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L’arrestation de Rebrab : un coup dur pour le clan de Toufik

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  • Saha traks,
    Envoyé par traks
    je crois que cette révolution est morte née
    Bien au contraire, tu te rappel le 22 février ? TOUT le monde avait cette boule au ventre craignant le pire, mais non seulement il n y a rien eu, mais il y a eu le meilleur. et ce ne fut pas un coup de hasard, ça a été rédité et confirmé tout au long de la révolte. ça ne peut s'éxpliquer que par une conscience et un génie dans le fond qui mue le tout.

    Il y a tant à écrire sur cette révolution, mais la fin ne peut qu'être une: du coté de ce Peuple.

    Envoyé par Phileas
    Je crains qui si cette révolution n'aboutit pas ... y aura de très grands changements "graves" dans le futur.
    Quoi de plus grave qu'on aurait pas vécu encore et intégré dans nos gene et developpé une immunité contre ? le dernier demi siecle montre que la flamme ne s'est jamais étteinte malgré tout, quoiqu'il arriverait de "grave" on le subira comme les autres et ça nous renforcera pour la prochaine révolution, nos enfants ou petits enfants continueront. ça, c'est le pire cas de figure et je pense que les algériens ne sont pas avares quand il s'agit de l'addition pour goûter à leur liberté, mais je ne pense vraiment pas qu'on en sera là.
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    • Rappel à ceux qui pleurent Rebrab..
      Le premier scandale qui a éclaboussé ce dernier est celui des Panama papers.. Et Ce n'était pas une enquête algérienne...
      Son arrestation n'est peut être pas due à une volonté de rendre justice, mais il ne faut pas s'immiscer à mon avis dans la lutte des clans.
      Il serait préférable de rester unis et d'exiger que soit jugés aussi Said Bouteflika, Chakib Khelil et les autres.
      et tous les oligarques a tous les niveaux.

      mais surtout restons concentrés sur l'essentiel - taghyir el nidham-.

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      • Lire et méditer :



        De quelle justice accouche la révolution du sourire?


        par Kharroubi Habib


        Depuis que le chef de l'état-major de l'armée a déclaré lundi dernier « la nécessité pour la justice de poursuivre les individus impliqués dans des affaires de corruption» et qu'il attend que les instances judiciaires «accélèrent la cadence du traitement des différents dossiers concernant certaines personnes ayant bénéficié indûment de crédits estimés à des milliers de milliards causant préjudice au Trésor public et dilapidant l'argent du peuple», les Algériens ont compris qu'une opération « mains propres » allait être déclenchée et ont tôt fait de supputer sur qui parmi la faune de prédateurs ayant sévi dans le pays allait en faire les frais. Ils n'ont pas eu à attendre longtemps pour en avoir la réponse.

        La justice pressée par l'homme fort du pays a en effet frappé vite et fort en convoquant des personnages politiques ou d'affaires qui ont été des piliers du régime Bouteflika et paraissaient intouchables du fait des protections qui leur sont prêtées et conservant encore la capacité de les prémunir de toutes atteintes. Voir Ahmed Ouyahia, Djamel Ould Abbès, une flopée d'autres dignitaires du régime ainsi que des oligarques, il y a peu arrogants et sûrs de l'impunité, être convoqués ou embastillés par la justice comme des citoyens lambdas est pour ces derniers un spectacle abasourdissant qu'ils commentent avec délectation.

        Si cela est devenu possible, c'est à l'extraordinaire révolution du sourire qui a changé la donne dans le pays qu'on le doit. Mais pour que cette révolution reste sublime, elle ne doit pas permettre que la soif de justice des Algériens soit exploitée à des fins de règlement de comptes. S'il n'est pas question d'impunité pour quiconque qui a été corrompu parmi les affidés du régime Bouteflika ou a pris part à l'immonde prédation à laquelle a donné lieu ce régime, il est néanmoins impératif que la justice traite le dossier de chacun dans le respect de l'Etat de droit.

        Les millions d'Algériens qui ont rendu possible la révolution du sourire mettent en avant la revendication prioritaire pour eux d'avoir une justice indépendante ne fonctionnant pas aux coups de fil ordonnateurs ou à l'injonction des détenteurs du pouvoir.

        L'opération de salubrité qu'attendent d'elle les Algériens, la justice doit la mener avec rigueur et une équité non entachée de parti pris sur à qui demander des comptes. La révolution du sourire donne l'occasion aux magistrats du pays de prouver qu'ils sont eux aussi déterminés à rompre avec la justice inique qui a été l'un des piliers du régime corrompu et prédateur qu'ils ont servi pendant des décennies.


        Le Quotidien d'Oran
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • Bonjour Iska

          Merci pour le texte

          ils sont entrain de faire partir tous les équilibrés pour continuer leur œuvre morbide

          qui va vouloir protéger ce pays ?

          Commentaire


          • Le PDG de Cevital Issad Rebrab placé sous mandat de dépôt

            avril 23, 2019 - 2:59







            Le président-directeur général du groupe Cevital, Issad Rebrab, qui a comparu lundi après-midi devant le procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger pour être auditionné dans le cadre d’une enquête anticorruption, a été placé sous mandat de dépôt.

            Commentaire


            • Bonjour Aloha


              Voici un artile de El Watan .

              Je ne vais pas créer un autre topic, il vaut mieux rester dans celui-ci, cela évitera d'être écartelé .



              Rebrab-Kouninef : Pourquoi l’amalgame ?

              23 AVRIL 2019 À 10 H 25 MIN


              Le PDG du groupe Cevital, Issad Rebrab, a été entendu hier à nouveau par la section de recherches de la brigade de gendarmerie de Bab J’did, à Alger, avant d’être conduit dans l’après-midi, dans une opération de tapage médiatique spectaculaire, dans un fourgon cellulaire au tribunal de Sidi M’hamed pour comparaître devant le procureur de la République.

              Aucune information n’a filtré sur la teneur de cette affaire qui défraie depuis la chronique. Mais si la justice n’a pour l’instant soufflé mot sur ce qui peut être reproché à l’homme d’affaires, les médias publics n’ont cessé durant toute la journée de donner les motifs de son audition sans «sourcer» leurs informations, à commencer par l’EPTV qui reprenait une dépêche de l’agence de presse officielle, l’APS, qui elle aussi n’avait adossé ses informations à aucune source, comme elle avait l’habitude de le faire.

              Ainsi ils affirmaient qu’Issad Rebrab a été entendu dans «le cadre d’une enquête anticorruption». Selon ces médias publics, il «devra répondre des chefs d’accusation de ‘‘fausse déclaration relative aux transferts illicites de capitaux de et vers l’étranger’’, ‘‘surfacturation d’équipements importés’’ et ‘‘importation de matériels d’occasion’’ alors qu’il avait bénéficié d’avantages douaniers, fiscaux et bancaires».

              De quoi s’agit-il en fait ? Ces vagues «chefs d’accusation» ne renseignent pas l’opinion publique sur l’affaire. La direction de communication d’Issad Rebrab, qui a démenti hier dans la matinée son arrestation, a affirmé que le patron de Cevital s’est rendu lui-même à Bab J’did et a été entendu dans le cadre des blocages du projet d’EvCon Industry. «Nous poursuivrons l’étude de l’affaire de nos équipements retenus au port d’Alger depuis juin 2018», assurait le patron de Cevital dans une déclaration partagée sur les réseaux sociaux, Twitter et Facebook.



              S’agit-il du cas des deux presses de type DL1300A5 qui sont bloquées à Alger, depuis plusieurs mois ? Issad Rebrab, qui a déjà communiqué sur le sujet, avait déclaré que l’opération s’était faite dans les règles et accusait même ce qu’il appelait «la main invisible» d’empêcher la réalisation de ses projets en Algérie.

              Comme pour les équipements d’EvCon Industry bloqués au port sec de Boudouaou, où la justice avait fait deux contre-expertises favorables au groupe Cevital, avant qu’elle ne décide de s’appuyer sur la première qui a été très contestée, le PDG du groupe Cevital s’est également défendu des «soupçons» soulevés à l’époque par les services des Douanes. Il était, disait-il, près à fournir tous les documents attestant de la qualité des équipements qu’il avait importés.

              Si «les chefs d’accusation» portent sur ce dossier, pourquoi alors la justice n’avait-elle pas fonctionné à cette époque-là ? Quel objectif veut-on atteindre en coïncidant la convocation du PDG du groupe Cevital, premier exportateur après le groupe Sonatrach, avec l’arrestation des frères Kouninef ? Le tapage médiatique qui a entouré hier la convocation d’Issad Rebrab et l’épais brouillard qui la couvre peuvent donner lieu à mille et une lectures.

              Le patron du groupe Cevital, qui ne manquait pas de se plaindre du blocage de ses projets à Béjaïa et à Alger, se retrouve subitement dans une tempête judiciaire, alors qu’il est l’un des rares hommes d’affaires à ne pas avoir figuré sur la liste de ceux qui ont été frappés par une interdiction de sortie du territoire national (ISTN) !

              Beaucoup de questions se posent sur cette «histoire» dont l’opinion publique ne connaît ni les tenants ni les aboutissants. Même l’affaire Samha, dont la presse avait fait l’écho il y a quelques mois, n’était pas à même de conduire le patron de Cevital à cette situation.

              Des sources douanières, citées à l’époque par certains journaux, lui réclamaient tout au plus une amende pour avoir, disaient-ils, «revendu en l’état les équipements épargnés par l’incendie qui avait ravagé son usine Samha (Sumsung) de Sétif».

              Ces collaborateurs affirment que le patron de Cevital veillait au grain pour être en règle dans la réalisation de ses projets, parce qu’il se savait dans le collimateur du régime, qui ne lui aurait pardonné aucun écart.

              L’opinion attend certainement de la transparence dans le traitement de ces affaires.
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • (Il parait que) devant les juges d'instruction les daltons ont invoqué, pour se tirer d'affaire, leur nationalité. rabrab cevital a dit qu'il est français, haddad a réclamé qu'il était sujet de sa majesté la reine des british, et les frères kouninef ont argué de leur nationalité suisse. çà doit, à leurs yeux, les exclure des poursuites judiciaires pour des crimes commis contre le peuple algérien, en Algérie.
                Drôles d'hurluberlus !!

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