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Dernière version de propagande contre le hirak pour Sissi l'impératrice

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  • Dernière version de propagande contre le hirak pour Sissi l'impératrice

    FB - Sidahmed Zabana - 08/05/2019

    En 1953, Mossadegh arriva à la tête du gouvernement bénéficiant du soutien populaire. Ses premières décisions furent de nationaliser les sociétés pétrolières, gazières et minières et d'expulser les sociétés anglo-saxonnes. Qu'a fait l'intelligence de ces pays?Ils ont acheté des opposants et des religieux en qui les gens de foi avaient confiance. Ils ont créé les journaux, les stations de radio et lancé une campagne acharnée contre Mossadegh, répandant des mensonges, fabriquant des informations et allant même jusqu'à l'accuser d'athéisme. Le peuple lui-même a organisé de grandes manifestations qui faisait tomber Mossadegh et finit par être incarcéré. Les entreprises franco-britanniques sont revenues au pillage et au vol. Les corrompus sont revenus au pouvoir. Après 50 ans, la CIA a publié tous les documents.
    Ce qui se passe en Algérie, c'est la direction de l'armée menant une grande guerre contre la France et l’état profond.Le plan élaboré par la France - Saïd, Toufik et ses clients est comme suit:
    1 - Déclaration de la formation du Conseil de la révolution par les services de renseignement français en Belgique et menacer l'armée qu'en cas d'annonce d'une transition présidée par Zeroual et El Ibrahimi ce conseil annonce la mise en place d'un gouvernement qui sera tout de suite reconnu par la France et les pays européens.
    2 - Le lancement d'une campagne de subversion par les marionnettes de Toufik, Louisa Hanoun journaux laïcs Liberté El Magharibia .. Zeitout Hamir FR .. Etc. et concentrer leurs aboiements contre El Gaid Saleh et le but n’est pas El Gaid mais la division de l’armée pour répéter le scénario du Venezuela ...
    Ne soyez pas une arme entre les mains de l'ennemi, et vous poignardez des hommes honorables qui mènent la pire guerre contre la France. et vous serez la cause de son retour par l'état profond et les hommes corrompus qui régneront en Algérie: soyez conscients pour l'avenir de vos enfants.
    Que faire: Nous sommes tous des soldats de l'Armée Nationale Populaire et adhérons en même temps au hirak et tenons à nos revendications. Les B partiront et on organisera des élections sous la surveillance de personnes dignes de confiance et intègre.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Voilà qu'on traite tous les algeriens et activistes contre la dictature du Sissi l'impératrice, d'agents au service de la France. Au-delà de la comparaison historique erronée, puisque Mossadegh fut un homme politique éprouvé et expérimenté qui fut renversé par un coup d'état militaire, Sissi l'impératrice est non seulement un des responsables et défenseurs les plus actifs du 5ieme mandat, avec un parent qui prend la tête de la campagne après les déclarations de Sellal quant à l'obligation pour le candidat de déposer sa candidature, mais il en a été de même pour le 4ieme mandat au moment où les réseaux de l'ancien DRS cherchaient un remplaçant à Bouteflika.

    Le plus absurde dans cette histoire, c'est qu'à travers ses alliés Emiratis, où il s'est déplacé à 2 reprises en plein tourment du Hirak, la stratégie française dans la région trouve un allié de poids, déjà avec Haftar et Sissi le pharaon, mais aussi à travers les vieux réseaux de la France Afrique qui préfèrent un islamiste vieillissant et malade que toute solution démocratique qui puisse redonner un nouvel élan à ce pays, et surtout risque de contaminer de grands alliés de cette France Afrique qui voient un régime démocratique en Algerie, issue d'une révolution Pacifique, comme un danger de mort pour les protectorats qu'ils ont toujours été...
    Dernière modification par ott, 08 mai 2019, 08h24.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Double-jeu de la France : Le Monde confirme le constat d’Algerie Patriotique
      AP - mai 8, 2019 - 7:11 Salim Fethi 0 Commentaire
      Macron Le Monde
      Emmanuel Macron reçu par Abdelkader Bensalah à Alger en décembre 2017.
      Par Karim B. – Une chronique signée Thomas Hofnung parue dans les colonnes du journal français Le Monde confirme le double-jeu de la France «en Libye comme au Mali». Un état de fait qui s’applique également – et surtout – à l’Algérie, comme nous le relevions dans un précédent article. Le chroniqueur du Monde souligne qu’«à Tripoli et Bamako, Paris soutient les autorités légitimes tout en apportant son aide à des forces rivales».



      Comme en Algérie, où des manifestations pacifiques pour le changement de régime ont lieu depuis le 22 février dernier, en Libye, les nombreux opposants à l’homme-lige de l’Elysée, Khalifa Haftar, «conspuent la France, accusée de duplicité». «On pourrait considérer que Paris est un bouc émissaire facile pour les partisans du gouvernement de Fayez Al-Sarraj. Ce serait toutefois négliger qu’ils pointent peut-être là une attitude que la France a déjà adoptée ailleurs. De fait, comme au Mali, Paris joue un double-jeu en Libye, et cela depuis des années», note le chroniqueur.

      «Paris n’a pas vraiment d’états d’âme et assume ce double-jeu, dicté par les circonstances», écrit Thomas Hofnung qui souligne que cette duplicité française «n’est pas sans rappeler ce qui se passe au Mali depuis des années». «Soutien aux séparatistes touareg dans le nord, passivité face aux massacres commis dans le centre du pays ? Cela fait beaucoup pour un seul et même acteur», observe l’auteur de la chronique intitulée «En Libye comme au Mali, la France joue un double-jeu», pour qui «cette confusion à Bamako résulte aussi de la partie complexe que Paris joue au Mali, comme en Libye».

      ****************** s’interrogeait, en mars dernier, sur les dessous d’une offre d’emploi atypique lancée par l’ambassade de France à Alger. Le très actif Xavier Driencourt cherchait un «chargé de mission société civile» qui devait exercer «son emploi au sein de l’équipe du pôle gouvernance démocratique et Etat de droit». La recrue algérienne est chargée d’«entretenir des relations régulières avec le tissu associatif algérien et français, développer leur mise en réseau, répondre à leurs sollicitations», autrement dit, phagocyter les associations et les inciter à agir sur le terrain, selon les orientations de la représentation diplomatique française à Alger.

      K. B.
      Même Nezzar s'y met, d'essayer de travestir l'engagement des algeriens pour le changement de système politique à travers la démocratisation du pays.

      Ce qui est remarquable de la part de celui qui est tellement terrifié par son sort et qui va passer à la caisse, est de parler de double jeu... il avoue donc par cette analyse qu'il y a un soutien pour la dictature dans ce pays. A travers qui, sa figure à lui ou celle de Sissi l'imperatrice au service d'une stratégie bédouine...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Malheureusement ,il ya une frange de la population naive qui croit a ces conneries .
        stratégie bédouine.
        Emiratis qui eux mêmes sont sous protectorat français.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Les dessous de la prompte mise au point de l’ambassade de France à l’APS
          AP - mai 10, 2019 - 6:16 Salim Fethi 10 Commentaires
          Le Drian ambassade
          Jean-Yves Le Drian et Xavier Driencourt en novembre 2017 à Alger. PPAgency
          Par Kamel M. – L’ambassade de France à Alger réagit rarement aux informations et autres commentaires concernant la France dans les médias algériens. Mais l’empressement avec lequel elle a adressé une mise au point à la presse au sujet d’une dépêche de l’APS suscite au moins une interrogation.

          Le correspondant de l’agence officielle a, par inadvertance, repris une ancienne déclaration du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, sur les élections en Algérie. Il s’agissait, en fait, de la présidentielle annulée du 18 avril dernier, le chef de la diplomatie française s’étant exprimé en mars dernier. Or, voulant éviter toute équivoque, la représentation diplomatique française en Algérie a vite réagi pour «remettre les pendules à l’heure» de peur que la dépêche en question soit interprétée comme un soutien de Paris à l’élection présidentielle contestée du 4 juillet prochain.

          Cette prompte réaction de l’ambassade de France est-elle le signe que l’Elysée s’oppose à la tenue de cette échéance électorale à la date fixée unanimement par les décideurs actuels ? C’est ce qu’on pourrait comprendre à travers le ton utilisé dans la mise au point des services de Xavier Driencourt qui se sont dit «étonnés» de lire que «la France souhaite le déroulement de la présidentielle algérienne dans de bonnes conditions».

          L’erreur de nos confrères de l’APS a le mérite de nous éclairer sur la position de la France par rapport au choix du chef d’état-major de l’ANP d’aller coûte que coûte vers des élections en juillet prochain, en dépit de l’opposition d’une grande partie des citoyens qui y voient une tentative de contourner les revendications populaires exprimées chaque vendredi depuis le 22 février dernier.

          La France avait été gravement mise en cause dans un discours du général Ahmed Gaïd-Salah, accusant un «pays qui a des arrière-pensées historiques» de vouloir attenter à la stabilité et à la sécurité de l’Algérie. Une chaîne de télévision privée annonçait, quelques heures plus tard, que de hauts responsables algériens se seraient réunis en présence d’officiers du renseignement français. L’ambassade de France ne démentira cette «révélation» que plusieurs jours plus tard dans un quotidien francophone auquel elle reprochait d’avoir répercuté une «information farfelue», diffusée par un média «peu sérieux».

          K. M.
          Intrigant que l'article de Nezzar soit sortis la veille de l'agence APS sur un prétendu soutien des frenchies de Sissi l'impératrice, question de mettre malgré tout la question des relations françaises et des potentielles vues qu'elle aurait sur son ancienne colonie au cœur de la présidentielle. Quand on pousse une ambassade étrangère à démentir une dépêche officielle, et que Nezzar brode dessus pour tirer des conclusions, il y a de quoi être intrigué.... AP fait presque l'APS...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Manifestations infiltrées par des islamistes: le sale jeu des monarchies du Golfe en Algérie

            dz(0000/1111)dz

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            • #7
              La France ouvre les hostilités contre Gaïd-Salah : première charge via l’AFP
              AP - mai 12, 2019 - 8:11 Salim Fethi 22 Commentaires

              Par Kamel M. – La France, qui s’était jusque-là défendu de vouloir s’ingérer dans la crise politique algérienne, a tiré la première salve en direction du chef d’état-major de l’ANP. Se couvrant derrière des militants algériens des droits de l’Homme, l’agence de presse gouvernementale française s’est néanmoins fendue d’un commentaire «sans guillemets», qu’elle assume donc.



              «Des millions d’Algériens continuent de manifester chaque vendredi pour réclamer le départ de l’ensemble du système au pouvoir, notamment le général Gaïd-Salah, qui fut un pilier du régime Bouteflika durant 15 ans», écrit l’AFP, qui ajoute que «la contestation l’a (le général Gaïd-Salah, ndlr) considéré comme un possible allié quand il a lâché M. Bouteflika, mais sa volonté acharnée d’imposer un processus de transition conforme à la Constitution, dont l’organisation d’une présidentielle le 4 juillet, suscite désormais la colère et les soupçons».

              Le chef d’état-major de l’ANP avait accusé «un pays lié par l’histoire» de chercher à déstabiliser l’Algérie, après avoir laissé entendre que d’anciens hauts responsables sécuritaires et politiques algériens se seraient réunis en présence d’officiers du renseignement français. Cette accusation a débouché sur l’arrestation de l’ancien patron du DRS, de l’ex-coordinateur des services de sécurité, du frère du Président déchu et de la cheffe de file du Parti des travailleurs.

              L’agence de presse française fait écho à la réaction de deux associations, RAJ et la LADDH, selon lesquelles «l’incarcération de la [cheffe d’un parti algérien trotskiste] dans une affaire de complot contre l’Etat montre que l’armée veut imposer de force son schéma de transition post-Bouteflika, pourtant rejeté par la contestation», la LADDH estimant qu’«un autre pas est franchi» avec l’arrestation de Louisa Hanoune, «une femme politique, cheffe d’un parti, arrêtée après sa comparution en tant que témoin devant le tribunal militaire, ouvrant par-là la voie à tous les scénarios et toutes les dérives».

              Tendant le micro au président du Rassemblement Action Jeunesse (RAJ), l’AFP relaie son commentaire selon lequel «la détention de Mme Hanoune montre la volonté du pouvoir réel, incarné par le chef d’état-major, de faire passer de force son agenda consistant à maintenir le système en organisant les élections du 4 juillet».

              Cette même élection du 4 juillet qui avait fait réagir l’ambassade de France avec célérité suite à ce que l’APS a considéré comme une bourde, en laissant entendre que le Quai d’Orsay «souhaite le déroulement de la présidentielle algérienne dans de bonnes conditions».

              Jusqu’où ira le bras de fer entre l’homme fort de l’armée et l’ancienne puissance coloniale ?
              Intéressant de voir le duel entre les agences de presse bien suscité pour les besoins d'une propagande tellement pavlovienne... Teyabat El Hammam vont bientôt passer des bains romains aux bains turques...
              Othmane BENZAGHOU

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