les Egyptiens avaient obtenus le départ de Moubarak et des élections libres et transparentes
ils n'empêchent que le véritable cœur du pouvoir etait toujours vivant et a ensuite démarré un scénario pré établi pour reprendre tous ses droits ( avec l'aide des monarchies du golf)
en Tunisie , ils ont aussi obtenus des élections libres mais les anciens clients du régime se sont réformés dans un nouveau parti , nidaa tounes, et bloquent le pays depuis , même si la situation est infiniment moins grave qu'en Egypte
en Algérie ,le phénomène est semblable, il y a énormément de personne dans l'armée , l'économie, l'administration , la diplomatie, les services de sécurités qui sont liés par des réseaux d'intérêts ....et qui sont l'État
on voit bien que Bouteflika ou pas , les logiques du système ne changent pas
tous ce beau monde compte bien gagner le bras de fer avec la rue ,peut importe le temps que ça prendra
on arrive aux limites du concept de " révolution pacifique"
le système peut s'offrir le luxe de sacrifier quelques têtes parmi les plus visibles , comme au Soudan en ce moment ,mais ce type de revolte ne modifie pas en profondeur l'architecture du pouvoir
ils n'empêchent que le véritable cœur du pouvoir etait toujours vivant et a ensuite démarré un scénario pré établi pour reprendre tous ses droits ( avec l'aide des monarchies du golf)
en Tunisie , ils ont aussi obtenus des élections libres mais les anciens clients du régime se sont réformés dans un nouveau parti , nidaa tounes, et bloquent le pays depuis , même si la situation est infiniment moins grave qu'en Egypte
en Algérie ,le phénomène est semblable, il y a énormément de personne dans l'armée , l'économie, l'administration , la diplomatie, les services de sécurités qui sont liés par des réseaux d'intérêts ....et qui sont l'État
on voit bien que Bouteflika ou pas , les logiques du système ne changent pas
tous ce beau monde compte bien gagner le bras de fer avec la rue ,peut importe le temps que ça prendra
on arrive aux limites du concept de " révolution pacifique"
le système peut s'offrir le luxe de sacrifier quelques têtes parmi les plus visibles , comme au Soudan en ce moment ,mais ce type de revolte ne modifie pas en profondeur l'architecture du pouvoir
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