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Cela s’est passé à l’université de Bejaia

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  • Cela s’est passé à l’université de Bejaia

    A Qui de Droit,

    Cela s’est passé à l’université de Bejaia

    Il est bon de savoir que depuis plus de deux ans l’université de Bejaia vie un climat très tendu (absence de communication et de concertation du chef avec ses collaborateurs).Le seule et l’unique responsable de cette tension est le recteur.

    Oui, un recteur qui n’a même pas le Baccalauréat !!! Pire il n’a même pas fréquenté le lycée !!! Incroyable mais vrai !!! Encore, Il s’est retrouvé à la tête d’une grande université depuis maintenant six (06) ans.

    La devise de notre grand chef est :
    · Diviser pour régner !!!
    · Nourrir un climat de suspicion et de méfiance !!!
    · Humilier et intimider les travailleurs de l’université !!!

    Au jour d’aujourd’hui, on constate malheureusement la Démission forcée de beaucoup de professeurs et de maître de conférences (méritant grand respect et considération par rapport à leur savoir, leur savoir faire et leur disponibilité pour servir l’université) de leurs postes de responsabilité.
    · Démission de quatre (4) doyens de faculté
    · Démission de deux (2) vice recteurs
    · Démission du directeur de la Bibliothèque centrale
    · Démission de plusieurs chefs de départements et de chefs de services
    · Limogeage arbitraire du secrétaire générale de l’université
    · Limogeage d’un doyen pendant son absence (alors qu’il était en mission de travail et pour des soins médicaux)

    Actuellement :
    · Le Doyen de la faculté des Sciences de l’ingénieur est démissionnaire
    · Le Doyen de la faculté de Droit et des Sciences Economique est démissionnaire
    · Le vice recteur chargé de la pédagogique est démissionnaire
    · Le nouveau secrétaire générale de l’université fraîchement installé est démissionnaire
    · Beaucoup d’étudiants se trouvent dans une situation (de Blocage et de favoritisme) pour leurs transferts et changements de filières (inquiétude et colère de leurs parents)


    Vu ce constat, un SOS est lancé à toutes celles et tous ceux qui aiment l’Algérie pour mettre un terme à ces pratiques qui n’honorent nullement pas l’université Algérienne.

  • #2
    Peux tu nous dire comment un recteur n'a pas le bac?

    je ne sais pas ce qui se passe actuellemnt dans les universités algérienne, mais à mon époque, les enseignants avaient une grande part de responsabilté de la chute du niveau.

    Pourquoi bloquer une génération à cause d'un recteur, avez vous penser aux étudiants? le probleme ne pouvez pas etre résolu autrement?
    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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    • #3
      azul felah enseignant_beja et merci de traiter un sujet aussi important

      J'ai beaucoup de cousins qui sont a l'université de bejaia, et aucun d'entre eux ne m'a parlé de ces problémes. Mais c'est dans quelle université ??? L'ancienne ou la nouvelle ???
      Ma d lebher asma'aa yeqqar, Tamazight assen a tt-nag°i ... (Quand la mer sera devenue désert, ce jour-là nous refuserons tamazight)

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      • #4
        ow ? c'est vrai ça ? Comment est ce possible quand tous les autres recteurs / rectrices ont le grade de Professeur ?
        L'université de Béjaia a une bonne réputation, elle est même leader dans certains projets : LMD, école doctorale d'informatique etc ..
        Je prends cette info avec beaucoup de réserves !

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        • #5
          le recteur de l'université de bejaia est LE PROFESSEUR Merabet Djoudi .

          Alors L'enseignant de bejaia , on t'entends plus, des cours aux preticuliers ?
          .


          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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          • #6
            C'est un poisson d'avril par avance

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            • #7
              salut
              c'est une vérité le recteur n'a meme pas le BAC et il gere une université et en plus de ca voila autre chose:


              le recteur de l’université de Bejaia a bien abusé de son poste de recteur pour se faire construire une villa sur le dos de l’université. Il a fait de l’influence pour donner des marchés à des entrepreneurs en contrepartie qu’on lui construise sa villa indirectement. Il est à savoir qu’il ya un peu même assez de louche et de l’abus si on vérifie :

              · Le Béton de La clôture de l’université de Targua
              · Le Marbre de l’université d’Aoudaou et de Targua
              · L’acquisition des équipements divers pour l’université
              · La réalisation en cours du laboratoire de recherche à Targua


              Donc ; selon des sources bien informées, des cocottes de béton ainsi que d’autres matériaux sont accordés gracieusement par ces entrepreneurs à monsieur le recteur !!! Mais attend, on à constaté que si Merabet est vigilant est bien conseillé, après les terrassements et la réalisation de la structure du béton armé de sa villa, on change de tactique : ce n’est plus les grands entrepreneurs connus qui réalisent et qui s’affichent avec leurs engins pour bien mener l’opération ; mais plutôt des sous traitants et des petits artisans pour qui il à beaucoup compliqué la vie pour le paiement des travaux qu’on lui à effectué.

              D’autre part concernant le recrutement des agents de sécurité à l’université : l’information circule que beaucoup ont été recruté avec des dessous de table, certains d’entre eux étaient même contraint de payer en Euros, tout en abusant de leur fragilité sociale.

              Après cette introduction, on ne sait pas si on doit dire à monsieur le recteur Mabrouk la villa ? On espère que Le temps nous le dira.

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              • #8
                Arrete de vehicler des intoxications sur l universite de ............. que le recteur n a meme ppas son bac, tu dis n importe quoi, vous avez appris l habitude de denigrer pour le plaisir de denigrer.

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                • #9
                  enseignant_beja

                  dépose plainte, qu'est que t'attend ??

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                  • #10
                    PV de l'Assemblée Générale des Enseignants de l'Université de Béjaia

                    Dès la suspension, et pour certains cas dès la fin du vote de la suspension de la grève qui s'est déroulé le Mardi 19 Septembre 2006, les enseignants en grève de l'université A/ Mira de Béjaïa, ont repris le travail pour rattraper les examens de Juin 2006. Quatre jours après la date de suspension de la grève, les enseignants sont considérés par le recteur comme des enseignants en grève. Les salaires de Juin, Juillet, et même Septembre 2006 restent bloqués, la prime de rendement (de Janvier 2006 à Juin 2006) est toujours non payée, Idem pour les rappels d'échelons, et même les frais de stage, pourtant effectués avant la grève restent impayés. Plus grave, l'administration refuse de délivrer des papiers administratifs (attestation de travail, fiche de paye,…). Les enseignants ne peuvent même pas rembourser leurs médicaments.

                    Une autre situation dramatique concerne la pédagogie : certains responsables persistent et tiennent leurs promesses de zéros collectifs à l'encontre des étudiants dignes qui ont refusé d'être examinés par des casseurs de grève. Au département de français, des chargés de cours ont été remplacés pour effectuer la 2ème EMD, les sujets étant faits par des anonymes, puisque les notes ont été affichées sans signature (absence de cachet et de nom). L'administration a même donné ces notes aux chargés de cours qui ont suspendu la grève pour qu'ils continuent le reste des examens en tenant compte de ces fameuses notes. Au département de TCT les responsables refusent de réorganiser un examen pour les étudiants qui ont demandé à être examinés par leur chargé de cours. Ces étudiants risquent un zéro collectif.

                    Comme en 2002, certains responsables zélés, ont décidé d'harceler les enseignants en grève (Annulation de stage, Blocage pour la promotion au grade de « chargé de cours », …).

                    Nous constatons donc, que notre recteur est contre une reprise sereine des activités pédagogiques à l'université. Nous le tenons pour seul responsable d'une éventuelle compromission de l'année universitaire 2006/2007.

                    Nous appelons les enseignants à ne pas remettre les notes à l'administration et à ne participer à aucune délibération.
                    Nous appelons les enseignants à une journée de protestation (Sans activité pédagogique) le Lundi 02 Octobre 2006 . Une Assemblée Générale est prévue à 10h à l'amphithéâtre 05 de Targa Ouzemour.


                    Béjaia le Mercredi 27 Septembre 2006
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Zwina, plus sérieusement aurais tu des nouvelles pde mars 2007.

                      et au passage je remarque que c'est un probleme de la légalité ou pas de la gréve.
                      .


                      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                      • #12
                        MM. Aissat Kamel et Arabi Mohand, deux syndicalistes du CNES, ont été présentés devant la chambre pénale du tribunal de Béjaïa en date du 02 Janvier 2007. Ceci fait suite à la plainte déposée par le Recteur de l’université de Béjaïa en Juillet 2006. Nos deux collègues devaient être jugés pour atteinte à la liberté de travail. Le procès, à la demande de l’avocat de la section CNES-Université de Bejaia, a été reporté au 16 Janvier 2007. Le conseil syndical rappelle que le Recteur de l’université de Béjaïa a déposé une plainte contre sept (07) enseignants dont cinq (05) délégués du CNES en Juillet 2006, durant la grève ouverte du 13 Mai 2006. En plus des deux enseignants cités, Melles Sbaihi Hakima, Ourari Malika, MM Azzi A/Malek, Bouhbib Hamid et Akrour Mohand Saddek font toujours l’objet de poursuites judiciaires.

                        Après les deux décisions de justice en faveur des coordonnateurs nationaux chargés du centre et de l’ouest, et des arrêtés du conseil d’état en faveur des sections CNES de l’USTHB, de Blida et de Constantine, les enseignantes et enseignants du supérieur attendaient les mêmes mesures en faveur des sept enseignants de l’université de Béjaïa. Le conseil syndical constate avec regret la persistance du harcèlement judiciaire contre les délégués du CNES de Béjaïa.

                        La section CNES de Bejaia appelle les enseignantes et enseignants à se mobiliser pour exiger l’extinction des poursuites judicaires à l’encontre de nos collègues et à faire de la journée du 16 Janvier 2007 une journée d’action et de mobilisation pour défendre les libertés syndicales.
                        Une assemblée générale se tiendra le 09 Janvier 2007 à 10 heures à Targa Ouzemour.

                        Bejaia, le 02 janvier 2007
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #13
                          mais c'est apparament un fléau ce récteur !!! comment le faire sauter de son poste ce mec ?

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