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    CECI n’est pas un article mais une communication émanant de Breaking news. le contenu n’engage que la source.

    Elle a 60 ans aujourd’hui. Farida BESSA, en arabe بسعة , ancienne journaliste à l’ENTV, originaire de Sétif, elle est la directrice de la communication de Bouteflika depuis 2008.

    Son père a quitté Sétif pour Alger peu avant l’indépendance pour chercher du travail mais surtout pour effacer un passé trouble. De son vrai nom, BELHADJ, le Père de Farida BESSA va changer son patronyme pour porter un autre nom, BESSA en l’occurrence, pour selon ses proches, échapper à une éventuelle poursuite, l’homme aurait été harki selon sa propre nièce Belhadj N. Elle affirmera entre autres révélations : « mon père et toute la famille Belhadj restés à Sétif, l’ont renié pour avoir collaboré avec la France.

    Le père de Farida BESSA a séjourné avec sa femme et ses enfants durant quelques années à la « cité montagne », un quartier au sud d’Alger où se tassaient des familles algériennes modestes venues de l’intérieur du pays. De fil en aiguille, l’homme traqué pour des faits de collaboration avec l’ennemi, a pu obtenir par un heureux concours de circonstances, un appartement dans le quartier populaire de Belcourt.

    Farida BESSA a intégré la télévision étatique algérienne, ENTV, en 1984 grâce à un coup de pouce d’un certain Belkacem Hadjadj, alors employé à l’ENTV comme réalisateur. Épris de la jeune femme, l’homme finira par l’épouser et feront ensemble un fils avant de divorcer en 2002. Lire : http://ffs1963.un********/2008/09/20...-farida-bessa/

    En 1994, Farida BESSA quitte l’Algérie pour la Belgique. Dès son arrivée à Bruxelles en compagnie de son fils alors âgé de 7 ans, elle va se rendre au siège du Commissariat Général des Réfugiés et Apatrides pour introduire une demande d’asile. La situation en Algérie aidant, l’ancienne journaliste n’a eu aucun mal à obtenir le statut de réfugiée et apatride, ce qui lui a ouvert le droit pour elle, son mari et son fils, à une aide financière et un logement.

    En 1998, Farida BESSA, obtient la nationalité belge et se rend aussitôt à Alger pour retrouver son mari et sa famille afin d’y passer les vacances d’été. Il faut préciser qu’entre 1994 et 1998, Fardia BESSA était apatride, sans pays et sans passeport et ne pouvait surtout pas se rendre en Algérie puisque c’est sur la base des menaces de mort par les autorités algériennes, qu’elle avait été reconnue comme réfugiée politique.

    Elle a tenté plusieurs petits jobs en Belgique, comme organisatrice de soirées dansantes, ou encore vendeuse d’abonnements de bouquets de télévision arabes au profit de la société égyptienne ART. Elle a travaillé aussi dans une radio locale marocaine.

    Il faut dire que contrairement à d’autres journalistes réfugiés, arrivés en Belgique à la même période, Farida BESSA était venue avec l’idée de s’enrichir comme elle le criait elle-même à qui voulait l’entendre. Mais comme on le dira dans la 2ème partie, c’est en Algérie quelle fera fortune. Mais pour réussir à trouver un bon travail en Belgique, il faut maitriser au moins une des 3 langues officielles, Néerlandais, Français ou Allemand. Farida baragouinait un français appris sur le tas mais arrogante, suffisante, opportuniste, elle ne reculait devant rien.

    Elle a vainement tenté sa chance auprès de l’ambassade d’Algérie avant de s’essayer à la politique. Elle a rejoint un parti politique belge. Le parti avait voulu à l’époque intégrer en son sein des éléments maghrébins, elle en a fait partie mais elle n’a pas pu aller plus loin.

    En 2003, elle obtient un travail à l’ambassade de Belgique à Alger comme attachée commerciale grâce au soutien d’un fonctionnaire à la chambre de commerce belge. Elle dira plus tard à sa collègue algérienne Farida Gacemi que le journalisme n’avait jamais été sa tasse de thé, et qu’elle préférait s’engager dans le monde des affaires.

    En 2005, un communiqué émanant du ministère du commerce belge met fin à ses fonctions pour faute grave. Selon sa propre collègue, elle aurait été vulgairement évincée pour avoir vendu des visas à coup de dizaine de milliers d’euros, faux usage de faux, faux diplômes…

    C’est alors qu’elle se met en contact avec un ancien ministre belge, qu’elle suppliera de la recommander auprès du président Bouteflika. Elle est très vite embauchée, d’abord en tant que directrice de la presse écrite auprès du ministère de la communication avant de rejoindre El Mouradia comme directrice de la communication, puis responsable d’achat de matériel audiovisuel auprès de la présidence, avant d’essayer de prendre la place de HHC, Hamraoui Habib Chawki, ce dernier était à l’époque DG de l’ENTV. La tentative a avorté car Bouteflika avait décidé finalement de maintenir HHC à la tête de l’ENTV.

    Farida BESSA est connue pour avoir un caractère très trempé et un esprit conflictuel, « Aicha Rajel », comme la qualifiaient ses anciens collègues de l’ENTV. Après plusieurs tractations, Saïd bouteflika la maintient au poste de directrice de la communication mais pour se rouler les pouces car la présidente ne communique pas. Elle est incapable de coucher deux lignes sur un papier, en français ou en arabe. On a mis à sa disposition des « larbines » qu’elle mène au bâton.

    Elle ne va pas s’ennuyer bêtement à se pavaner dans son fauteuil car elle va profiter de sa position pour lancer son propre Business.

    Lors de la partie II, de cette série d’articles, que nous consacrerons à l’énigmatique fortune mal acquise de Farida BESSA et sa famille, nous vous dirons comment Mademoiselle Farida est parvenue à placer son frère Djamel à la tête de la CNEP, comment elle a obtenu en 2001 un prêt sans intérêt de 10 milliards de centimes de cette même CNEP, qu’elle n’a jamais remboursé et sans que personne ne se soit souciée de la question de conflit d’intérêt puisque c’est son propre frère qui lui a ouvert la ligne de crédit.

    Nous verrons comment sa sœur ainée, Nadira, est passée de secrétaire dans une caisse sociale à PDG de « BESSA PROMOTION ». Nous saurons qui se cache derrière ce grand empire de l’immobilier de grand standing, ainsi que d’autres révélations liées à la corruption, le recel des avoirs, l’amitié avec des fondations israéliennes telle que Rotary International, etc…

    A suivre….

    CECI n’est pas un article mais une communication émanant de Breaking news. le contenu n’engage que la source.
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

  • #2
    article paru en 2017


    dossier : Comment la directrice de la communication des Bouteflika, Farida Bessa, ses frères et sœurs sont-ils devenus scandaleusement riches ?
    Farida Bessa فريدة بسعة , était journaliste à l’ENTV, jusqu’à 1994 avant de décider de s’offrir des documents de séjour régulier en Belgique sous couvert de menaces terroristes. En tant qu’apatride, elle obtint la nationalité belge après avoir séjourné pendant 3 ans en Belgique. Vous trouverez à la fin de cet article un lien intitulé « La vérité, rien que la vérité sur Farida Bessa », publié en 2008 dans le 1er journal électronique algérien « Algérie-Politique », il retrace le parcours trouble de cette simple journaliste devenue directrice de la communication à El Mouradia.

    Dans un dossier spécial en plusieurs parties, CNP NEWS divulguera, pour la première fois, les méthodes très douteuses de la fratrie des BESSA qui ont permis à Djamel Bessa, de passer de simple comptable à directeur général de la CNEP, à Nadira Bessa de passer de secrétaire dans une caisse sociale à PDG du plus grand groupe immobilier de standing « BESSA PROMOTION ». Nous saurons aussi pourquoi la fondation israélienne « Rotary », active le plus normalement du monde en Algérie via un bureau dirigé par Nadira Bessa, ainsi que d’autres révélations pour comprendre comment une modeste famille nombreuse, brasse aujourd’hui des milliards.

    libertedexpression.jpga Sétifienne se rend en Belgique en 1994/95, prétextant fuir la prison à vie du régime d’Alger et la menace de mort des GIA, ce fut du moins les deux arguments avancés au Commissariat Général des Réfugiés et Apatrides à Bruxelles par l’ancienne journaliste de la télévision étatique algérienne Farida BESSA pour étoffer son dossier de demande de refuge dans le Royaume. La situation en Algérie aidant, sa demande a été jugée recevable. Elle obtient le statut de réfugiée et apatride, et comme le prévoit la convention de Genève, l’ancienne journaliste reçoit le fameux titre de séjour qui va lui permettre de séjourner régulièrement en Belgique, de bénéficier d’une indemnité mensuelle de +/- 800 euros. La réfugiée pouvait voyager librement partout dans le monde, excepté dans son pays d’origine où sa vie serait en danger tout comme lui est déconseillé de s’approcher ou de s’afficher à l’ambassade et au consulat d’Algérie en Belgique.


    Un petit nombre d’autres journalistes algériens, arrivés dans la même période, acquièrent sans difficulté le même statut.


    En 1998, Farida BESSA, entame une procédure de demande de naturalisation, aussitôt la nationalité belge en poche, la journaliste au chômage ne perd pas de temps, elle saute dans le premier avion et la voilà se haler la peau au bord des belles plages du littoral algérois. Exit les pseudos menaces qui l’empêchaient de se rendre dans sa mère patrie ! A son retour de vacances, elle se pointe au siège l’ambassade d’Algérie en Belgique pour se proposer au poste d’attachée de presse, précisant aux responsables de l’époque qu’elle est naturalisée belge et vit depuis toujours dans ce petit Royaume. Malheureusement son passé récent de réfugiée politique la rattrape, de plus, les Algériens ne recrutent jamais des locaux pour ce poste. Tentative avortée mais ce n’était que partie remise puisque en 2002, évincée d’un ancien boulot au Ministère belge des affaires étrangères, obtenu grâce à la décision hâtive des responsables du parti politique de la droite francophone belge, le PRL de Louis Michel, consistant à faire drainer des voix maghrébines par des candidats de la même origine, – IL FAUT RAPPELER ICI QUE BESSA S’ETAIT REELLEMENT PRESENTEE AUX ELECTIONS MAIS N’A JAMAIS ETE ELUE CONTRAIREMENT A CE QU’ELLE AVANCE EN ALGERIE .


    Farida BESSA réitère sa démarche auprès de l’ambassade d’Algérie, mais cette fois s’en était trop, l’attaché de presse en poste depuis plusieurs années, a senti sa place sérieusement menacée et à juste titre, car ayant échos du personnage prêt à tout pour arriver à ses fins…La tentative de Bessa avorte de nouveau. Elle tente alors une autre manœuvre, elle va s’approcher de très près du directeur du département «Algérie» au Ministère du commerce extérieur bruxellois. Le prépensionné, en retraite aujourd’hui, n’a pas résisté à la belle de Sétif, et à la surprise générale, celle qui n’avait pour bagage qu’un semblant de diplôme en journalisme de langue arabe décroché difficilement de l’institut de journalisme d’Alger dans les années quatre-vingts. Celle qui connaissait du commerce extérieur belge à peine l’appellation, celle qui ne savait souffler mot en néerlandais et qui baragouinait un français algérien appris dans le tas, il faut cependant lui reconnaître une qualité, celle de maîtriser à la perfection the body language. Faut-il encore rappeler que la veille encore, elle fuyait Alger pour préserver sa vie et sa liberté de mouvement… elle est désignée au poste d’attachée commerciale et économique à l’ambassade de Belgique à Alger… si, si…, c’est une histoire belge ! IL FAUT SOULIGNER ICI QU’ELLE N’A JAMAIS OBTENU LE STATUT DE DIPLOMATE, un autre mensonge pour montrer qu’elle est importante.


    Arrivée à Alger, elle a une envie irrésistible de rendre visite à ses anciens collègues de l’ENTV.


    L’arrogance dans une main et la suffisance dans l’autre, elle leur lance : « …il vous faut travailler deux ans à l’ENTV pour gagner ce que je gagne en un mois à l’ambassade de Belgique!… En plus je suis belge… elle exhibe sa green card … j’ai trouvé beaucoup de villas ordinaires à Hydra et à El Biar (quartiers huppés de la capitale algérienne) mais je préfère vivre dans une villa avec piscine… elle enchaîne son monologue…..mon salaire est de loin supérieur à celui des ministres algériens, il faut donc chercher plus haut pour me faire mon cercle d’amis… »


    Villa avec piscine, assistante recrutée localement et qui fera fonction par la force des choses car la belle de Sétif vise toujours plus haut, plus fort et plus loin, il faut de l’endurance aussi pour s’approcher du fameux frère de Boutef, pour en faire son meilleur ami, l’hameçon a finalement libéré son appas.


    Certaine d’avoir assuré ses arrières, la belle de Cadiz euh…de Sétif compte désormais dans son cercle d’amis, des diplomates des pays du golfe en poste à Alger, des agents du DRS, des hommes d’affaires algériens très argentés etc… ils sont les bienvenus tous les jeudis soir dans sa villa avec piscine au style mauresque payée par les contribuables belges ! Au menu, moyennant finances, du bon pain, du bon vin et de (…), il y’en avait pour tous les goûts. (…) Si la ‘’faim’’ justifie les moyens, Madame Farida connue pour sa boulimie de l’argent, entendez en euros ou en dollars, ne savait pas se rassasier, mais les bonnes choses ont toujours une fin…En effet, la nouvelle est tombée comme un coup de massue. Le communiqué est on ne peut plus clair….Le ministère du commerce extérieur de la région de Bruxelles capitale a mis fin, en décembre 2005, aux fonctions de Farida BESSA, ancienne journaliste à la télévision étatique algérienne, réfugiée politique en Belgique en 1995. Elle occupait le poste d’attachée commerciale et économique à l’ambassade de Belgique à Alger depuis 2003. Farida BESSA aurait été prise la main dans le sac, visas vendus à coup de dizaine de milliers d’euros, faux usage de faux, faux diplômes… (…) Elle aurait tenu aussi des propos mensongers de grande gravité. L’individu jugé paranoïaque et dangereux, elle laissait croire aux autorités belges qu’elle aurait des liens de famille avec le chef de l’Etat Algérien, elle serait sa cousine et pourrait donc fournir à la Sûreté belge des secrets d’Etat. Et selon des sources concordantes, elle aurait tenu les mêmes propos aux autorités algériennes, agent double quoi ! La Belgique devrait lui retirer la nationalité belge qu’elle avait acquise comme le permet la loi belge aux réfugiés politiques à l’issue de deux ans de résidence seulement sur le territoire du Royaume. Madame Claude euh… Madame Farida, green card oblige, étaient sur le point de demander le refuge politique aux autorités algériennes ! En attendant, elle faisait courir le bruit d’avoir démissionné de son propre chef pour rejoindre le Ministère de la communication… Grâce à Said, elle eu le poste de directeur de la presse. Après avoir occupé le poste de directeur de communication à la présidence, aujourd’hui, elle est toujours à la présidence de la République; comme responsable d’achat du matériel audiovisuel pour l’ENTV après une tentative avortée consistant à faire évincer H.H.C de la tête de l’ENTTV pour prendre sa place ? Car remarquez-le bien ; elle ne perdure jamais dans un poste, incompatibilité d’humeur, esprit conflictuel, incompétence, ambition, trop matrone, elle aime diriger !


    A 48 ans, Bessa est divorcée du réalisateur algérien Mr HADJADJ ( …) Elle a occupé le poste ‘’très convoité’’ au ministère de la communication comme l’a souligné Le soir d’Algérie dans sa rubrique PERISCOOP, ce journal avait consacré à la mythomane de Sétif une série de petits gentils articles pour informer ses lecteurs des activités de cette ancienne touriste (…) en Belgique devenue en Algérie une curieuse VIP. Le journal a depuis été prié de ne plus informer les lecteurs des aventures de mademoiselle Farida.
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    Albert Einstein

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    • #3
      just a question

      pourquoi se focaliser sur cette femme, qu'en il des autres journalistes, de l'ENTV et d'ailleurs, des responsables des entreprises publiques, des directeurs des ministeres, des responsables de institutions de la fonction publique , des officiers de l'armee .......

      tu pense que tout ce beau monde sont recrutés ou promus selon leur compétence et leur intégrité ? CCA l'ami.

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      • #4
        Tu parle déjà de focalisation alors que c'est juste le premier article que j'ai posté sur elle

        en plus pourquoi cette journaliste et pas les autres
        et bien tout simplement a cause de ses liens directe qui l'attache avec les bandits de la famille bouteflika,qui ont ruiné le pays et qui constituent le plus lourd dossier noir de l'histoire algérienne.

        et en fin j'ai déjà posté un topic sur un des plus grands baron des familles de bandits algérien

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=436994


        et celui qui a des articles qui devoilent les auteurs des actes de corruptions de détournement d'argent d'abus de pouvoir il n'à qu'a les poster pour divulgué ces charognards et leur valets
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        • #5
          ...et même le buraliste chez lequel le Said achetait son "chemma" est de conivence avec le systeme ...et doit rendre compte ???....et peut etre même faut-il renouer avec les nationalisations des "hamam" ?
          une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

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          • #6
            En plus: On ne connait pas la fin de l'histoire...

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            • #7
              ...et même le buraliste chez lequel le Said achetait son "chemma" est de conivence avec le systeme ...et doit rendre compte ??
              non le vendeur on laisse tomber mais l'emmirati qui as achetés l'usine de chemma si

              ?....et peut etre même faut-il renouer avec les nationalisations des "hamam" ?

              non celui d'oujda on le laisse on sait jamais que la famille said veuille retourné chez elle.
              "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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              • #8
                et même le buraliste chez lequel le Said achetait son "chemma" est de conivence avec le systeme ...et doit rendre compte ???.
                le buraliste doit être honorer par l'ensemble de la population car grâce à lui l'estomac de Said est esquinté pour occupé son esprit et passé plus du temps à traîné dans les hôpitaux de Paris et l'éloigné de trésor d'Alger
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                Albert Einstein

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                • #9
                  Son père a quitté Sétif pour Alger peu avant l’indépendance pour chercher du travail mais surtout pour effacer un passé trouble. l’homme aurait été harki selon sa propre nièce Belhadj N. Elle affirmera entre autres révélations : « mon père et toute la famille Belhadj restés à Sétif, l’ont renié pour avoir collaboré avec la France.
                  .

                  Le résumé de son histoire !!

                  Tel père , telle fille ( héritage ; le harkisme )
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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