♦Le général Mediène a tout fait pour empêcher l’émergence d'un état viable dans ce pays, et il est victime de son non état, ce qui n'est que justice.
• Ses adversaires du moment, et même ses camarades d'infortune, sont eux même inscrit dans cette logique de non état, l'idée même d’état échappant totalement à leur vision du monde.
• Tout se passe dans une logique Kafkaïenne, ou ce qui est reproché aux uns, participe de la même vision tordue qui permet aux autres de pavoiser, soit l’empêchement par tous moyens de l’émergence d'un état digne de ce nom dans ce pays.
• Or le problème n'est pas dans la forme d’état qu'on veut voir émerger, et les alliances et accointances supposées des uns et des autres.
• Mais dans le fait, que ce qui rassemble tout ce beau monde, est justement ce qui les fait s'entredéchirer, au nom d'une logique, relevant plus de la flibuste à court terme que de la naissance d'un état à moyen terme.
• L'autre drame tout aussi kafkaïen des partisans de l'une ou l'autre confrérie de la cote, est dans le fait que leurs mentors et cibles sont tous des héritages d'une époque oubliée par le monde, et ayant un pied dans la tombe.
• Le gros problème étant que même en alternative, une bonne partie de la société, ne trouve que des archives pour mener le pays à bon port, et encore des archives peu consensuelles, pour ne pas dire conflictuelles.
• Ce qui est encore plus dramatique, étant que toutes les chapelles, écoles politiques, et confréries ésotériques, n'ont strictement aucune projection sérieuse dans aucun domaine précis, autre que celui de la nuisance contre les supposés ennemis, et la course vers une supposée prédominance.
• Mais le gros espoir dans tout ça, est dans le fait que quelque soient les enfumages, les règles générales d'un état digne de ce nom, sont dans la tete de la plupart des jeunes, et les besoins immédiats et à long terme de la société, bien appréhendés par le gros des Algériens.
• Et comme une mafia ne peut être que cachée dans les rouages d'un système, et jamais se prévaloir d'une quelconque notoriété ou légitimité pour ses actes et projets.
• Ceux qui croient à la chute d'un gang, vaincu par un autre plus futé, en seront pour leur frais.
• Notre époque ne tolère que les états sérieux, et les autres sont relégués au rang d'ectoplasmes sur la scène de l'histoire quand ils arrivent à leurs fins, et tout simplement effacés d'un coup de gomme quand ils ratent leur coup.
• Il Appartient aux Algériens, de construire un état, ou chacun trouvera sa place, et ou la fuite vers des cieux plus cléments ne sera pas le lot de la jeunesse.
• En évitant de s'inscrire dans des agendas et luttes de personnages archaïques, sans vision et tous admissibles à un sommeil éternel, avant d’entraîner le pays dans leur sillage.
• La seule légitimité dont on peut se prévaloir en notre siècle étant celle des projets, quiconque n'en pas de sérieux, ne peut se prévaloir des échecs des autres et encore moins de ses capacités de nuisance temporaires.
• Les états se pèsent au PIB, et les PIB, se calculent à la transparence et à la démocratie régnant dans un pays,
• Et ce n'est pas un hasard si les éternels derniers de la classe, sont tous gouvernés par ces attelages de non droit, ou les nuisances des uns, font les joies éphémères des autres, et le malheur de tous.
• Et hors de toute diversion passagère, le gros des jeunes rêvent d'un niveau de vie décent, d'une vie libre, joyeuse et productive, qui sont toutes les résultantes d'un état de droit, efficace et transparent.
• Mais surtout d'une croissance effective, et pas d'une misère collective.
• Surtout qu'ils ont goûté aux bienfaits illusoires d'une croissance fictive, avant que les résultats du règne de cette coalition de nuisances que sont les centre de décision multiples de ce semblant d’état,
n'arrivent à réveiller le dernier des imbéciles sur les méfaits du patriarcat et des faux patriarches s'alliant pour le Butin, et entre-déchirant pour le même Butin, qui ne vaut rien dans les faits.
• La démocratie et la libre entreprise, sont les piliers des sociétés modernes, et le droit l'unique fondement d'un état moderne.
• Et pour savoir de quel genre d’états rêvent les jeunes, les discours sont de trop, il suffit de voir ou vont leurs embarcations de fortune, et toute autre fausse piste illusoire ne fera qu'en multiplier le nombre.
• Les idéologies des années 80, ayant fait long feu, et leurs adeptes eux même installés dans des pays aux antipodes de ce qu'ils promettaient au départ, et qu'ils ne projettent plus aujourd'hui.
• Et tout autre projet est voué à l’Échec, surtout s'il porte les contours d'un Sissi Bis, l'original étant lui même admissible à la faillite pour peu que ses mentors lui ferment le robinet. ✍ Ferhat Ait Ali / 06 Mai 2019
• Ses adversaires du moment, et même ses camarades d'infortune, sont eux même inscrit dans cette logique de non état, l'idée même d’état échappant totalement à leur vision du monde.
• Tout se passe dans une logique Kafkaïenne, ou ce qui est reproché aux uns, participe de la même vision tordue qui permet aux autres de pavoiser, soit l’empêchement par tous moyens de l’émergence d'un état digne de ce nom dans ce pays.
• Or le problème n'est pas dans la forme d’état qu'on veut voir émerger, et les alliances et accointances supposées des uns et des autres.
• Mais dans le fait, que ce qui rassemble tout ce beau monde, est justement ce qui les fait s'entredéchirer, au nom d'une logique, relevant plus de la flibuste à court terme que de la naissance d'un état à moyen terme.
• L'autre drame tout aussi kafkaïen des partisans de l'une ou l'autre confrérie de la cote, est dans le fait que leurs mentors et cibles sont tous des héritages d'une époque oubliée par le monde, et ayant un pied dans la tombe.
• Le gros problème étant que même en alternative, une bonne partie de la société, ne trouve que des archives pour mener le pays à bon port, et encore des archives peu consensuelles, pour ne pas dire conflictuelles.
• Ce qui est encore plus dramatique, étant que toutes les chapelles, écoles politiques, et confréries ésotériques, n'ont strictement aucune projection sérieuse dans aucun domaine précis, autre que celui de la nuisance contre les supposés ennemis, et la course vers une supposée prédominance.
• Mais le gros espoir dans tout ça, est dans le fait que quelque soient les enfumages, les règles générales d'un état digne de ce nom, sont dans la tete de la plupart des jeunes, et les besoins immédiats et à long terme de la société, bien appréhendés par le gros des Algériens.
• Et comme une mafia ne peut être que cachée dans les rouages d'un système, et jamais se prévaloir d'une quelconque notoriété ou légitimité pour ses actes et projets.
• Ceux qui croient à la chute d'un gang, vaincu par un autre plus futé, en seront pour leur frais.
• Notre époque ne tolère que les états sérieux, et les autres sont relégués au rang d'ectoplasmes sur la scène de l'histoire quand ils arrivent à leurs fins, et tout simplement effacés d'un coup de gomme quand ils ratent leur coup.
• Il Appartient aux Algériens, de construire un état, ou chacun trouvera sa place, et ou la fuite vers des cieux plus cléments ne sera pas le lot de la jeunesse.
• En évitant de s'inscrire dans des agendas et luttes de personnages archaïques, sans vision et tous admissibles à un sommeil éternel, avant d’entraîner le pays dans leur sillage.
• La seule légitimité dont on peut se prévaloir en notre siècle étant celle des projets, quiconque n'en pas de sérieux, ne peut se prévaloir des échecs des autres et encore moins de ses capacités de nuisance temporaires.
• Les états se pèsent au PIB, et les PIB, se calculent à la transparence et à la démocratie régnant dans un pays,
• Et ce n'est pas un hasard si les éternels derniers de la classe, sont tous gouvernés par ces attelages de non droit, ou les nuisances des uns, font les joies éphémères des autres, et le malheur de tous.
• Et hors de toute diversion passagère, le gros des jeunes rêvent d'un niveau de vie décent, d'une vie libre, joyeuse et productive, qui sont toutes les résultantes d'un état de droit, efficace et transparent.
• Mais surtout d'une croissance effective, et pas d'une misère collective.
• Surtout qu'ils ont goûté aux bienfaits illusoires d'une croissance fictive, avant que les résultats du règne de cette coalition de nuisances que sont les centre de décision multiples de ce semblant d’état,
n'arrivent à réveiller le dernier des imbéciles sur les méfaits du patriarcat et des faux patriarches s'alliant pour le Butin, et entre-déchirant pour le même Butin, qui ne vaut rien dans les faits.
• La démocratie et la libre entreprise, sont les piliers des sociétés modernes, et le droit l'unique fondement d'un état moderne.
• Et pour savoir de quel genre d’états rêvent les jeunes, les discours sont de trop, il suffit de voir ou vont leurs embarcations de fortune, et toute autre fausse piste illusoire ne fera qu'en multiplier le nombre.
• Les idéologies des années 80, ayant fait long feu, et leurs adeptes eux même installés dans des pays aux antipodes de ce qu'ils promettaient au départ, et qu'ils ne projettent plus aujourd'hui.
• Et tout autre projet est voué à l’Échec, surtout s'il porte les contours d'un Sissi Bis, l'original étant lui même admissible à la faillite pour peu que ses mentors lui ferment le robinet. ✍ Ferhat Ait Ali / 06 Mai 2019
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