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Ali Benflis : Bouteflika voulait offrir la souveraineté du sous-sol algérien aux États-Unis

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  • #31
    en fait ,on voulait faire du sous sol algérien le pendant du sous sol américain.


    les américains ont fait miroiter aux algériens des milliards d'investissements .


    de nos jours un américain lambda peut investir et détenir un champ pétrolier ou gazier .(on en voit partout aux usa, ces machines a extraire le pétrole ,souvent des petits puits)
    l'avantage c'est que le privé peut détenir ces petits champs et extraire le pétrole qui n'intéresse pas les grandes compagnies car peu ou pas rentable.


    souvent produisant qq dizaines ou centaines de barils par jour.c'est pas grand chose mais si les 1200 puits algériens ( dont 90% sont dans ce cas) se mettent a produire ça finit par compter a la fin.

    donc je comprend que bouteflika fut intéressé a l'époque.surtout que le baril était en hausse constante .


    si cette loi était passée, certes l'algérie aurait perdu de sa souveraineté mais en échange le pays produirait plus de pétrole.


    je pense que l'idée est bonne mais pas maintenant.il faut attendre que les plus grands gisements du pays se tarissent.

    je pense qu'a l'avenir on verra des algériens détenir des puits de pétrole.

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    • #32
      Okhayam

      Chaque président a sa loi des hydrocarbures !
      C'est la 1ère chose que le pouvoir réecrit avant d'installer son homme !!

      En ce qui concerne.. la loi de Chakib Khalil.. personne ne l'a vu !!
      Ni au parlement, ni dans les institutions, ni dans la presse !
      L'idée de Chakib Khalil était de partager notre sous-sol 50/50 avec les américians..
      A eux de ramener les capitaux et d'ériger les infrastructures d'exploitation.. et à nous de fournir le terrain !
      Un peu à l'image des pays du Golfe je pense..

      Perso, j'étais farouchement contre cette stratégie à l'époque.. mais je le regrette.. lol
      Il n'est pas trop tard cela dit.. nous pouvons y remédier !!

      Ce pays a besoin des américains s'il veut s'épanouir !.. Je ne veux plus mourir debout !!!
      Je propose de couper les relations diplomatiques avec l'Iran, de bombarder le Yemen, de nous désengager du Polisario et de vendre la cause palestinienne au plus offrant et de rejoindre l'OTAN

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      • #33
        de toute façon un puit qui produit 100 baril par jour ça n'intéresse pas les grandes compagnies. surtout s'il faut investir dans les installations.


        au contraire d'un petit qui peut faire des économies et rendre ce petit puit rentable.

        aux usa on a un tas de mini compagnies qui forent tout le pays, jusqu'a la dernière goute de pétrole.



        et aujourd'hui ces milliers de mini compagnies investissent en masse dans le gaz de schiste. c'est en partie cela qui fait que le schiste des usa est rentable.

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        • #34
          bien sur capo l'idée est bonne . sans les américains on ne pourra pas développer le gaz de schiste et tous ces petits puits de pétrole et gaz non rentables.

          eux savent les rendre justement rentables.(nouvelles techniques,plus bas salaires comparé aux majors etc )

          c'est leurs milliers de petites compagnies qui sont a l'origine de ce nouvel âge d'or du gaz de schiste.

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          • #35
            hihihi.. je ne suis pas né de la dernière pluie.. lol
            tu ne m’entraîneras pas dans le sujet du schiste

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            • #36
              why capo ?
              l'algérie devra s'y mettre a l'avenir . n'oublie pas que les techniques d'extraction évoluent vite. dans 10/15 ans peut-être qu'on aura même plus besoin d'eau pour fracturer la roche .

              ou plutôt de beaucoup moins d'eau .


              un puit c'est 12/15 millions de litres . si demain on passe a 1 million ... ça change tout.

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              • #37
                Capo @

                C est khayam et non Okhayam ( sauf si tu aimes le tguenbir lá tu tombe sur la bonne porte hhhh )

                c est ca le vrai probléme c est qu on parle de cette fameuse sans la connaitre ce qui nous oriente vers differentes interprétations . Ce que moi j ai entendu parler de cette loi , c etait l ouverture de 20% du capital de la Sonatrach aux investisseurs americains et une eventuelle introduction de la Sonatrach á la bourse de New York . le president bresilien Lula avait fait la méme chose avec la compagnie petroliere bresilienne Pétrobra et la valeur de Petrobras avait quadruplé en espace de 3 ans .

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                • #38
                  khayamm

                  Désolé pour le pseudo !.. j'ai cru voir un autre FAiste.. lol

                  Voilà !.. quelque chose du genre !
                  Nous avons les moyens de devenir aussi développés que les pays du Golfe.. mais Allah Ghaleb.. la révolution nous colle comme un boulet.. et rares sont les pays à vouloir nous sortir du trou !.. Et de ce fait, on ne pourra pas dire que Chakib Khelil n'aurait essayé

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                  • #39
                    - QUAND LA PRIVATISATION FRÔLA SONATRACH

                    Extrait de Economie algérienne : le développement national contrarié Editions Casbah Alger 2012 pp.168-178

                    A tout seigneur, tout honneur, dans le registre de la privatisation, Sonatrach mérite une rétrospective sur les années qui faillirent la transformer en une société nationale comme les autres, privatisable.
                    Est-elle réellement à vendre ? Cette interrogation qui taraude l’opinion publique[1], en ce tout début de l’an 2000, est incroyable, elle concerne Sonatrach, la douzième compagnie pétrolière mondiale. C’est le coffre-fort de l’Algérie : 95% de ses recettes devises et 60% de ses rentrées budgétaires. Son capital, « inaliénable, insaisissable et incessible », est entièrement détenu par l’Etat. On comprend, sans peine, qu’elle pouvait difficilement passer inaperçue, la petite phrase de Chakib Khelil, le ministre de l’Energie et des Mines, que rapportait comme une confidence une journaliste de l’Agence Algérienne d’Information (AAI) ce 30 janvier 2000 et par laquelle il faisait connaître publiquement que « la Sonatrach pourrait vendre une partie de ses actions pour trouver de l’argent afin de développer ses activités internationales ».

                    Ouvrir le capital du « joyau de la République », ce n’était pourtant pas le sujet inscrit en priorité dans l’agenda du ministre, ce jour-là. Il est à l’Hôtel Aurassi pour signer la convention de prêt (98 millions de dollars) accordé par le FADES à la Sonelgaz. Est-ce, alors, à cette privatisation qui ne dit pas son nom que faisait déjà allusion le ministre, quelques semaines plus tôt, le 11 janvier, lors de la cérémonie d’installation de Abdelhak Bouhafs en qualité de PDG de l’entreprise, lorsqu’il évoquait « les nouveaux défis de la phase qui s’ouvre, ceux de l’adaptation à l’économie de marché, un marché ouvert et compétitif dans le cadre de la mondialisation, exigeant de nouvelles compétences et de nouveaux instruments de financement".-


                    Raina

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