a démenti les informations relayées par les média suisses à propos de la dégradation de la santé du président Abdelaziz Bouteflika. Dans un entretien accordé au quotidien El Khabar, le directeur de campagne du candidat à la candidature a fait savoir que “Bouteflika est à Genève pour des contrôles médicaux routiniers”.

    Abdelghani Zaalane a affirmé que ces contrôles sont sur le point d’être achevés, affirmant aux Algériens que l’état de santé du président Bouteflika “ne suscite aucune inquiétude”.

    Le directeur de campagne a rajouté que les “rumeurs” ayant fait état de la dégradation de l’état de santé de Bouteflika sont “infondées”.

    Interrogé sur le mouvement populaire, notamment sur le rejet de la lettre du président et son “programme” en cas de victoire, M. Zaalane a répliqué que “personne ne peut mesurer l’accueil fait par les Algériens au contenu de la lettre”. “Chacun mesure les réactions selon ses intérêts”, estime-t-il.

    Il a même affirmé que selon “des échos, de larges couches de la population ont réagi positivement au contenu de cette lettre”.

    Dans le même entretien, il a estimé que si les partis de l’opposition “tiennent réellement à changer le système, ils devront saisir cette opportunité et prendre part à la conférence inclusive” que souhaite organiser le président en cas de victoire le 18 avril prochain.

    M. Zaalane a commenté les retraits en cascade des candidats à la présidentielles, estimant que “chacun est libre”. Il s’est interrogé si le “peuple et l’Algérie tirent profit en cas de violation des échéances constitutionnelles”.


    HuffPost Algérie
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    “Bouteflika est à Genève pour des contrôles médicaux routiniers”
    Des contrôles de routine qui durent depuis 2 semaines !
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      On s'en fiche de la nature des "contrôles" ou des soins prodigués à celui qui fait fonction de président de la République. Il se trouve seulement que depuis avril 2012:

      – Abdelaziz Bouteflika n'a pas été capable de s'adresser aux Algériens sinon par de pseudos lettres dont on ne sait pas qui les a rédigés; s'il était capable d'écrire ou de dicter ces lettres, pourquoi ne nous l'a-t-on pas montré le faire sous les caméras de diverses chaines télé,

      – au cours de ces 7 ans, il a passé plus de 2 ans dans des hôpitaux et centres de soins étrangers, y compris dans des établissements qui relèvent de l'armée française

      – le reste du temps, il l'a passé presque intégralement cloîtré dans sa résidence, probablement sous étroite surveillance médicale et la plupart du temps sous soins intensifs,

      – nous n'avons eu droit, depuis la prétendue campagne électorale de 2014, qu'à son portrait à quoi on a voulu donner la parole par l'intermédiaire de ses oracles.

      Et M. Zaalane et consorts voudraient que cette insulte à la dignité et à l'intelligence des Algériens perdure en restreignant la question à la dénégation de la dégradation de la santé d'Abdelaziz Bouteflika.

      Quelqu'un dans cette situation n'a pas le droit d'avoir l'idée même d'être candidat aux élections présidentielles. Mais plus ils , lui-même et ceux qui se cachent derrière lui pour se sucrer, persistent dans le mépris et l'insulte aux Algériens, plus ils affermissent la détermination de ceux-ci à les dégager définitivement.
      "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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      • #4
        que vont -ils faire de ces milliers de cadres qui devaient servir a représenter bouteflika partout en algérie lors de la campagne ?

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        • #5
          affirmant aux Algériens que l’état de santé du président Bouteflika “ne suscite aucune inquiétude”.
          Encore des mensonges , mais jusqu'à quand
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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